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La pyramide de Khéops, enfin une solution physique industrielle
Testez votre capacité hypothético-déductive et complétez au besoin l'approche scientifique de ma mécanique industrielle. Gilles Job présente un scénario réaliste au sujet du mystère de la construction de la grande pyramide. Une nouvelle hypothèse quant à la technique utilisée pour élever les 2.300000 blocs de 2.5 tonnes jusqu'à 147 mètres de hauteur (dont un bloc de granit de 70 tonnes) vient de paraitre aux éditions bénévent de Nice. En effet, l'auteur propose une théorie scientifique tenant compte des contraintes draconiennes liées à cette aventure architecturale d'un autre temps. Un dispositif d'une extrême ingéniosité, fondé sur une étonnante maîtrise des lois fondamentales de la physique, de la géométrie et de la mécanique du mouvement est dévoilé dans un premier ouvrage de 50 pages disponible dans toutes les librairies francophones.
voilà l'ingénieux système en photo.
Ici l'animation :
http://www.webmaster-bretagne.info/flash/construction-pyramide.html
L'efficacité du système décrit par l'auteur remet en question la conviction selon laquelle les conditions de travail des ouvriers étaient atroces, d'ailleurs de récentes fouilles archéologiques mettent en évidence la qualité de l'intendance et le soin apporté aux équipes chargées de l'édification de ce fameux monument. 45 siècles avant Taylor et Ford une telle réalisation témoigne d'une production organisée et standardisée à l'extrême avec même des travaux confiés à des sous-traitants. Enfin, cette pyramide dotée de surprenantes propriétés astronomiques, la barque solaire symbolisant le voyage de l'âme, ne s'apparente-elle pas à la présente entreprise de conquête spatiale qui fouille et observe toujours plus loin l'univers ?
le mystère de la construction des pyramides par Gilles Job
Deux mille six cents ans avant Jésus-Christ, une civilisation hors du commun achevait le plus gigantesque tombeau royal de tous les temps. La pyramide de Khéops, cet édifice, d'une hauteur de 137 mètres et d'un poids estimé à 7.500000 tonnes, intrigue à bien des égards. la méthode suivie pour sa réalisation soulève de nombreuses questions : comment s'imaginer, en effet, que sans même disposer de la roue ni de la poulie, 2.500000 blocs de pierres de 2,5 tonnes furent assemblés judicieusement, en un temps record, pour aboutir à cette merveille classée aujourd'hui au patrimoine de l'humanité ? Bien des hypothèses ont depuis germé pour tenter de résoudre cette énigme.
L'ingéniosité des Egyptiens, inventeurs du premier vérin de l'histoire, nous démontre, si besoin en était, leur savoir-faire impressionnant. Cet ouvrage met en évidence une combinaison astucieuse de l'utilisation des leviers et des cordes, à partir des principes de bases de la physique. Cette même mécanique réadaptée de nos jours grâce à la métallurgie contribue grandement au bien-être matériel de nos sociétés modernes. Nous ne pouvons qu'être admiratifs devant une telle efficacité en ces temps au coeur d'une civilisation en fin de compte très proche de nous, malgré les cinq millénaires qui nous séparent. Comment ne pas être stupéfait de l'aspect sociologique et philosophique de cette industrie pacifique de haute performance qui allie originalité et spiritualité, et qui réside aux agressions du temps ? Autant d'énergie déployée en si peu de temps, et cela sans la moindre goutte de pétrole, quelle leçon d'économie et d'écologie pour nous, contemporains, responsables à part entière du devenir de la planète et de la gestion de ses ressources naturelles.
La taverne de l'étrange- 5 juin 2007
*** L'interview de G. Job par Tyron29 ***
Ayant lu son livre, javais envie de le voir afin de lui poser certaines questions à propos de sa théorie sur la construction des pyramides. Donc je me suis rendu sur place, chez lui afin de réaliser cette interview « taverne » pour que nous puissions comprendre le but de son livre.
