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Un autre regard sur le monde, une autre vision... 4 millions de visiteurs ont franchit la porte. Qu'attendez- vous ? Gardez l'oeil ouvert et le bon si possible... Tyron

LA TRANSMISSION DE PENSEE

 

LA TRANSMISSION DE PENSEE

 

Le matin du 29 mai 1814, vers onze heures, alors qu’il se promenait dans les jardins surplombant la mer de son refuge de l’île d’Elbe, tout en bavardant de choses anodines avec le général Bertrand, Napoléon se mit à pleurer. Au général qui s’inquiétait de ce soudain accès de tristesse, l’empereur ne sut que répondre. Il ignorait tout à fait pourquoi les larmes lui étaient ainsi, soudain, montées aux yeux.


Mais quelques jours plus tard, quand un messager arriva de France, Napoléon comprit tout de suite sa soudaine tristesse. A l’heure où il pleurait dans les jardins de l’île d’Elbe, à des milliers de kilomètres, la femme qu’il avait le plus aimée au monde, l’ancienne impératrice Joséphine, mourait dans son château de la Malmaison qui avait, jadis, abrité leurs amours.

L’empereur Napoléon avait été ce jour-là, témoin et acteur d’un phénomène de transmission de pensée. Il n’est pas nécessaire d’avoir une personnalité aussi prodigieuse que celle du grand empereur pour être ainsi marqué. En réalité, presque tout le monde peut, à un moment ou à un autre, entrer soudain en contact avec un de ces mystérieux messages qui ne passent par le canal d’aucun sens. Oui, la transmission de pensée existe. Les savants eux-mêmes ont bien été obligés de le reconnaître. Ils lui ont donné le nom de télépathie (du grec télé : loin) et les parapsychologues qui l’étudient dans la célèbre Duke University de Caroline du Nord la font entrer dans le domaine des facultés Psi, c’est-à-dire des facultés extra-sensorielles qui ne passent par le canal d’aucun des cinq sens classiques : la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat. Dans la télépathie, tout se passe, en fait, comme si l’esprit d’un des protagonistes sortait de lui-même et, en faisant fi des kilomètres qui l’en séparent, pénétrait, à son insu, dans l’esprit d’un être qui lui est cher. Les médecins qui ont ausculté les télépathes, au cours des séances organisées par les instituts de recherche, ont d’ailleurs remarqué que l’on pouvait observer, à la même seconde, les mêmes modifications cardiaques, respiratoires et vaso-motrices sur les deux sujets. Ce qui prouve que les deux protagonistes sont bien en liaison, qu’ils sont bien placés sur la même longueur d’onde. C’est pourquoi, aussi, on a constaté dans les cas de télépathie spontanée que les messages étaient surtout transmis entre personnes affectivement très proches : un mari et une femme, un frère et une sœur, une mère et son enfant, et, surtout, les statistiques le prouvent : une mère et sa fille.

Ainsi, dans une clinique de Moscou où les nouvelles accouchées sont installées dans un bâtiment séparé et assez éloigné de leurs bébés, on a remarqué que 45% au moins des mamans montraient des signes évidents de nervosité au moment même où, sans qu’elles puissent le voir ou l’entendre, à plusieurs dizaines de mètres de là, leurs nouveau-nés pleuraient. Ces manifestations télépathiques sont capricieuses, déroutantes. Pourtant, les spécialistes qui les ont, depuis de nombreuses années, analysées et comparées, ont pu retenir quelques lois principales présidant à leur apparition. Elles sont plus fréquentes chez les enfants et les adolescents. La plupart des enfants, d’ailleurs, accueillent ces manifestations comme des faits absolument normaux, d’une banalité quotidienne et n’en parlent pas. Cette faculté s’altère généralement avec l’âge pour disparaître souvent complètement. Ces manifestations affectent également davantage les personnes un peu frustes et même les simples d’esprit que les intellectuels. Elles préfèrent les caractères sensibles, les artistes, les poètes, les imaginatifs aux raisonneurs et aux esprits trop cartésiens. Elles sont beaucoup plus fréquentes dans le demi-sommeil. En particulier dans celui, léger, du matin, quand l’esprit du dormeur est à mi-chemin entre la veille et le sommeil. Elles s’opèrent pratiquement toujours en-dessous du seuil de la conscience. C’est pourquoi tant de gens confondent ces messages télépathiques avec des rêves et n’y prennent pas garde. On pense aussi, selon des observations récentes, que la fréquence et la qualité des messages télépathiques dépendent, curieusement, des facteurs météorologiques. Elles sont en relation avec certains rythmes terrestres et même cosmiques. Ce sont les sensations, les émotions qui se transmettent le mieux et rarement les messages d’ordre abstrait. Sans doute parce qu’il s’agit davantage d’un phénomène d’ordre émotionnel qu’intellectuel. On a, d’ailleurs, remarqué que le plus grand nombre de messages télépathiques avaient lieu dans des circonstances dramatiques : accidents, souffrances, mort.

