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LE DESTIN DE L'ARCHE D'ALLIANCE
Des ingénieurs électroniciens de Springfield (USA) ont voulu percer l'énigme de l'Arche d'Alliance, l'un des derniers grands mystères de l'Antiquité. Leur tâche fut relativement aisée, la Bible en donnant une description détaillée exactement chiffrée.
Construite en bois d'acacia, sa longueur était de deux coudées et demie (112,5 cm), sa largeur et sa hauteur d'une coudée et demie (67,5 cm). L'Eternel avait exigé de Moïse : « Tu la couvriras d'or pur en dedans et en dehors, et tu y fera une bordure d'or tout autour. Tu fondras pour elle quatre anneaux d'or et tu les mettras à ses quatre coins. Tu feras des bras de bois d'acacia et tu les couvriras d'or. Tu passeras les barres dans les anneaux sur les côtés de l'Arche pour qu'elles servent à la porter. (Exode- XXVI, XXXVI). »
<o:p>l'Arche reconstitué d'après ses dimensions par Pierre Dupuis, nouveau collaborateur de l'équipe taverne et auteur de l'article dans la rubrique- le trésor des templiers ici !
Dans l'atmosphère sèche du désert, l'Arche sauréolait parfois d'aigrettes de feu, et si quelque imprudent s'avisait de la toucher, elle donnait des secousses redoutables, véritables décharges électriques qui terrifiaient les profanes. Les ingénieurs de Springfield se doutaient déjà que l'Arche devait être une étonnante machine à capter les ondes. Ils eurent en plus la confirmation qu'il s'agissait d'une sorte de condensateur d'énergie cosmique fonctionnant comme un énorme dispositif électrostatique. Mais comment Moïse le savait-il et comment recevait-il le message de l'Eternel, cest-à-dire les ondes que captait l'Arche ? Elle peut foudroyer ! L'écrivain Francis Mazière a eu des contacts avec des initiés, comme il me la confié dans les années 70 au cours de plusieurs de nos rencontres. D'ailleurs, il l'explique dans son livre sur Moïse paru aux Editions Robert Laffont sous le titre Du Sinaï à la mer Morte : « En se revêtant non seulement d'une robe de lin touchant terre, mais aussi de l'éphod joint au pectoral carré composé de douze gemmes, toutes de quartz différents qui, nous le savons maintenant, sont des capteurs d'ondes d'une force incalculable. »
La Bible énumère la disposition sur le pectoral de ces douze gemmes, de même que la forme de l'éphod, entièrement d'étoffe bleue, garnie autour de la bordure du bas de grenades de couleurs bleue, pourpre et cramoisie entremêlées de clochettes d'or. Au portail nord de la cathédrale de Chartres, portail dit « des Initiés », une colonne sculptée montre le transport de l'Arche sur un chariot muni de roues, un détail qui surprend.
La sculpture rappelle sans doute lincident tragique qui se produisit lorsque David voulut transporter l'Arche de la maison d'Abinadab à son palais. Elle fut posée sur un chariot conduit par Oza, fils d'Abinadab. Quand le convoi arriva près de l'aire de Nachon, les boeufs qui le traînaient marquèrent une sorte d'hésitation, le chariot, déséquilibré, pencha dangereusement et Oza porta la main à l'Arche pour la retenir. A la stupeur générale, il tomba foudroyé. Mais quel a été le destin de l'Arche, qui passe pour avoir disparu dans la destruction du Temple de Salomon, au VIème siècle ? En 1118, neuf chevaliers français se présentèrent au roi de Jérusalem, Baudouin II, qui les hébergea dans une dépendance de son palais situé à l'emplacement de l'ancien temple détruit. Leur chef, Hugues de Payns, les mit aussitôt au travail. Ils avaient une mission secrète, apparemment celle de trouver quelque chose de caché, d'enfoui, un inestimable trésor légitimant les aléas de leur voyage depuis le comté de Champagne, où ils avaient reçu la bénédiction de Saint Bernard en son abbaye de Clairvaux.
