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On a retrouvé des fragments d'ovni !


ON A RETROUVE DES FRAGMENTS D’O.V.N.I

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S’il est facile de critiquer la bonne foi d’un témoin lors de l’observation d’un O.V.N.I. en vol et si certaines autorités s’efforcent encore, aux yeux du public, de faire passer les empreintes d’atterrissage pour « autre chose », la présence d’un débris de ces mystérieux objets célestes dans les mains d’un scientifique est toute une autre affaire… Devant les preuves matérielles, il est difficile de bluffer. Il faut, cependant, bien avouer que les débris d’O.VN.I. eux-mêmes sont rares, mais, par contre, il arrive fréquemment que des pièces de métal soient trouvées sur le sol après le passage d’un de ces objets.

 

Ainsi, le 24 avril 1950 à Abbiate-Guazzone, près de Varèse en Italie, monsieur Bruno Facchini qui avait observé un objet au sol près duquel s’affairaient quatre humanoïdes, trouva des traces très intéressantes. En effet, outre quatre empreintes circulaires et des plaques d’herbes arrachées, on trouve sur les lieux de l’atterrissage de mystérieux fragments de métal. Les techniciens du ministère de la Défense les examinèrent. Ils nous apprirent que le métal était antifriction et très résistant à la chaleur.

Quelle ne fut pas la surprise de ce fermier de Anakar do Oklahoma aux Etats-Unis, lorsque le 11 novembre 1951 il trouva son champ, d’une superficie d’environ vingt ares, couvert d’une épaisse couche de lambeaux métalliques de deux à douze centimètre de longueur. Ces fines feuilles de métal ressemblaient à de l’étain, mais monsieur Monnig, spécialiste des météores, les analysa et déclara qu’elles n’étaient comparables à aucune substance métallique connue. 

En France, le 4 janvier 1954, un objet se posa, vers 21 heures, sur une des pistes de l’aéroport de Marseille-Marignane. L’engin était lumineux et lorsque certains membres du personnel de l’aéroport s’en approchèrent, il décolla pour rapidement disparaître à l’horizon. (ARCHIVES DE L’AEROPORT). Sur les lieux de l’atterrissage, on découvrit une centaine de débris métalliques parmi lesquels se trouvaient plusieurs tiges longues d’une quinzaine de centimètres, recourbées à une extrémité et se terminant par une boule de l’autre côté. Ces objets furent saisis par les autorités militaires ; On ne saura jamais ce qu’ils sont devenus. « Si en 2009 une personne désire reprendre l’enquête, demander a l’aéroport de Marseille-Marignane, mais pour cela il faut quitter son bureau et aller sur le terrain ! » De telles récoltes s’effectuent à travers le monde entier, et le 13 décembre de cette même année 1954, après le passage d’un O.V.N.I. à Campinas au Brésil, on découvrit quelques morceaux d’étain. Après analyse, le docteur Visvalde Maffei, attaché aux laboratoires Young de Sao-Paulo, déclara ; «  C’est l’étain le plus pur qu’on ait rencontré sur notre planète et aucun de nos laboratoires ne serait capable d’en produire de semblable. »

Plus tard, le 16 février 1969, c’est la police qui recueilli un morceau de métal un morceau de métal de vingt centimètres sur huit qui était tombé d’un O.V.N.I. aux environs de Lima au Pérou. Parfois, il semble que des objets soient volontairement abandonnés par nos visiteurs comme si, par leur geste, ils voulaient nos transmettre un message. (Mais les terriens ne semblent rien comprendre comme d’habitude !) En 1967, plusieurs tubes métalliques furent trouvés à San José de Valderas en Espagne après qu’un O.V.N.I. fut observé. Ces tubes étaient fermés hermétiquement et fabriqués en une seule pièce. Quand on en ouvrit un, on troua deux bandes de matière plastique verte qui portaient, en relief, un emblème ressemblant à un H barré verticalement en son milieu (Emblème que l on trouva bien plus tard sur des appareils de même origine). Une analyse du tube et de la matière plastique fut faite par l’I.N.T.A. (l’Institut technique national d’aéronautique et de la recherche spatiale espagnol). Il fut ainsi découvert que le tube était en nickel d’une pureté exceptionnelle et que ses dimensions n’étaient pas standardisées et ne correspondaient ni au système métrique ni au système anglais ou américain. Les bandes de plastique étaient faites d’une matière appelée de polyfluorure de vinyle et s’apparentaient au Tedlar de Du Pont de Nemours, non commercialisé à l’époque mais cependant utilisé par la N.A.S.A. pour la protection des missiles.