La Society for psychical research qui, à la fin du 19ème siècle, fut une des premières en Angleterre à s’intéresser aux problèmes de la télépathie remarqua ainsi que sur 668 cas qu’elle avait recensés, 399 avaient un rapport avec un évènement de mort. C’est, par exemple, ce cas typique, signalé par Sigmund Freud, d’une femme tchèque réfugiée aux Etats-Unis et qui, un jour de 1939, se sentit soudain prise d’une angoisse indescriptible. En une seconde, elle fut persuadée que sa mère, qui était restée dans son pays, venait de mourir. Son mari, ses amis essayèrent de la persuader qu’elle se trompait, que rien ne motivait une telle alarme. En vain. Et, deux jours plus tard, un télégramme arrivait, confirmant le sinistre pressentiment. Compte tenu du décalage horaire, sa mère était morte à l’instant même où elle avait senti monter cette inexplicable angoisse. Il semble qu’au moment de la mort, en effet, lorsque l’organisme physique s’affaiblit, l’agonisant dispose d’une force psychique décuplée qui lui permet d’adresser, par-delà les distances, un dernier message angoissé à l’être qu’il chérit le plus. C’est également ce qui peut se produire en cas d’accident grave. Un employé américain, M. Skirving, était parti très tôt de chez lui, comme chaque matin, pour se rendre à son travail. Or, il n’était pas à son bureau depuis une heure que, soudain, il fut pris d’une envie terrible de rentrer chez lui. Pendant une demi-heure, il lutta contre ce désir incongru qui l’empêchait de travailler. En vain. Il se décida alors à quitter son bureau et à rentrer chez lui où il s’attendait à trouver sa femme étonnée de le voir rentrer si tôt. Mais à peine eut-il poussé la porte qu’il se trouva nez à nez avec sa belle-sœur. Que faisait-elle là ? Elle lui apprit alors que sa femme avait été renversée, une heure plus tôt, par une voiture, qu’elle était gravement blessée et qu’elle ne cessait de le réclamer à grands cris, dans sa demi-inconscience. M. Skirving comprit alors le brusque désir de partir qui l’avait saisi et il ne le regretta pas.

Tous les savants ont également remarqué que les messages télépathiques étaient particulièrement nombreux et très clairs entre frères ou sœurs jumeaux. Comme si les liens du sang, particulièrement étroits chez eux, rapprochaient davantage leurs esprits. Deux sœurs jumelles qui avaient, pourtant, été séparées depuis l’âge de deux mois et qui vivaient à des centaines de kilomètres de distance, étaient ainsi toujours atteintes de douleurs étranges quand l’autre était malade. Elles avaient pu vérifier d’exactitude de ce phénomène à travers les lettres qu’elles échangeaient. Or, un soir, l’une d’elles fut prise d’une crise particulièrement violente qui la plia en deux dans des hurlements, à la manière des coliques néphrétiques. Appelé d’urgence, le médecin ne décela pourtant aucun trouble. Un parent de la jeune femme lui parla alors de la curieuse association qui semblait unir les deux jumelles, ce qui fit éclater de rire le médecin. Le lendemain, pourtant, quand il revint, il trouva sa patiente guérie. Mais un télégramme était arrivé, annonçant la mort de sa sœur, la veille au soir ! Tous les messages télépathiques, heureusement, ne sont pas aussi sinistres. Il en est de beaucoup plus agréables et  qui simplifient, quelquefois, la vie de ceux qui en sont les bénéficiaires. Ainsi, Elizabeth Smithson ne téléphonait jamais à son frère quand elle avait décidé d’aller dîner avec lui. Pas plus qu’elle ne lui écrivait ou ne lui télégraphiait. Elle se contentait de prendre le train dans sa petite ville du Connecticut, distante d’une dizaine de kilomètres de l’endroit où habitait son frère Allan, un jeune agronome. Elle sonnait et la porte s’ouvrait, découvrant la table mise avec son couvert. Allan ne se montrait jamais étonné de l’arrivée impromptue d’Elizabeth. Il savait qu’elle allait venir et il l’attendait. Cela durait depuis des années. Une telle anecdote n’étonnerait pas les moines du Tibet. La télépathie, en effet, est utilisée chez eux depuis des millénaires pour communiquer d’un moine à un autre ou d’un monastère à un autre. Et l’invention de notre téléphone n’est pour eux qu’une imitation malcommode de cette faculté… et qui peut tomber en panne !

