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Les pierres roulantes de Death Valley
La vallée dite « de la mort », située dans la partie désertique de la Californie, est parsemée de pierres et de blocs de roche qui se déplacent de façon inexplicable, sur une distance de centaines de mètres chaque année. Un phénomène géologique ou surnaturel ?
La Death Valley est située à une centaine de mètres sous le niveau de la mer. Cest la dépression la plus torride des Etats-Unis. Une des bizarreries qui caractérisent la Vallée de la Mort est le phénomène des « pierres qui se déplacent toutes seules ». Ces pierres sont disséminées sur une grande surface aride dite « Racetrack » ou « Circuit », une petite plaine aride de cinq kilomètres de long environ, qui constitue le fond dun lac asséché.
Les pierres ont des dimensions très variées : des tout petits cailloux aux gros blocs de pierre. Apparemment, on dirait quil sagit de cailloux communs, mais qui se déplacent continuellement, laissant derrière eux de longs sillons, peu profonds.
Certains de ces sillons sont rectilignes, d'autres sont en zigzag, et d'autres encore sont courbes. Ces pierres couvrent souvent des distances considérables, même des centaines de mètres. A la suite d'observations minutieuses, on a constaté qu'en moins d'un an toutes les pierres présentes dans le Racetrack ont bougé. L'une d'entre elles sest même déplacée de 260 mètres à plusieurs reprises, alors qu'une autre- une pierre de 250 kg- a battu tous les records, se déplaçant en une seule fois de 210 mètres. De toute façon, encore aujourd'hui le mystère reste entier. Comment est-il possible que de telles pierres se déplacent toutes seules, et en vertu de quelle force ?
Certains chercheurs penchent pour une explication de type géologique, tandis que d'autres supposent l'intervention dune force surnaturelle, probablement liée aux récits sur la présence dans la zone d'êtres non originaires de cette planète et qui se seraient réfugiés sous terre. Dans l'un de ces ouvrages littéraires, le roi de l'horreur, Stephen King, s'est inspiré de cette dernière hypothèse.
Son ouvrage est devenu bien vite un véritable best-seller littéraire, et il a permis au metteur en scène John Power de diriger en 1994 le film portant le même nom « Tommy Knockers, les créatures de l'obscurité », avec Jimmy Smith, Marg Helgenberger ( les experts ), et John Ashton. Dans l'intrigue du film, l'écrivain Bobbie Anderson découvre un jour, dans le bois situé à proximité de sa maison, une structure mystérieuse peut-être ensevelie depuis des millions dannées et qui, cependant, émet d'étranges vibrations. Celles-ci ont le pouvoir de déplacer des objets communs, comme par exemple des gros blocs de pierre.
Cet étrange composant est déterré, et à la fin il s'avèrera être un vaisseau appartenant à des êtres spatiaux. A la suite de cet épisode, les habitants du pays commenceront à changer et à être contrôlés télépathiquement par des extraterrestres mystérieux, à l'exception de quelques personnes qui sembleraient ne pas appartenir à la catégorie des terrestres communs, vu quelles ont des longueurs d'ondes cérébrales différentes.
*** Des ruines vitrifiées ***
Quand la première bombe atomique explosa au Nouveau-Mexique, les sables du désert se transformèrent en verre fondu de couleur verte. D'après ce phénomène, on a établi que le silicium présent dans le sable se transforme, à cause de l'apport de chaleur, en une plaque de verre. Se basant sur ce fait, on peut en déduire que dans la plus haute antiquité des guerres atomiques se déroulèrent, précisément dans les lieux où il est possible de trouver des plaques de verre ancien et désertique. L'un des sites où lon peut trouver des ruines vitrifiées est la Death Valley en Californie. Dans l'ouvrage littéraire intitulé « Secrets of the Lost Races », par René Noorbergen, et publié en 1977, il est dit textuellement : « En 1859, le capitaine Ives William Walker, explorateur américain, fut le premier à voir quelques-unes de ces ruines, situées dans la Vallée de la Mort. Il découvrit une ville, longue d'un mille environ, avec les lignes des routes et la position des édifices encore visibles. Au centre, il trouva un grand rocher, haut de 20 à 30 pieds, avec une structure énorme sur son sommet. Le côté oriental, tant du rocher que des édifices, était fondu et vitrifié. Walker estima qu'un volcan était responsable de ce phénomène. Or, il ny a aucun volcan dans la zone.