En peu de temps, les chevaliers déblayèrent tout le sous-sol obturé par les ruines de l'édifice, notamment les immenses écuries souterraines, si vastes dit-on quelles pouvaient loger « plus de deux mille chevaux ou mille cinq cents chameaux ». Les fouilles durèrent neuf jours. Au matin du dixième, les chevaliers prirent la route du retour, emportant avec eux un précieux fardeau qu'ils entouraient de soins et que nul n'identifia vraiment. Etait-ce l'Arche retrouvée ?
Hugues de Payns et ses compagnons l'auraient-ils ramenée en France et, comme l'affirment des chroniques médiévales, serait-elle scellée dans une crypte de la cathédrale de Chartres, alors en construction ? Ce serait la signification secrète de la sculpture du pilier nord où l'on voit un personnage saisir l'Arche en se munissant d'un voile protecteur. Mais voilà une nouvelle version ; replacez-vous quelques années après le retour de Jérusalem des neuf Chevaliers dont le chef, Hugues de Payns, fut le premier grand Maître. Ces hommes rapportaient un bien inestimable de Terre sainte :
L'ARCHE D'ALLIANCE, qui contenait les Tables de la loi élaborée par les ELOHIMS, ces humanoïdes extraterrestres bénéfiques que nos lointains ancêtres prirent pour des dieux ou des anges. L'Arche recelait aussi des documents technologiques destinés aux générations futures, capables de les comprendre et d'en faire bon usage. Elle renfermerait également un échantillon de la « manne », une substance nutritive synthétique qui sauva de la famine le malheureux peuple hébreu lors de ses tribulations dans le désert. Mais l'Arche d'Alliance, c'était aussi et surtout un générateur de champ électrostatique d'une puissance phénoménale qui abritait, par ailleurs, la « Verge dAaron », à la fois arme redoutable et « clé » donnant accès à d'autres continuums spatio-temporels L'Arche d'Alliance était évidemment bien autre chose qu'un coffret ou une espèce de châsse, comme le prétend une tradition ésotérique : c'était un appareil permettant également d'établir des liaisons, des communications hyper spatiales avec la planète originelle des ELOHIMS, des « dieux ». Les Templiers recopièrent les documents reçus des « Célestes » par Moïse et décidèrent de cacher l'Arche et son contenu en un endroit inexpugnable. Située à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Bar-sur-Aube, dans la vallée de l'Absinthe, non loin de là, l'abbaye de Clervaux servit de tête de pont à l'expansion de l'Ordre. La forêt du Der, cest-à-dire du Chêne, ancien nom de la forêt d'Orient, fut choisie comme bastion de cette chevalerie nouvelle, cela sur le conseil éclairé de son inititiateur Bernard de Clairvaux, le rédacteur des Règles de l'Ordre, celles qui nous sont parvenues et les autres, secrètes celles-là.