En fait, il semble bien que la faculté de communiquer directement d’un cerveau à un autre soit inhérente à la nature humaine, que nos ancêtres la possédaient à un très haut niveau, mais que nous l’avons perdue peu à peu. Et que le fait de se servir désormais d’instruments de communication électriques comme la TSF ou le téléphone ne fait qu’aggraver cet oubli au fil des ans. Les hommes primitifs, on en est sûr, étaient bien meilleurs télépathes que nous. Certains saints chrétiens étaient également réputés pour les messages télépathiques : Saint-Thomas d’Aquin, le curé d’Ars et plus près de nous, le padre Pio. On dit aussi que Jeanne d’Arc avait une très grande maîtrise de la transmission de pensée et qu’elle aurait convaincu le dauphin de la sainteté de sa mission, lors de l’entrevue de Chinon, en lui répétant mot pour mot une prière qu’il avait souvent faite dans le secret de son âme et qu’elle aurait « captée ». Un phénomène aussi fréquent et aussi étonnant que la télépathie ne pouvait manquer d’intéresser les savants. Et c’est pourquoi, pour l’étudier, ils ont essayé de la provoquer sur des sujets sélectionnés en laboratoire. Soit à l’aide de cartes dites de Zener dont il faut deviner les dessins, soit en faisant deviner des objets ou des dessins. Mais parallèlement, d’autres savants ont été plus loin et ils ont tenté des expériences à distance, dans la nature. Ainsi, en 1937, un scientifique américain, Hubert Wilkers, partait en expédition vers le pôle. Il décida de tenir son journal tandis qu’un de ses amis, Sherman, resté à New-York, essayerai, chaque jour, d’entrer en contact télépathique avec lui et consignerait, au fur et à mesure, les impressions qu’il recueillerait. Un an plus tard, au retour d’Hubert, on compara les deux journaux de bord et on resta confondu devant le nombre de coïncidences extraordinaires. Sherman avait vu, un jour, son ami en compagnie de militaires. Il était en habit, au milieu d’une grande assemblée. Ce qui était étonnant pour quelqu’un qu’on supposait perdu au milieu des glaces du Grand Nord. Mais à la même date, l’explorateur racontait qu’à la suite d’un atterrissage forcé dans le Saskatchewan, il avait été invité à une cérémonie pour commémorer l’Armistice. Et qu’il avait dû emprunter un habit à l’un des militaires de la base. Un autre jour, Sherman avait écrit : « Il fait nuit. Je vois un feu vif. Il fait froid. Il y a beaucoup de vent. » A quoi cela pouvait-il correspondre ? On trouva la réponse dans le journal de Wilkers. Ce jour-là, le 7 décembre, il expliquait qu’une cabane d’esquimaux avait pris feu et qu’il avait participé au sauvetage.

Depuis, ces expériences ont été reprises, tant chez les Russes que chez les Américains, dans des buts stratégiques, très clairs. Ainsi, dans les années 60, un marin resté à terre, a communiqué à l’aide de cartes de Zener, avec un de ses camarades, embarqué sur le Nautilus, le sous-marin atomique américain qui part pour de longues missions sous les glaces du pôle et reste, ainsi, de longs jours sans contact radio avec sa base. En dépit de la glace, de l’eau, des tôles épaisses du sous-marin et de la distance, les résultats furent bons à 70%. Lors du vol Apollo 14, l’astronaute E. Mitchell, passionné par les phénomènes paranormaux, renouvela l’expérience en communiquant chaque jour, cinq minutes, avec quatre receveurs à terre. Il s’agissait de sélectionner certains chiffres dans des colonnes établies à l’avance. Les résultats furent gardés secrets, mais on sait qu’ils furent excellents.

Petit rappel : Le 23 juillet 1959, le Nautilus, premier sous-marin atomique américain opérationnel, entreprenait une longue croisière d’essai sous les ordres du commandant Mitchell. Battant tous les records de navigation en plongée, il réalisait en outre l’exploit de traverser la banquise arctique de part en part, passant sous les glaces à la verticale du pôle. A l’époque, toute la presse internationale salua cette performance comme il se devait. Mais bientôt cette expédition devait révolutionner le monde fermé de la parapsychologie. Les journaux révélèrent en effet ce détail étonnant : enfermé dans une cabine à l’abri des regards indiscrets de l’équipage, officiers compris, un télépathe serait resté en contact mental avec un autre télépathe basé à 2500 km du pôle ! L’expérience peut-être décrite ainsi d’après les informations qui ont filtré : un « agent » (émetteur) du Westinghouse Special Research Center de Friendship, aux Etats-Unis, tirait l’une après l’autre des cartes Zener (un carré, un cercle, une croix, une étoile, trois lignes ondulées) en se concentrant mentalement sur les figures obtenues. A bord du submersible, le « récipient » (récepteur) s’efforçait de trouver l’ordre de tirage des cartes. Les résultats positifs furent de 70% alors que le simple hasard n’aurait donné que vingt chances de réussite sur cent, ainsi que nous l’apprend le calcul des probabilités.

