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Depuis des décennies, toutes les informations qui touchent de près ou de loin aux phénomènes ufologiques ont été censurées, tronquées ou tout simplement tournées en dérision. Une volonté perverse dissimule la vérité sur ces sujets que le " peuple d'en bas " ne doit pas connaître. Imaginez un génie capable de s'introduire dans 53 ordinateurs de l'armée américaines, 26 de l'US Navy, 16 de la Nasa, un du département de la défense et un de l'US Air Force, répartis sur 14 Etats Américains !
C'est ce que fit Gary McKinnon, un britannique de 39 ans, entre le début 2001 et le début 2002. C'est selon le procureur général du gouvernement Américain : " Le plus important piratage de système informatique militaire qui ait jamais eu lieu ". Gary McKinnon vit toujours en Angleterre mais les Américains multiplient les pressions pour le rapatrier sur le territoire U.S. Leur but est de faire un exemple avec un procès de cyber criminalité apte à décourager tout futur hacker international. Pourquoi un tel acharnement ?... Est-ce parce que les documents récupérés par ce pirate du clavier révèlent d'autres secrets que celui des " ballons sondes "... qui volent à mach 2 contre le vent, ou le mystère des mannequins en caoutchouc tombés à Roswell, plus de vingt ans après le crash de 1947 ! Dans une interview donnée au quotidien " le guardian ", McKinnon a expliqué qu'il cherchait des preuves de l'existence des ovnis et qu'il en avait trouvé :
" J'ai trouvé une liste de gradés avec le titre de " Non Terrestrial Officers "... Ce que j'ai interprété comme étant des gradés sur des bases non-terrestres. J'ai également trouvé une liste correspondant à des transferts entre flottes, associée à une liste de noms de vaisseaux qui, après recherche, ne faisaient pas partie de la flotte US. J'en ai donc déduit qu'ils devaient être des vaisseaux spatiaux non listés ". Voilà qui commence à nous intéresser : McKinnon déclare avoir trouvé des listes d'officiers envoyés sur des bases extraterrestres ou transférés sur des vaisseaux spatiaux ! Ces déclarations méritent de s'y arrêter. Un homme capable de pénétrer 97 machines militaires parmi les plus protégées de la planète ne peut pas être un imbécile ! Et le but en soit s'apparente donc plutôt à une véritable quête ! Il est à noter que plusieurs ufologues de renom avaient depuis longtemps avancé cette possibilité. A une époque où la navette Columbia conçue dans les années 70 est obsolète, il serait temps que l'Amérique dévoile ses véritables possibilitées... Supposons un instant que Gary ait confié à quelques journalistes ou à des amis sûrs, les résultats de son braconnage informatique, et que ces derniers apportent les preuves que nous sommes visités par des intelligences issues d'un autre espace, d'une autre dimension, ou d'un autre temps ; certains " déboulonneurs " risquent de rire jaune ! Certains chercheurs parmi les plus respectés, et notamment notre ami Guy Tarade, s'intéressent de très près en tout cas au sort qui sera réservé à Gary McKinnon. C'est le début du vrai cauchemar pour celui que la presse spécialisée présente comme l'un des hackers les plus impétueux de ces dernières années. D'après Scotland Yard, Gary McKinnon serait le plus important pirate de systèmes informatiques militaires. L'une des cibles du hacker était notamment le Pentagone.
En 2002, McKinnon fut l'objet d'une inculpation par la justice fédérale américaine qui avait retenu contre lui pas moins de 8 chefs d'accusation de crimes informatiques perpétrés dans 14 États différents. La justice a mis trois années pour retrouver l'individu et l'appréhender. La note risque d'être salée et les américains ne lui feront pas de cadeaux. L'histoire de McKinnon se rapproche de l'épopée de Kevin Mitnick, un autre pirate très médiatisé, qui avait écopé de cinq années de prison ferme en 1995. Il a été libéré en 2000 à l'age de 36 ans. Le gouvernement britannique vient de donner le feu vert à son extradition vers les États-Unis. Après 3 années de cavale, il a été arrêté, en juin 2005. Le montant des dommages occasionnés par ces piratages est estimé par le gouvernement américain à 700.000 dollars. Gary McKinnon, qui s'est largement exprimé dans la presse et dans les forums dédiés au hacking risque jusqu'à 70 ans d'emprisonnement et une amende salée de 1,75 million de dollars. Mais le personnage bien qu'inquiet n'a pas encore dit son dernier mot...
http://www.zunya.org/zun/articles/ufocoverup.html
source- revue " Top Secret n° 21 " oct/nov 2005