Dans les cas que l’on peut qualifier de fantastiques, il est même arrivé que les humanoïdes eux-mêmes donnent directement, de la main à la main, des plaques métalliques à ceux qui sont témoins de leur apparition, et cela comme s’ils remettaient leur carte de visite. Dans le courant de l’année 1954, dans le « Jornal do Brazil », un grand quotidien du Brésil, on pouvait lire en première page qu’un habitant de l’Etat de Sao Paulo avait eu des contacts avec l’occupant d’un engin non identifié. Ce dernier mesurait quelque quatre-vingts centimètres et avait les yeux très brillants. Ils dialoguèrent en portuguais puis, le visiteur remit un morceau de métal inconnu à son interlocuteur pour, expliqua-t-il, convaincre les sceptiques. Le morceau de métal fut remis au laboratoire d’une usine voisine qui fit l’analyse qui hélas, ne nous est pas parvenue. Le 14 août de la même année, deux petits humanoïdes donnèrent également un morceau de métal à deux étudiants de l’institut Polytechnique de Mexico. Le métal fut analysé par le laboratoire de l’école. 

Nous ne pouvons parler réellement de morceaux d’O.V.N.I. que lorsqu’un objet inconnu qui traverse le ciel, explose soudainement et s’éparpille en mille éclats. De tels éclats furent quelquefois ramassés et leur étude fit couler beaucoup d’encre. Au début du mois de septembre 1957, un groupe d’amis pêchait sur une plage près d’Ubetuba au Brésil, soudain, ils virent d’étranges objets volants se rapprocher d’eux à grande vitesse. Ils observèrent alors un objet descendre jusqu’à la surface de l’eau pour remonter brusquement et exploser en un flash éblouissant. L’engin se désintégra en milliers de fragments incandescents qui tombèrent dans l’eau et sur la plage. Le groupe de pêcheurs ramassa plusieurs morceaux et le docteur Olavo Fontes, correspondant de l’A.P.R.O. (Aerial phénomènes research organization) en obtint trois qu’il fit analyser. Ces petites pièces de métal étaient d’un gris terne et semblaient fortement oxydées. Leur aspect suggérait qu’elles avaient fait partie d’un objet beaucoup plus grand et qu’elles avaient été soumises à une très forte température. Leur poids était faible et leur surface très rugueuse. L’analyse fut faite par l’un des laboratoires les plus qualifiés du Brésil, celui du département de la production minière. Il apparut que les échantillons étaient constitués de MAGNESIUM pur. Le docteur Elysiario Fillo en fit l’examen par diffraction aux rayons X et les autres analyses qui suivirent confirmèrent la pureté du magnésium à 100%, ce qui exclut forcément une origine terrestre.

*

DES FRAGMENTS METALLIQUES DANS LE FORET COLOMBIENNE

 

Un autre O.V.N.I. explosa le 12 février 1968 à Pitipui en Colombie. Ce jour-là, plusieurs personnes venaient de voir un objet mystérieux survoler la forêt vierge quand ils entendirent une violente explosion. Vivement intriguées, ces personnes s’approchèrent du lieu où avait retenti la déflagration ; elles d’ouvrirent un trou et des fragments métalliques épars.

