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SEPT FAITS INEXPLICABLES
Il ne se passe guère de jour que l’étrange, le fantastique, l’insolite, l’incompréhensible ne se manifestent, d’une force ou d’une autre dans le monde. Des faits sont là, se produisent devant des témoins dignes de foi, bouleversant toutes les données connues, et aucune explication scientifique ne peut leur être donnée. Récent ou déjà anciens, quelques faits divers ou événements mystérieux constituent d’indéchiffrables énigmes.
OÙ EST ALLEE PENDANT 3 ANS L’EMISSION DE TELEVISION DE HOUSTON, CAPTEE EN 1953 EN ANGLETERRE ?
Un soir de septembre 1953 ? La B.B.C. à Londres, reçut une centaine d’appels téléphoniques de téléspectateurs qui voulaient savoir pourquoi on venait de leur présenter une mire inconnue portant l’indicatif KLEE. Houston ? L’image, d’une netteté parfaite, resta assez longtemps pour que plusieurs téléspectateurs aient pu la photographier. Les ingénieurs de la répondirent tout d’abord qu’il s’agissait sans doute d’un de ces étranges phénomènes de transmission, comme il en arrive parfois ; on sait, en effet, que parfois certains téléspectateurs reçoivent pendant un temps plus ou moins long les images de stations aussi lointaines que Moscou et même, une fois, Melbourne. C’est dû à certaines conditions de la haute stratosphère, qui renvoie tout simplement, comme font les satellites de communications, l’onde sur autre partie du monde. La mire en question était celle d’une était celle d’une station de télévision de Houston, au Texas.
Quelques jours plus tard, les ingénieurs de la B.B.C. ne surent plus que dire et que penser ; ils venaient d’apprendre que cet émetteur local de Houston ne fonctionnait plus depuis trois ans ! On leur confirma que la mire n’avait jamais été utilisée depuis la cessation des émissions de cette station.
Donc, pendant trois années, une émission d’image télévisée s’était promenée dans l’espace avant d’être finalement captée en Angleterre ! Pourquoi ? Comment ? A-t-elle fait un long voyage dans l’espace, un voyage de dix-huit mois, avant d’être réfléchie et renvoyée vers la terre, qu’elle a touchée de nouveau dix-huit mois plus tard, soit trois années après son émission ? S’est-elle simplement promenée autour du globe pendant trois années, en rebondissant de la terre à la stratosphère. A-t-elle été captée par des extra-terrestres qui nous l’ont gentiment renvoyée ? S’est-elle perdue dans l’espace-temps pour se retrouver dans un instantané vieux de trois années. Peut-être vaut-il mieux ne pas laisser votre poste allumé, ce soir, après les émissions.
IL ETAIT MATERIELLEMENT IMPOSSIBLE A LA JUMENT D’ENTRER DANS LA CUISINE. ET POURTANT, ELLE Y ETAIT !
Un collaborateur m’a raconté cette fantastique histoire : voilà une trentaine d’années je suis allée au Etats-Unis et j’en ai profité pour rendre visite à une vieille cousine de mon père qui avait émigré, au début du siècle, à Saginaw, une petite ville sur les rives du lac Huron. Quand je suis arrivé, des maçons finissaient de reconstruire le mur de la cuisine de son bungalow.
Nous avons eu un accident idiot, explique ma cousine. Beanie, notre jument, est entrée dans la cuisine un matin, alors que j’étais dans le jardin, devant. Elle est bien trop grosse pour passer dans le couloir et encore plus pour tourner et entrer par la porte. Quand à sauter par la fenêtre, il faudrait qu’elle soit capable de battre tous les records connus. En effet, la maison était montée sur une cave en rez-de-chaussée ? Appelé le premier, le vétérinaire ouvrit de grands yeux. Tour à tours, la police, le boucher, les pompiers, personne ne put expliquer comment la jument avait fait pour arriver là, d’autant plus qu’il n’y avait nulle part trace de son passage ! Il fallut, en fin de compte, faire appel au maçon, qui démolit un des murs de la cuisine, pour libérer la jument qui, malheureusement, ne parlait pas et ne put ainsi fournir aucune explication.