La taverne- Bonjour Gilles, je suis Tyron29 de la taverne de l'étrange. Vous venez d'écrire un beau petit livre qui développe en 12 chapitres une nouvelle hypothèse très réaliste au sujet de l'édification de la grande pyramide de Kheops.
G. Job- Oui, tout à fait Tyron, faisant suite à des décennies de recherches passionnées sur ce sujet en particulier, jai pu mettre à jour un principe astucieux et relativement simple délévation des monolithes cubiques à des dizaines de mètres de hauteur.
La taverne- Pourquoi un tel acharnement ?
G. Job- Ma forte motivation fait suite à ma passion initiale pour les lois du mouvement en général ; c'est-à-dire la force descendante de Newton et la force ascendante de la poussée d'Archimède et aussi cet intérêt évident à mon sens quant à cette force inutilisée et magique que constitue la fabrication généralisée d'électrons à partir de l'activation d'un mouvement rotatif dune simple dynamo de bicyclette.
La taverne- Depuis quand vous intéressez vous à la fantastique aventure architecturale de Kheops ?
G. Job- J'enquête sur ce sujet particulier depuis l'année 1980 (l'année de J. Lennon, les fans des scarabées comprendront ...). Tout simplement après avoir pris conscience de l'évènement architectural majeur qui s'est déroulé à cette époque très éloignée de notre présent.
La taverne- Expliquez-nous en quelques mots.
G. Job- Et bien en fait la question clé que je me pose cette année là est de savoir quelle est la source d'énergie qui permit daccomplir cet exploit. Cest-à-dire la mise en place de plus de 2,3 millions de pierres énormes jusqu'à une hauteur de 147 mètres ? Même si la question est à priori complexe celle-ci semble partir d'un postulat clair et relativement précis. Je veux dire la manipulation de plus de 7 millions de tonnes de matériaux en 20 ans sans métallurgie élaborée, sans poulies, sans roues, uniquement du bois et des cordes ! L'une de 2 de mes 12 contraintes majeures incontournables.
La taverne- Vous résumez la question de l'édification à savoir une formule mathématique ?
G. Job- Mathématique et physique. Car la résultante de cette formidable équation que les faits nous imposent est époustouflante ! Même en faisant varier le paramètre horaire de 40.000 heures à 70.000 heures ! D'où la dénomination suivante : « L'équation infernale » et la loi des 60 pour 1 qui découle de cette approche.
La taverne- C'est quoi cette loi des 60 pour 1 ?
G. Job- Oui, excusez-moi Tyron je vais un peu vite, prenez en compte les paramètres suivants : soit 2.400000 blocs placés en 20 ans. Ce qui correspond à une durée d'environ 7000 journées. Il en résulte alors un rendement fabuleux, par exemple en considérant une durée effective de 40.000 heures, d'une pierre de 2,5 tonnes placée chaque minute en moyenne pondérée pendant toute la durée du chantier. De quoi décontenancer toute personne attentive à la réalité des faits.
La taverne- Sous cet angle cela semble en effet complètement surréaliste !
G. Job- Bien sûr, 30 secondes, 1 minute ou 2 minutes par unité de production quelle importance ? Au final, quelque chose d'extraordinaire a bien eut lieu et il nous faut trouver la réponse ! Pour ma part en cette année 1980, je ne crois pas en la tyrannie de Kheops ce que suppose Hérodote, le père de l'histoire voici 25 siècles, mais je cherche dès lors une explication plutôt scientifique. Cette première conclusion hypothético-déductive simple et sensée s'est alors imposée à mon esprit toutes ces années tel un postulat euclidien clair et simple. Cela implique évidemment une solution industrielle à ce problème technique déroutant et unique. N'oublions pas que la pyramide de Kheops restera la construction la plus haute du monde pendant 44 siècles environ.
La taverne- Cette affaire d'architecture antique pose une 2ème question infernale m'avez-vous dit ?
