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EXCEPTIONNELLE OBSERVATION D’O.V.N.I. DANS L’OISE
Une petite information au sujet de ces observations anciennes, en effet dans les années 70, il y avait plus de contacts qu’aujourd’hui, et il est important de remettre en actualité des événements pour les nouvelles générations afin quelles prennent consciences des véritables raisons de ce problème extraterrestre.
COMME UNE ETOILE SEMBLE SE RAPPROCHER
Cette route (A cette époque) M. Alain Bray, 22 ans, ouvrier polisseur à l’usine Quéroy près de Clermont et son épouse Maryline, 19 ans, la connaissaient bien. Elle sillonne sur un plateau délimité par les vallées creusées par deux rivières : la Brêche et l’Arré. Il n’y a sur ce plateau que de vastes champs de céréales, entrecoupés de petits bois. Sur les six kilomètres séparant les deux villages, on ne rencontre qu’une ferme, situé en retrait de la route. (Ferme de Cohen)
L’endroit est donc parfaitement dégagé et constitue un excellent lieu d’observation pour ceux qui regardent vers le ciel… ou ceux qui en viennent.
Ce samedi 29 octobre vers 20 heures, M. Alain Bray venait de quitter ses parents à Etouy. Accompagné de sa jeune femme, il conduisait sa « 304 » sur le chemin vicinal. La nuit était claire et laissait voir avec une grande netteté les étoiles qui peuplaient le ciel. Peu après la sortie d’Etony, une de ces étoiles semble être plus près que les autres. Elle attire l’attention de Mme Maryline Bray. La « 304 » avance, l’astre se rapproche. La jeune femme comprend alors que ce n’est pas une étoile, c’est autre chose, mais quoi ? Elle est à la fois captivée et effrayée par cette vision. Elle ne dit rien. Son mari sent son inquiétude. Il se tait lui aussi. La voiture poursuit sa route. L’objet devient de plus en plus proche.
Il est allongé et très lumineux. Il a la forme d’un ballon de rugby très allongé. Il est légèrement bombé sur le dessus. Bien qu’il dégage une forte lumière, il n’éblouit pas.
Arrivés à l’intersection du chemin menant à la seule ferme du secteur, M, et Mme Bray voient l’objet. Il se trouve devant eux à moins de cinquante mètres. Il est peut-être à trente mètres du sol. Il paraît avoir un volume comparable à trois fois sa voiture. Mme Bray est alors prise de frayeur. Elle est gagnée par une sorte de crise de nerfs. Elle serre le bras de son mari et l’oblige à faire demi-tour. Ils reprennent alors la direction d’Etouy.
L’objet les suit jusqu’à l’entrée du village. Après avoir déposé sa femme, M. Alain Bray décide de retourner sur les lieux. Il repart avec son frère. Ils ne tardent pas à revoir l’objet. Il semble, cette fois, s’être posé dans un champ, sur la gauche de la route. Il continue à dégager une lumière tirant sur le jaune et sur l’orange. Les deux hommes décident alors de retourner chercher un appareil photo et des jumelles. Ils reviennent une troisième fois. Mais, il n’y a plus rien, l’objet a disparu. Fortement choquée par la vision qu’elle venait d’avoir, Maryline Bray doit appeler le médecin. Elle restera alitée plusieurs jours.
M. Alain Bray a, pour sa part, pu réagir avec énergie. A la peur du moment, a succédé la curiosité. Le dimanche 30 octobre, accompagné de son frère et d’autres membres de la famille, ils se rendent à nouveau sur l’énigmatique route d’Etouy à Bizancourt. Leur ténacité est à demi récompensée. Ils voient l’objet, mais de plus loin et moins longtemps. Le lundi et les jours qui suivent M. Bray et les membres de sa famille parlent autour d’eux de ce qu’ils ont vu. Ils constatent alors que plusieurs de leurs connaissances ont aperçu un phénomène identique : le samedi soir, le dimanche soir et même le lundi soir.
L’objet a été vu depuis plusieurs villages:
AGUETZ, ROUQUEROLLES, FITZ-JAMES et SANCY-LE-GRAND.
Ces différents témoignages retiennent l’attention. On ne peut, en effet, à leur sujet parler d’hallucination collective, et ce pour plusieurs raisons. Il faut d’abord remarquer que les habitants de cette région savent parfaitement distinguer ce que voient dans le ciel, de jour et de nuit. Ils se trouvent à proximité des zones d’envoi de l’aéroport de Beauvais de la base militaire de Creil et de la base d’hélicoptères de Margny-lès-Compiègne.
Les passages d’avions sont fréquents et facilement identifiables.
On peut écarter aussi l’hypothèse de ballons dirigeable pour les mêmes raisons. Les témoins en ont vu passer dans le secteur et ont pu les photographier. Aucune confusion n’est possible.
Enfin, et c’est là le plus troublant, ce n’est pas la première fois que des observations de ce genre sont faites dans cette région. Plusieurs témoignages identiques ont été recueillis ces dernières années.
Ils présentent tous les mêmes curieuses coïncidences !
A la suite de cette observation particulière, bien des années plus tard je me suis rendu sur place, et j’ai fait des relevés géologiques et une fois de plus j’ai relevé des failles importantes sur les lieux d’atterrissages, il y a un rapport important entre ces objets et les courants telluriques. Ensuite j’ai découvert une carrière de silices d’argile royal, comme d’habitude dans ce genre d’atterrissage, je n’arrive pas à comprendre que nos ufologues de renoms ne pensent pas à ouvrir l’horizon de leurs recherches, et qu’ils restent dans la doctrine de l’école maternelle.