CRUELLEMENT MORDUE SOUS L’ŒIL DES POLICIERS PAR UN MONTRE INVISIBLE !
Le 10 mai 1951, à Manille, une jeune fille de dix-huit ans, Clarita Villaneuve, entra en courant dans la poste de police où elle déclara être poursuivie par un être mystérieux qui la mordait. A la vue des morsures sur les bras et ses jambes, les policiers appelèrent un médecin qui haussa les épaules en leur expliquant que ce n’était la peine de le déranger ainsi en pleine nuit pour une pauvre épileptique. Et alors… c’est elle qui se mord ? demanda un policier, car, à Manille aussi, les policiers posent toujours des tas de questions. Bien sûr !
Elle fait cela pendant ses crises, c’est simple. Oui, Docteur, vous savez mieux que moi, mais, s’il vous plait, une autre toute petite question ? Alors, comment fait-elle pour se mordre derrière le cou ? A ce moment, Clarita se mit à hurler que le monstre était là et qu’il l’attaquait. Eberlués le médecin et les policiers ne purent que tenir Clarita qui se démenait comme une folle tandis qu’apparaissaient sur sa joue, sur son épaule, des marques de morsures, des marques mouillées de salive.
Du coup, le médecin appela un confrère, tandis que les policiers alertaient le maire de Manille, Arsenia Lacson. Pendant plusieurs heurs, les séances de morsures continuèrent. Le pauvre Clarita qui, seule, voyait son assaillant expliqua qu’il ressemblait à un petit homme, qu’il avait de gros yeux et portait une sorte de cape, enfin que, par moments, il flottait à quelques centimètres su sol. Le maire fit appel à l’archevêque qui se dérangea en personne, et tout le monde partit en procession derrière l’ambulance qui conduisait la pauvre Clarita à l’hôpital, ambulance dans laquelle elle continuait de crier et les morsures d’apparaître. Une fois arrivée à l’hôpital, les attaques cessèrent, mais il fallut plusieurs semaines pour soigner et guérir les morsures de Clarita, dont certaines s’étaient infectées.
Le Docteur Mariana Lara, qui avait assisté aux attaques du monstre invisible et qui soigna ensuite la jeune fille, fit prendre des empreintes des morsures. Divers dentistes affirmèrent qu’il s’agissait de dents humaines. Le docteur Lara est persuadé qu’il n’y a qu’une explication possible : celle de la jeune fille, un monstre invisible ?
LE CANON TONNE SANS ARRET À BARISAL (BENGALE) OU IL N’Y A JAMAIS EU DE CANONS.
Depuis des siècles, on entend souvent, à Brarisal et dans les marais alentours, des bruits de détonations exactement semblables à ceux de canons de fort calibre. On est certain d’une chose ; il n’y a pas de canons à Brarisal.
Si ce mot de Brarisal vous dit quelque chose encore, c’est parce que l’on en parle beaucoup depuis des années.
Barisal est une petite ville, à une centaine de kilomètres de Dacca, dans le delta du Gange, où des centaines de milliers de personnes ont périrent au cours d’un monstrueux cyclone. Le colonel H.S. Olcott, de l’armée des Indes, écrivait, à la fin du siècle dernier, que, le soir, on entendait parfaitement le bruit du canon à plus de trois cents kilomètres de distance, mais qu’à Barisal, il avait souvent eu l’impression que le coup venait d’être tiré d’une pièce située à moins de cent mètres, tellement la détonation était forte. Les habitants y étaient si bien habitués qu’ils ne sursautaient même plus.
CHRONOMETREURS ET SAVANTS STUPEFAITS : 2 SONS LUTTENT DE VITESSE ET LE PREMIER PARTI ARRIVE APRES LE SECOND !
Dans mon dossier « artilleries », je trouve cet autre étrange fait divers.
Tout le monde sait, et les artilleurs mieux que quiconque, que lorsqu’un canon tire à vue, par exemple, à deux ou trois kilomètres, on voit le coup de feu, le panache, et, un certain temps après, on entend le son du coup de départ.
