Un autre regard sur le monde, une autre vision... 4 millions de visiteurs ont franchit la porte. Qu'attendez- vous ? Gardez l'oeil ouvert et le bon si possible... Tyron
LA FONTAINE LUMINEUSE DES FEES
En mai 1946, M. Carlsson, industriel, se trouve de nuit près d’Angelholm, à une centaine de kilomètres au nord de Malmô, dans la province suédoise de Scinie. Il aperçoit soudain dans la clairière un disque de 16 m de diamètre et 4 m de haut, dont le dôme – ou coupole – est percé de « fenêtres » ovales, et supporte en son sommet un périscope de 5 m de haut.
Le disque est posé sur un aileron vertical oblong allant du bord à la base le long de la face inférieure, et deux pieds métalliques. Une petite échelle descend d’une ouverture proche de l’aileron vertical. M. Carlsson sent une odeur d’ozone, observe que le disque est muni d’orifices de turbines, à sa périphérie, que le périscope porte trois antennes pointées vers le bas et que, d’un, abat-jour, placé plus bas sur le périscope, descend une véritable cloche de lumière pourpre qui enveloppe l’objet.
Pour retomber à quelques mètres de sa périphérie, en produisant sur le sol des étincelles. Cette « cloche », ou écran lumineux, ressemble fort par son aspect pulsant à une sorte de jet d’eau. Le témoin voit alors des êtres autour de l’objet, en combinaison blanche moulante, ceinture noire, gants noirs et bottillons. A travers leur casque transparent, leur tête, absolument humains, présente une peau hâlée. Ils sont onze : sept « hommes » portant un couvre-chef noir sous leur casque et quatre « dames » à la longue chevelure cendrée. Leur taille est normale, et ils sont sveltes.
Un être se tenant au-delà de la cloche de lumière fait un signe à Carlsson alors qu’il se trouve à 10 m, comme pour lui enjoindre de s’arrêter. Un autre être est placé de l’autre côté de la « cloche », tandis que cinq autres semblent réparer une fenêtre de l’objet, sous la protection de la « cloche ». Trois, « dames » se tiennent aussi sous la cloche, et seront rejointes ensuite par une quatrième, qui sortira de l’objet à son tour.
Le « garde » lève le bras, tandis que Carlsson approche encore. Le témoins s’arrête et braque sa lampe de poche, dont la pile est neuve, vers le garde, qui pointe à son tour une boîte noire accrochée par une chaîne autour de son cou. La boîte émet un cliquètement, et la lampe de poche s’éteint ! C’est à ce moment que sort la quatrième « dame » qui lance en riant un bâtonnet de métal vers Carlsson, au-delà de la « cloche ». Le témoin fuit et assiste de plus loin au départ de l’objet, une demi-heure après : des jets rouges sortent des orifices périphériques et l’objet s’élève à la verticale dans un son plaintif jusqu’à hauteur d’arbres, s’immobilise, remonte jusqu’à 450 m environ, oscille alors sur place, pour enfin filer très vite, les lumières devenant d’un pourpre intense. Sur place, imprimées dans le sol, les traces de ‘aileron, des deux pieds et, marquées sur l’herbes, deux circonférences nettement discernables. Le bâtonnet, retrouvé, aurait été constitué de silicium. (Réf ; F.S.R. vol 18 (1972) , n°2, p.15-17 : « The Ängelholm Landing Report », by Sven-Olof Fredrickon). Or, le mardi 29 août 1967, vers 23 h 10, Yvan Guindon, 13 ans observe à Oka, au Canada, à 45 m de lui et 20 m d’altitude, un objet blanc de 10 m de diamètre et 5 m de haut, qui produit un curieux bruit (« ion… ion… ion »), fonction de la vitesse : lent et grave, ou rapide et aigu. A la périphérie de l’objet, s’entremêlent des lueurs jaunes, rouge, orange, qui semblent onduler. Les yeux du témoin le brûlent, sa tête lui fait mal.
Une colonne lumineuse cylindrique de un mètre de diamètre s’élève d’environ 12 m : elle part du sommet de l’objet pour retomber en un « rideau liquide » ou « mur transparent » en forme de cloche, alentour, déterminant sur le sol un cercle lumineux de 80 m de diamètre. Le bruit s’intensifie, la périphérie s’éteint, et l’objet file à la verticale jusqu’à 300 m d’altitude, puis vers le nord, à 23 h 25. L’objet discoïdal observé par M. Onilson Patero près de Catanduva, dans l’Etat brésilien de São Paulo le mardi 22 mai 1973 émet au centre de sa face inférieur un tube vertical, puis s’entoure d’une sorte de rideau semi-transparent qui neutralise la sensation de chaleur intense et d’étouffement du témoin… et qui ressemble fort au célèbre voile de la fée Viviane retenant prisonnier Merlin. Récemment, le mardi 20 septembre 1977, vers 4 h du matin, les habitants de Petrozavodsk en Carélie peuvent, eux observer une autre pluie d’or de Danaé : une énorme étoile émet un bouquet de rayons lumineux pulsants extrêmement fins qui retombent sur la ville en une sorte d’averse lumineuse. Puis la méduse lumineuse prend l’aspect d’un hémisphère lumineux et file vers le lac Onega. L’objet est alors rouge au centre et blanc sur les bords. Le tout dure de dix à douze minutes.
*
REFERENCE : Sotsialistischeskaya Industriya, Moscou, 23 septembre 1977 ; F.S.R. vol. 23 (1977), n° 4, p. 19-20 : « A Russian « jellyfish « hy Gordon Creigton.
Courton-le-Bas le 23 Février 2013