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NDE :
UN NEUROCHIRURGIEN TEMOIGNE !
Les expériences de mort imminente intriguent le monde scientifique et fascinent le grand public. Les milliers de témoignages d’anonymes, mais aussi de professionnels de santé, décrivent avec une incroyable précision cette expérience hors du commun. Aujourd’hui, un nouveau témoignage de poids s’ajoute à l’épais dossier des NDE. Un neurochirurgien américain fait des révélations inédites sur son voyage aux frontières de la mort…
UN NOUVEAU TEMOIGNAGE INDISCUTABLE
Eben Alexander est un grand spécialiste du cerveau. Neurochirurgien et enseignant à l’Université de Virginie, il connait parfaitement chaque détail de l’encéphale humain et dispose d’une compétence indéniable pour mesurer le potentiel hors-norme de cet organe mystérieux. Mais en 2008, une expérience inattendue a totalement bouleversé sa façon de voir les choses. L’Américain de 56 ans, qui concède qu’ « en tant que neurochirurgien, je n’accordais pas de valeur objective aux expériences de mort imminente », a vécu une NDE suite à un coma provoqué par une méningite foudroyante. Une aventure troublante qu’il a décidé de raconter dans un livre sorti en octobre 2012 aux Etats-Unis : « Proof of Heaven : A Neurosurgeon’s Journey into the Afterlife » (« Preuve du paradis : le voyage d’un neurochirurgien dans la vie après la mort »).
On y apprend que ce père de deux enfants à l’existence sans histoires bascule soudainement dans la maladie en 2008, lorsqu’une méningite bactérienne s’attaque à son cerveau. Pendant une semaine, le neurochirurgien sombre dans un profond coma dont il a peu de chances d’émerger. « Un matin de novembre 2008, je me suis réveillé avec une migraine extrêmement violente. En quelques heures, mon cortex – la partie du cerveau qui contrôle la pensée et les émotions – a cessé de fonctionner. Les médecins de l’hôpital général de Lynchburg, en Virginie, où j’avais exercé, ont diagnostiqué une forme rare de méningite bactérienne qui frappe généralement les nouveaux nés. La bactérie E.coli avait pénétré mon fluide cérébrospinal et dévorait mon cerveau. Mes chances d’en réchapper autrement que dans un état végétatif étaient faibles quand j’ai été admis aux urgences. Très vite, elles sont devenues inexistantes… ». C’est alors qu’il expérimente un voyage aux frontières de la mort dont il garde un souvenir intact : « J’ai voyagé dans une autre dimension de l’univers, une dimension dont je n’avais jamais rêvé qu’elle existait » confie Eben Alexander, qui émerge finalement du coma avec très peu de séquelles physiques. En revanche dans sa tête, tout a changé !
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UNE JEUNE FEMME DE LUMIERE… ET D’AUTRES UNIVERS !
Au cours de son « odyssée lumineuse et parfaitement cohérente », il précise s’être déplacé parmi des nuages d’une couleur blanc-rosé sur un ciel bleu profond. Et d’avoir rencontré des entités dont l’identité est inconnue. La description d’Alexander évoque « des êtres chatoyants, transparents, très différents de tout ce qu’on peut connaître sur notre planète (…). Un univers peuplé d’êtres plus avancés, semblables à des anges ». Il semble important de rappeler qu’un nombre impressionnant de témoignages concernant les NDE font état d’une rencontre avec des êtres de lumière, dont la voix douce et les mots apaisants rassurent le voyageur aux frontières de la mort, la plupart du temps bouleversé par l’expérience qu’il est en train de vivre. Dans son ouvrage, le neurochirurgien américain confirme avoir également fait la rencontre d’une jeune femme très belle aux pommettes saillantes, aux yeux bleus profonds et aux cheveux dorés.