De plus, la chaleur liée aux phénomènes tectoniques n'aurait pas pu provoquer une telle fusion de la surface du rocher ». Un associé du capitaine Walker, qui suivit son expédition initiale, commenta : « Toute la région comprise entre les fleuves Gila et San Juan est couverte de ruines. Les ruines de la ville que l'on peut trouver là-bas doivent être très étendues, et elles sont en partie brûlées et vitrifiées, pleines de pierres fondues et de cratères causés par des incendies, dont la chaleur fut tellement intense quelle fondit la roche et le métal. Il y a les pierres du pavé et les maisons déchirées par des lézardes monstrueuses Comme si elles avaient été attaquées par une gigantesque charrue de feu ».
Sur les parois du Titus Canyon avoisinant, des graffitis et des inscriptions ont été gravés par des mains préhistoriques inconnues. Des chercheurs émirent lhypothèse quils auraient pu être réalisés par les peuples qui vécurent là, longtemps avant larrivée des peaux-rouges, vu que ces derniers ne présentent aucune mémoire liée à la tradition de ces pièces. Dans le livre « Weird America », écrit par Jim Brandon en 1978, on peut lire ce qui suit : « Les légendes des Piutes ( tribu indienne ) parlent dune ville située sous la Vallée de la Mort, quils appellent Shin-au-av. Tom Wilson, un guide indien des années 20, affirmait que son grand-père découvrit ce lieu alors quil rôdait dans un labyrinthe de cavernes dun mille de long, sous la surface de la vallée. Le natif arriva à une ville souterraine, où les gens parlaient un langage incompréhensible et portaient des vêtements en cuir. Wilson raconta cette histoire après avoir entendu un chercheur dor, appelé White, déclarer quil était tombé à travers le pavage dune mine abandonnée à Wingate Pass, à l'intérieur d'une sorte de tunnel. White déclara qu'il avait exploré ce site à trois reprises. Une fois il était accompagné par sa femme ; une deuxième fois par son associé Fred Thomason. Et pourtant, aucun deux ne fut en mesure, par la suite, de retrouver l'ouverture de la caverne où ils avaient cherché à conduire un groupe d'archéologues désireux dexplorer cet endroit ».
Quelque temps après, un Ecossais excentrique de la Death Valley aurait trouvé de l'or, mais beaucoup estiment quil a extrait ce métal précieux des lingots empilés dans les galeries situées en dessous de cette vallée. Le quotidien du Nevada, « Hot Citizen », du 5 août 1947, rapportait quun groupe darchéologues passionnés avait découvert dans certaines cavernes de la Californie une civilisation perdue dhommes hauts de neuf pieds Howard E .Hill, porte-parole de l'expédition, affirmait que cette civilisation pourrait avoir son origine dans le fabuleux continent perdu dAtlantide. Les cavernes contenaient des momies d'hommes et d'animaux ainsi que des ustensiles appartenant à une culture très avancée, ancienne d'au moins 80.000 ans. Il ajoutait que les 32 cavernes couvraient une superficie d'environ 180.000 milles carrés. Les experts du « Los Angeles Country Museum » soulignèrent que les dinosaures et les tigres qui étaient couchés dans ces cavernes, les uns à côté des autres, apparurent séparément sur la Terre, à un intervalle de 10 à 13 millions dannées. Dans certains de ces creux, il y avait aussi les restes momifiés d'une race d'homme hauts de huit à neuf pieds, portant des vêtements du type préhistorique, consistant en une fourrure de longueur moyenne, une veste et des pantalons arrivant jusquaux genoux.
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S'agissait-il par hasard d'un musée ?
Source- Revue Stargate magazine N°2 février/mars 2004
http://www.vanupied.com/californie-parc-national.htm