Cela s’explique puisque la vue voyage à la vitesse de la lumière et que le son, lui ne voyage que beaucoup plus lentement.
Ce ne fut pas cependant tout à fait le cas au cours d’une expérience scientifique faite par le commandant de marine William E. Parry, au cours d’une expédition polaire, en 1882. Le commandant Parry assistait un astronome réputé, le Dr Georges Fischer, qui cherchait à savoir si une très basse température pouvait influencer sur la vitesse de propagation des sons. Ils se trouvaient pris dans les glaces, à proximité de Winter Island, tout au nord de la baie d’Hudson.
L’expérience, ou plutôt la série d’expériences (il y eut huit séances, en tout, entre le 29 décembre 1821 et le 18 juin 1822), consistait à installer un petit canon à un peu plus d’un mile de distance du bateau, puis, à l’aide de plusieurs chronomètres déclenchés à vue le coup, puis stoppé au son, à mesurer la vitesse de propagation du son.
Ces expériences se déroulèrent par beau temps et vent nul et par des températures variant de + 10 à – 40° centigrades. Le Dr Fischer obtint ainsi confirmation des suppositions selon lesquelles la vitesse du son diminue très légèrement au fur et à mesure que baisse la température. Le 9 février 1822, les officiers et le savant furent stupéfaits par un inexplicable changement. Dans l’atmosphère calme du Grand Nord, ils avaient pour habitude de voir l’éclair du feu, puis entendre distinctement l’ordre « Fire ! » que clamait l’officier artilleur et, presque aussitôt, le coup de canon. Ce jour là, ils virent l’éclair et entendirent le coup de canon avant l’ordre « Fire ! » comme la vitesse de propagation des sons est uniforme, ils conclurent à une erreur des artilleurs qui avaient sans doute tiré une fraction de seconde avant l’ordre.
Ils détachèrent deux officiers pour aller voir à la batterie et recommencèrent l’expérience. Elle fut recommencée quinze fois ce jour-là. Chaque fois, le bruit du canon arrivait nettement détaché, près d’une seconde avant l’ordre : « Fire ! ». Toutes les possibilités furent soigneusement étudiées. Il n’y avait aucun écho possible et le temps était au beau, par une température de -34°,
Le Dr Fisher et les officiers de marine qui l’assistaient durent se rendre à l’évidence :
Pour des raisons incompréhensibles, le bruit du canon rattrapait et dépassait l’ordre « Fire ! » pour arriver avant lui à un mile du point de départ du son !
Le lendemain tout était redevenu normal, mais par deux fois encore, le phénomène se manifesta ? Le tout fut soigneusement signé, contresigné sur 19 pages du rapport général du Dr Fisher de plus de 1000 pages. Cela fut discuté une fois à l’institut scientifique, et ce fut oublié. L’expérience n’a jamais été renouvelée et l’on ne sait toujours pas pourquoi le bruit du canon alla plus vite que celui de la voix humaine.
FRAPPEE DE 7 COUPS DE POIGNARD…. DONT SES VETEMENTS NE PORTAIENT AUCUNE TRACE...
Deux policiers de Birmingham, en Angleterre, entendirent, un soir, une femme appeler au secours. Ils se mirent à courir, arrivèrent au bout d’une rue et, en tournant au coin, trouvèrent une femme qui venait d’être attaquée par de voyous.
Elle essaya de parler et s’évanouit. Une ambulance fut appelée et la jeune femme fut transportée à l’hôpital.
Là on la déshabilla et le médecin de service constata qu’elle avait reçu sept coup de poignard : trois dans le dos et quatre en pleine poitrine.
Elle mourut, quelques instants après son admission à l’hôpital.
Le côté vraiment étrange de cette affaire, presque banale autrement ? Les infirmières qui l’avaient déshabillée s’aperçurent que ses vêtements, qui se composaient d’un tailleur deux pièces, d’un corsage, d’une combinaison et d’un soutien-gorge, n’avaient pas été percés et ne portaient aucune trace de sang !