Le 20 février des témoins de la chose décidèrent d’emmener  à Bogota une pièce de métal de trois mètres de diamètre qui pesait 57 kg. Pour que le transport s’effectue plus facilement ils avaient essayé, en vain, de casser ce grand morceau de métal. Ce métal était tel qu’un burin et un marteau n’arrivaient pas même à l’entamer.

Toujours est-il que la pièce arriva à Bogota où des personnalités du monde entier se rendirent pour la voir et essayer d’en identifier la composition. Si l’O.V.N.I. qui explose nous donne de son métal bien involontairement, il y a un cas fort connu où l’homme arrache lui-même un morceau de l’objet volant. Un jour de juillet 1952, un fragment de métal appartenant à un petit ovni fut, en effet, arraché à coups de balles de mitrailleuse par un avion qui évoluait près de Washington.

Le pilote qui entama ainsi l’O.V.N.I. vit le morceau tomber et briller jusqu’au sol, il donna des indications sur le point de chute et les militaires retrouvèrent la pièce métallique qui pesait quelque 500 grammes. Après analyse de la chose, on découvrit qu’on était en présence d’ortho silicate de magnésium. Il fut également signalé que, curieusement, la pièce de métal était parsemée de milliers de sphères de 15 microns. Si l’étude des fragments d’O.V.N.I.  à quelque chose d’extraordinaire, la découverte et l’analyse d’objets non identifiés dans leur état complet est tout simplement fantastique. 

De tels cas sont très rares, mais il en existe quelques uns qui firent couler beaucoup d’encre. Ainsi, le 25 décembre 1964, à Tiupujio, dans la province de Cordoba en Argentine, une petite sphère fut trouvée. Le docteur Olavo Fontes, (dont j’ai déjà parlé et dont la réputation n’est plus à faire dans le domaine des O.V.N.I. à cette époque), fit analyser un morceau de métal prélevé de l’objet. Il déclara par la suite qu’il était persuadé de l’origine extra-terrestre de la « sphère » pour la bonne et simple raison que le métal en question était du magnésium d’une densité et d’une pureté inconnue sur terre.

Plus près de nous, au mois d’avril 1974, une mystérieuse sphère fut découverte par un habitant de Fort-Georges-Island en Floride. Pesant dix kilos pour un diamètre d’une vingtaine de centimètres, la boule se mouvait d’une manière surprenante : « Quand on la pousse, raconta la personne qui la trouva, M. Antoine Bate, elle se déplace jusqu’à un certain point, tourne sur elle-même revient à son point de départ puis repart dans une autre direction et ainsi de suite une dizaine de fois. » A l’époque, les derniers renseignements que l’on reçut sur cet objet nous apprirent qu’il émettait des ondes radio et qu’il était entouré d’un champ magnétique. 

Le summum serait, bien sûr de mettre la main sur un O.V.N.I. type. Et bien, le cas s’est produit en 1952. Cette année là, en Norvège, la radio annonça que des pilotes militaires avaient repéré, sur l’ile de Spitzberg, une épave qui paraissait être celle d’un avion. Selon un porte-parole du gouvernement, les envoyés sur les lieux découvrirent non pas un avion, mais un de ces objets que l’on appelle « OVNI ». Toujours d’après ce porte-parole, des experts anglais et américains avaient été invités à prendre part à l’enquête.

Ce n’est qu’en 1956 que la suite de l’affaire fut connue. Dans le journal « Stuttgarter Tageblatt » d’Oslo, le colonel Gernod Darnbyl déclara : « La chute à Spitzberg de ce disque est un événement très important. Bien que nos connaissances scientifiques actuelles ne nous permettent pas de résoudre toutes les énigmes, je suis sûr que cette épave de Spitzberg sera de la plus grande importante à cet égard. Il y a quelque temps, un malentendu s’st élevé sur son origine qu’on a prétendue soviétique. Le disque n’est pas – j’insiste – de construction terrestre. Les matériaux utilisés sont complètement inconnus des experts qui ont participé à l’enquête. »

*

Eh oui, la réalité dépasse souvent la fiction, mais il faut dire que nos scientifiques, nos militaires, nos chefs d’états nous mentent tous. Et nos Ufologues qui se disent de hauts niveaux, ne parlent que de choses déjà connues depuis longtemps, et ne pensent que faires des livres ? Les nouvelles recherchent ne semblent pas les intéresser.