« La télépathie est-elle une arme secrète ? La P.E.S (perception extra-sensorielle) jouera-t-elle un rôle dans la guerre future ? » « Les militaires américains ont-ils percé le secret de la puissance de l’esprit ? » Tels sont les titres que l’on put lire dans les journaux de l’époque. Cependant, il y eut aussitôt des échos discordants. Chaque fois que des porte-parole de l’U.S. Navy étaient interrogés sur ce sujet, ils répondaient invariablement : « No comments ! »

Et plusieurs amiraux ont été formels : « Personne dans la marine ne s’est jamais occupé de télépathie ». Ajoutons une autre pièce au dossier. Le défunt commandant Cousteau était un ami du commandant Mitchell. Voici quelques années, il déclara publiquement que toute cette affaire était un canular monté par son camarade. Qui croire ? La marine américaine a-t-elle l’habitude de confier un engin unique, valant plusieurs millions de dollars, à un plaisantin ? Le commandant Mitchell a donc menti, mais quand ? En démentant la présence du télépathe ou auparavant, en parlant de sa présence à bord ? Quant au commandant Cousteau, c’est un pionnier de la recherche océanographique, mais certains de ses travaux ont une importance stratégique indéniable. N’a-t-il pas été conduit à inventer de toutes pièces la version du canular pour dissuader des curieux de s’intéresser à certaines recherches ? Aucune réponse satisfaisante n’a encore été donnée à ces questions, et c’est bien dommage. Toutefois, les spécialistes ne prennent pas au sérieux ces dénégations. Aux Etats-Unis, la presque unanimité des parapsychologues sont persuadés de la réalité des expériences de radio mentale à bord du Nautilus. Il en va de même en Russie et que le commandant Cousteau l’admettre ou non, cela c’est quand même un argument de poids !

Les Russes font d’ailleurs bien plus qu’y croire. C’est lorsque la presse a parlé de l’expérience américaine que le coup d’envoi de la recherche parapsychologique a été donné en Russie. Et, depuis, les savants travaillant pour le haut état-major mettent les bouchées doubles pour rattraper le retard. Détail révélateur, quand le biologiste Naumov a rencontré les Américains Ostrander et Schroeder, il leur a déclaré en toute candeur : « Si votre marine n’a pas effectué d’expériences à bord du Nautilus, dans ce cas, les savants russes ont été les premiers au monde à expérimenter la P.E.S. à bord d’un sous-marin. » On peut comprendre que les militaires américains aient désiré conserver pour eux le secret sur leurs recherches. Mais, maintenant que ce secret a été percé à jour par les Russes, il n’y a aucune raison pour que l’immense public passionné par la parapsychologie soit privé d’informations. Oui, ce mystère qui entoure le Nautilus est vraiment ridicule !

En réalité, les savants et les responsables de la défense ne cachent plus aujourd’hui leur intérêt pour ce pouvoir étonnant que possède l’homme et dont il se sert si peu : la télépathie. Un observateur militaire américain ne l’a pas caché à la suite du voyage du Nautilus. « Nous voulons savoir, a-t-il dit, si l’énergie émise par le cerveau des hommes peut influencer à distance le cerveau d’un autre être humain. Si nous parvenons à définir la véritable nature des ondes de la télépathie, nous pourrons alors nous efforcer d’amplifier ce phénomène et l’utiliser à des fins qui semblent encore inimaginables. »

 

Source- recherches personnelles, mai 2009

 

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T
BonjourOui il faudrait me donner par email (taverne.etrange@gmail.com) votre témoignage en citant l'endroit, l'heure et l'évènement avec un maximum de détail et je publirai cela par la suite, merci ! Tyron
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S
Bonjour je voudrais avoir votre avis. Dans la nuit du 26 08 2010, j'ai eu la possibilité de vivre quelque chose d'étrange. Y a -til au cours de cettenuit des manifestations que d'autres personnes aurainet constaté? Une sorte de nuit maléfique? Merci Salva
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