Les policiers pensèrent qu’elle avait dû être poignardée, puis rhabillée et conduite là où les policiers l’avaient trouvée.
Les médecins qui pratiquèrent l’autopsie furent formels.
Trois des blessures étaient mortelles et ne pouvaient avoir précédé la mort de plus d’une dizaine de minutes ?
BRULEE VIVE DANS SON FAUTEUIL, COMME DANS UN FOUR A 2000°. MAIS LE TAPIS ETAIT INTACT !
Au soir du 1 Juillet 1951, le Dr Richard Reeser, médecin de la petite ville de Saint-Petersburg, en Floride, monta dire bonsoir à Mme Reeser, sa mère, qui venait de fêter son soixante huitième anniversaire et qui fumait sa dernière cigarette.
Le lendemain matin, Mme Carpenter, sa gouvernante, monta pour lui annoncer que le breakfast, était prêt. Ne voulant pas réveiller Mme Reeser si elle dormait encore, elle posa doucement sa main sur le bouton de cuivre de la porte et la retira en criant, car elle s’était brulée. Mme Carpentier sortit en courant et appela des ouvriers qui travaillaient sur un chantier voisin. D’un coup d’épaule, un des garçons fit sauter la porte et ils se trouvèrent devant un mystère qui n’a jamais été élucidé.
Près de la fenêtre ouverte se trouvait les restes fumants du grand fauteuil et, dedans, les restes également fumants de Mme Reeser. Police et pompiers arrivèrent presque aussitôt. Pour les pompiers stupéfaits, il n’y avait plus rien à faire ; pour les policiers, l’enquête commençait. Elle fut longue et méticuleusement menée et révéla quantité de détails étranges et inexplicables.
Mme Reeser, qui pesait 80 Kilos, se trouvait réduite à 5 ou 6 kilos de cendres.
Seul son pied gauche, son crâne curieusement ratatiné par le feu et quelques vertèbres n’avaient pas été entièrement consumés.
De son grand fauteuil écroulé il ne restait que les ressorts d’acier. Les murs de la pièce étaient encore brûlants et, à partir d’un mètre du sol et jusqu’au plafond, semblaient couverts de suie.
La chaleur avait fait éclater un miroir à trois mètres du fauteuil ; sur la commode, deux bougies avaient fondu.
Partout on trouvait trace d’une intense chaleur à partir d’un mètre du sol ; au-dessus tout semblait intact. Les experts relevèrent, cependant, deux petites exceptions pour le moins étranges. Sous le fauteuil, le tapis, autrement intact, portait une petite marque circulaire de brûlure et, le long du mur le plus proche une prise de courant avait fondu, causant un court-circuit, qui avait fait sauter les plombs de la pièce et arrêté net ka pendule électrique, qui marquait 4 h 20.
On pensa naturellement que Mme Reeser avait peut-être branché un appareil électrique quelconque, mais l’enquête démontra qu’elle n’en possédait aucun et, de toute façon, il en serait resté des traces, or il n’y en avait aucune.
M. Edwward Davies, expert auprès du syndicat des assureurs, mena sa propre enquête et dut admettre que tout ce qu’il pouvait affirmer avec certitude était que la victime était morte brûlée vive.
Le médecin légiste, le professeur Wilton Forgman, de l’université de Pennsylvanie, n’avait jamais vu un crâne si réduit par le feu, ni hors d’un four crématoire, un corps si complètement carbonisé.
A la fin de son rapport, il mit une phrase encore jamais vue dans un rapport de médecin légiste : « C’est la chose la plus extraordinaire que j’aie jamais vue »
Après de nombreuses expériences de laboratoire, les experts déclarèrent qu’il avait fallu une chaleur d’au moins 2000° centigrades pour obtenir un tel résultat.
Quant à la source d’une telle chaleur hors d’un four, ils avouèrent non seulement leur ignorance, mais reconnurent, aussi, qu’ils auraient été tout à fait incapable de produire une telle chaleur dans les conditions où elle s’était produite sans, immédiatement, mettre le feu à toute la maison.
Référence : Extrait du monde insolite Novembre 1970