*

 

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Marius Dewilde chez lui en 1979

 

 

MA RENCONTRE AVEC UNE PERSONNE QUI A POSSEDE DES ELEMENTS D’O.V.N.I.

 

En 1994  je prends contact avec Marius Dewilde, le témoin d’une des affaires les plus connues de l’ufologie française. Tout commence le 10 septembre 1954, à 22 h 30, Marius, habite avec sa femme et son fils dans une petite maison isolée au milieu des bois et des champs, à deux km du village de Quarouble,  situé près de la frontière belge. Ce soir-là, Marius est attiré par les aboiements de son chien. Il prend sa lampe de poche et sort dans le jardin. A moins de six mètres de sa porte, il aperçoit une masse sombre sur la voie ferrée tout à coté ? Sur sa droite il découvre deux « êtres », ces deux êtres sont vêtus de scaphandres. Ils sont de très petite taille, probablement moins de 1 m.

   Après bien des aventures avec ces contacts, plus ou moins agréables, que je ne peux expliquer ici, je contact donc Marius bien des années après. Marius Dewilde, vers la fin de notre entretien m’a dit qu’il possédait un objet remis par les humanoïdes ; une plaque ronde de 10 cm de diamètre et trois centimètres d’épaisseur. Il y avait des signes gravés à la surface qui ressemblait un peu à des crop circles, et sur l’autre face un élément ressemblant à un vortex (Voilà pourquoi il y a certainement un rapport entre les deux signes que personne ne pense).

 

Toujours est-il qu’il n’a pas souhaité que je fasse des photos. Trop dangereux, m’a-t-il dit, en précisant que même son fils n’avait jamais eu l’occasion de voir cette plaque. Moi j’ai relevé rapidement les dessins sur une feuille de papier. Il avait d’autres objets des excroissances de nickel qu’il disait avoir pris dans le vaisseau par poignées. « Des résidus » lui avaient répondu les « êtres » alors qu’il leur demandait ce que c’était.

Il m’a offert une petite quantité de ces résidus, et  peut-être un lecteur pourra-t-il me dire d’après la photo à quoi peut bien correspondre cette formation métallique pleine, comme si le métal à la manière d’un végétal, avait poussé. Certaine amis m’ont dit que ce genre de chose ne pouvait se faire que sous apesanteur... une confirmation serait la bienvenue. Une analyse sérieuse de ce matériel pourrait nous apporter le début d’une réponse, une fois pour toute.

D’une façon ou d’une autre Marius Dewilde a payé très cher d’avoir touché du bout des doigts au grand mystère des ovnis. Et quoiqu’il arrive, il a emporté son secret avec lui..

 

Nous sommes comme le chasseur qui a trouvé de nouvelles traces et qui s’efforce de savoir à quel genre d’animal elles appartiennent. Pourrons-nous, un jour, découvrir et connaître nos visiteurs de l’espace ? Et sommes-nous prêts ?

*

On a retrouvé des fragments d'ovni !

Sources : Mes archives personnelles et recherches sur terrain

Archives Jean-Marie Douchet

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I
Il me semble reconnaitre des résidus de blocs de nickel après électrolyse dans un bain, ce nickel devant se déposer sur des pièces destinées à être protégées par ce métal.
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D
Burkel est un menteur le nickel qu'il présente est le rejet de l'industrie métallurique qui présente les même caratérisitiques de " grappes "  J'ai rencontré Marius Dewilde en 1990 et 1992 jamais il ne m'a présenté ces conneries. Burkel est un menteur manifeste !Pascal Isouletsur facebook(Dimensions ineXpliquées)
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