G. Job- Et oui ! C'est la question de la mise en place des monolithes géants à plus de 60 mètres de hauteur dont le plus lourd en granit d'Assouan approche les 70 tonnes. Comment propulser cette masse gigantesque à une telle hauteur avec des moyens rudimentaires ? Tout cela ne fait que renforcer ma conviction d'une explication technique particulière.
La taverne- Votre découverte répond donc à ces deux questions essentielles ?
G. Job- Tout a fait Tyron et je le démontre dans la mesure de mes moyens. Ma découverte de l'astuce fondamentale à l'origine de cette prouesse architecturale est parfaitement modélisable. Actuellement il me teste les photos de la maquette d'un bloc de ciment et de fonte dun poids de 35 kilos pour un format un peu supérieur à une batterie d'automobile le tout installé sur une pyramide improvisée en parpaings dans mon grenier en août 2001. Tout est affaire de démultiplication dont les principes inaliénables vont se retrouver dans les diverses inventions de ces derniers millénaires, d'Archimède à Héron d'Alexandrie jusqu'à Denis Papin et James Watt qui robotisent le levier en 1769 par adjonction de la force thermique permettant ainsi de propulser un engin très lourd sur un chemin de fer.
La taverne- Vous proposez donc un scénario scientifique ?
G. Job- Avec des mots simples et adaptés à cette première parution, le but étant dabord de verrouiller les principes fondamentaux de mon « brevet industriel » et d'offrir ainsi une nouvelle base de travail aux nombreux spécialistes qui peuvent désormais critiquer à loisir ma démonstration.
La taverne- Vous semblez sûr de vous ?
G. Job- Vu la galère pour parvenir à éditer ce premier petit livre il faut bien ! J'attends depuis des années des avis sur cette question récurrente et je propose une hypothèse inédite que j'ai transformé en théorie. A charge à qui veut de la démonter ou bien de proposer mieux ! En gros cela revient à trouver mieux que la petite reine du tour de France pour des déplacements rapide à énergie musculaire ! C'est vous dire !
La taverne- Je vois, votre théorie semble donc difficile à attaquer ?
G. Job- Je le pense ! Et nous verrons bien ce que diront les différents analystes sur le sujet ! Prenez connaissance de mon scénario au final pas très compliqué, n'hésitez pas à me poser vos questions ou même à m'écrire. Le livre est disponible en librairie à 9 ( tapez sur internet Bénévent-Job ), et chez moi à mon adresse au : 12 rue de la reine blanche, 51120 Lachy à 7 et à 8 avec les frais postaux. Dédicace en sus à 50 ( je plaisante ! ).
La taverne- Gilles, je vous laisse le mot de la fin.
G. Job- Cette première lecture va vous poussez à remettre en question tout un ensemble d'idées reçues. Ma découverte est une bombe culturelle à n'en pas douter. Cette fantastique épopée technologique ne doit pas nous laisser insensible. Un tel projet pacifique et fédérateur, une telle réussite architecturale, la première grande entreprise de conquête osée par les maçons de l'Âge du Bronze. C'est stupéfiant et encourageant pour l'Humanité. L'aventure continue 46 siècles plus tard avec la conquête spatiale, vive l'homme ( et la femme ) et sa formidable capacité innovatrice. Voilà Tyron en résumé la démarche et l'objet du livre, rien d'incohérent que du pragmatisme. Je pense que la solution à cette affaire est logique et unique, celle-ci doit être sans doute développée, débattue, nous avons tous à y gagner. Amis lecteur, votre soutien va peut-être me permettre de faire éditer le deuxième livre beaucoup plus étoffé, la suite dépend de vous !
A vous de juger, mais de grâce lisez l'ouvrage avant !
La taverne- Merci Gilles de m'avoir reçu chez vous, merci aussi pour vos infos portées à la connaissance des visiteurs de la taverne de l'étrange et bonne chance alors pour la suite !