Obéissant à des impératifs stratégiques les plus efficaces, les TEMPLIERS érigèrent méthodiquement, autour de cette région élus, un triple cordon d'édifices, des « granges » et autres bâtiments dépendant de deux Baylies, l'une aux portes de l'est, à Thors, l'autre aux portes de l'ouest, à Payens, du nom du fief du premier Grand Maître : Hugues de Payns. (Egalement son lieu de naissance). Cette immense forêt sauvage, infestée de loup, il en existait encore au siècle dernier, abondait en étangs poissonneux. Les Templiers en creusèrent de nombreux autres et l'histoire classique n'en comprit pas la raison. C'est au fond d'un de ces étangs artificiels, dans une cavité parfaitement étanche, que fut cachée l'Arche d'Alliance. Cet étang mis en eau, il assurait une sécurité totale pour la sauvegarde de ce qu'il cachait. Il faut savoir que le nom de la vallée de l'Absinthe, contrairement à ce qu'on pourrait croire, ne doit rien à la plante aromatique du même nom. Si l'on veut y voir plus clair, ou un peu plus clair, il faut se rappeler du texte de l'APOCALYPSE qui évoque ici « l'étoile Absinthe », un astre flamboyant qui tombera du ciel et viendra détruire Israël. Plus probablement, cette prophétie désignait un cataclysme cosmique à venir qui dévasterait la quasi-totalité du globe et anéantirait notre civilisation. Cet astre errant ne tomberait pas ainsi par surprise. Il serait visible fort longtemps à l'avance et à défaut de pouvoir le détruire, il serait possible d'appeler à la rescousse des êtres plus évolués, techniquement, que les Terriens, en les priant de les sauver. DES ÊTRES COMME LES ELOHIMS, PAR EXEMPLE. Cet épisode, comme beaucoup d'autres, fait partie de l'histoire occulte de l'humanité. Et lorsque l'un de ces épisodes est révélé au public, conditionné par deux millénaires de judéo-christianisme et notamment par l'Eglise, celui-ci n'y croit pas ! En règle générale, les gouvernements eux-mêmes n'y croient pas davantage sauf certaines personnalités, qui toutes n'oeuvrent pas pour les Forces Blanches. Ces personnalités-là vont alors, en coulisse, entraver l'éclosion de la vérité, ou effacer ce qui pourrait l'accréditer.Ces éminences grises sont ignorées du public, mais elles sont puissantes.
Suffisamment pour faire admettre et aboutir certains projets « d'utilité générale », tel par exemple la création d'un gigantesque lac artificiel, le réservoir Seine ou lac de la forêt d'Orient qui en 1966, recouvrit un quart de la forêt. Mais comment avoir la preuve qu'on a bien engloutie la cache si l'on ne connaît pas la position, quelque part dans cette formidable forêt ? Alors, on fait admettre la nécessité de créer un autre grand lac, le réservoir de l'Aube, un peu plus à l'est du précédent, qui engloutira un nouveau quart de la région dans le Temple avait fait son bastion, une pierre deux coups, la porte temporelle avec Ces lacs sont-ils utiles pour la régularisation du cours de la Seine et de lAube ? Plus la sécurité de la centrale Atomique de Nogent-sur-Seine. La destruction systématique de la forêt d'Orient depuis quelques décennies n'est peut-être pas due uniquement au désir d'empêcher la découverte de l'Arche d'Alliance. Ce plan d'engloutissement de la région a probablement aussi un autre but, détruire les portes ouvrant sur MAGONIA !
Du sentier de la fontaine aux oiseaux se trouve une porte induite, donnant sur un autre monde, les Templiers connaissaient cet endroit, une autre porte, la plus importante ouvrait dans la forêt, à 3 kilomètres au nord-est du village de Lusigny-sur-Barse, « passage de la mère Lusigne » dont le vocabulaire à fait Mélusine, cette porte est donc à présent sous le réservoir du Lac d'Orient. En vérité, il est possible que l'Arche d'Alliance gise toujours dans une cache sous le lac, ou passé dans la porte dans un autre monde. Pour moi, j'ai tellement passé de nuit dans cette forêt, avec des évènements mystérieux, que je ne peux douter de cette réalité. (Voir la rubrique Xpéditions vidéos- le grand secret, reportage vidéo en forêt d'Orient ou je l'explique à Tyron ci-dessous).
ICI- LE GRAND SECRET par Claude BURKEL
Plusieurs autres sources d'informations pensent que l'Arche après bien des tribulations, retourna en vérité en Israël, pour être dissimulée dans une caverne du Sinaï, non loin du monastère de sainte Catherine.
La taverne de l'étrange- 15 novembre 2007<o:p></o:p>
http://www.insolite.asso.fr/templiers/histoire1.htm<o:p></o:p>
http://www.champagne-ardenne-tech.fr/-spip/article.php3?id_article=710
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