« Mon premier souvenir de lorsque j’étais dans ce profond coma, c’est l’impression de voir le monde comme un ver de terre. C’était comme d’être enfoui dans le noir sous le sol, je sentais d’ailleurs comme des racines au-dessus de ma tête et j’avais la sensation d’être là depuis un très, très long moment. Je n’avais aucun souvenir de ma vie, aucun mot pour m’exprimer, le langage avait disparu. Je n’avais aucune idée de ce qui se passait autour de moi. C’est alors que j’ai entendu une petite musique, une mélodie agréable de plus en plus audible. Et c’est grâce à cette musique que je suis arrivé à me dégager de ce carcan de terre dégoûtant et boueux. Soudain, je me rendis compte que je n’avais plus de corps, pas de bras ni de jambes, et que je voyageais sur les ailes d’un magnifique papillon. Il y avait des millions d’autres papillons colorés, formant une superbe formation en plein vol. C’est alors que nous avons quitté cet univers en direction d’un endroit infiniment plus grand. J’étais accompagné d’une présence belle, chaude et lumineuse, une entité que j’identifie clairement à ce que nous appelons Dieu. Et cet endroit était en dehors de notre univers. J’ai pu contempler les multivers qui s’étendaient en face de moi à perte de vue. Il était très clair que l’Amour constituait une énorme partie de ces multivers ».
Métamorphosé par son expérience, Eben Alexander a déclaré vouloir « passer le reste de sa vie à enquêter sur la nature véritable de la conscience, et prouver à ses pairs scientifiques, mais aussi au reste du monde, que nous sommes bien plus que seulement nos cerveaux ».
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Les premiers extraits de l’ouvrage, diffusés en ligne sur le site Internet du magazine américain Newsweek, ont immédiatement suscité de nombreuses réactions. Pour tenter de décrédibiliser ce témoignage de poids qui provient d’un professionnel de santé très qualifié, les sceptiques ’ont pas tardé à réagir. Les arguments « classiques » des détracteurs des NDE ont ainsi ressurgis : l’expérience du docteur Alexander n’est qu’un rêve, voire une hallucination ou un dysfonctionnement de son cerveau en souffrance. « Il n’y a rien de paranormal. Notre cerveau peut fabriquer des expériences intenses comme celle-ci, notamment dans des situations de confusion ou de traumatisme. Il essaie de réinterpréter le monde et ce qui l’entoure » réagit ainsi Dean Mobbs, psychologue à l’Université de Columbia, qui étudie la neurobiologie et la peur chez les humains. Ce dernier insiste aussi sur le fait que le corps humain est susceptible de secréter des substances anti-douleur quand il fait face à un danger extrême. La sensation d’euphorie qu’elles engendrent expliquerait les perceptions décrites dans les expériences de mort imminente. Mais 3% des américains ayant déclaré avoir vécu une expérience de mort imminente (soit près de 10 millions de personnes !), ces quelques critiques ont été massivement balayées par des témoignages concordants.
D’autant que nous avons à faire ici à un cas de NDE particulièrement pertinent : spécialiste du cerveau et scientifique reconnu, Eben Alexander est à même de faire la différence entre une hallucination et… autre chose. « Les principaux arguments avancés pour réfuter les expériences de mort imminente induisent qu’elles sont le résultat d’un dysfonctionnement minime, transitoire ou partiel du cortex. Or, ma NDE n’est pas survenue pendant que mon cortex dysfonctionnait mais alors qu’il était totalement inactif. Ce fait est avéré par la gravité et la durée de ma méningite ainsi que par les scans et les examens neurologiques que j’ai subis. Selon les connaissances médicales actuelles sur le cerveau et l’esprit, il n’y avait absolument aucune chance que je conserve ne serait-ce qu’une lueur de conscience ténue et limitée durant cette période. A plus forte raison, il était impossible que je sois emporté dans cette odyssée éclatante et parfaitement cohérente. (…) Ce qui m’est arrivé est très loin d’être une illusion. C’est un évènement réel, aussi réel que tous les évènements de ma vie, y compris mon mariage et la naissance de mes deux enfants. (…) Il m’a fallu des mois pour parvenir à accepter ce qui m’est arrivé ! » commente ce neurochirurgien, pour qui rien ne sera plus jamais pareil. L’homme qui ne croyait pas à la vie après la mort est désormais convaincu que le Paradis existe !
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