Interview réalisée le dimanche 24 juin à Lachy
*** 3 juillet 2007 ***
J'ai demandé à un collègue de boulot de lire le livre de G. Job car je voulais avoir un avis « venant » de l'extérieur, en l'occurrence un ami qui s'intéresse à l'égyptologie et fan de la taverne également. Voilà le rapport qu'il m'a rendu car je lui ai demandé ce qu'il en pensait suite à sa lecture.
" C'est avec intérêt que j'ai lu le livre de Mr Job, livre qui attrait à la construction des pyramides et plus particulièrement sur le mécanisme qui aurait permis aux égyptiens de déplacer les blocs de pierres de plusieurs tonnes, et ce, jusqu'au sommet du monument. Au début de son livre, l'auteur nous fait part des différentes contraintes à la réalisation d'une pyramide ( temps, place, poids...) ; puis il nous explique le fonctionnement de son invention, à l'aide de schémas. Après avoir lu ce livre, je suis persuadé que le procédé peu effectivement permettre d'élever des blocs de pierres avec un minimum d'énergie. Cependant, il soulève également de nombreuses questions : 1/ ce procédé permet d'élever des blocs jusqu'au niveau inférieur de la base de la machine sans problème, mais est-il capable de les envoyer plus haut, puisque c'est l'endroit exacte ou se trouve son invention ?
2/ Pour que ce système fonctionne, il faut que la tension de la corde, l'amplitude du mécanisme et la distance que doit parcourir le bloc soit parfaitement réglé. Hors, plus la distance bloc/invention est importante, plus la tension de la corde est difficile à contrôler donc, plus l'amplitude ( longueur ) du bras levier doit être importante. A mon avis, l'invention est bonne, proche de la réalité. J'aimerai la voire fonctionner.
Dany
*** 6 juillet 2007 ***
Voilà la réponse de l'intéressé à savoir Gille Job concernant les interrogations de mon ami suite à la lecture du livre !
*
G. JOB- Je vous remercie tout d'abord de vous intéresser autant à ma démonstration. Vous soulevez en première approche la grande question relative au principe des vases communicants qui dans le cas présent interdit effectivement à notre bloc considéré de progresser plus haut que le niveau zéro où les grues sont positionnées. Cependant, il n'est pas prévu de continuer à faire culbuter la pierre par une nouvelle impulsion, celle-ci est au stade intermédiaire de son fabuleux voyage sur le monument et la grue doit désormais soulever tout simplement cette masse imposante de 2.5 tonnes et la faire pivoter vers l'intérieur du chantier où d'autres grues assurent les relais jusqu'au centre névralgique de l'ouvrage (axe central de 280 coudées ou "147 mètres" de la même façon qu'un seau d'eau passe de mains en mains pour lutter contre un incendie. Je reviendrai beaucoup plus longuement sur cet aspect de la manipulation des pierres dans le livre 3 je l'espère avec des gravures explicatives (format A3).
Vous mettez ainsi l'accent sur un point fondamental de l'édification avec la mise au point incontournable du système par soulèvement intégral et répétitif de centaines de milliers de pierres standardisées à cet effet pour des raisons techniques bien évidemment mais aussi rhéologiques. Tentez d'imaginer la pose en plein du 1er palier de ce gigantesque monument d'une surface au sol de 55000 m2, ce qui correspond environ à un volume de 160 000 pierres (considérons 1 pierre= 1 m3 soit près de 7% du volume total de l'édifice. Tout cela au final pour culminer à 3 mètres du sol, étonnant non ! A propos de physique des transferts de matières, à noter l'invention de Héron d'Alexandrie et sa fontaine extraordinaire (plus de 2000 ans) qui fait jaillir l'eau plus haut que le niveau du réservoir initial par une habile combinaison et impulsion gazeuse, fantastique! (gravures et iconographies là aussi indispensables).
N'allez pas en conclure pour autant qu'il est impossible pour l'Egypte ancienne de soulever une telle masse car c'est justement l'une des clés du succès incontestable de cette grande aventure architecturale (et tout un chapitre du livre 3 si ...) Observez plutôt ce que l'homme moderne à fait de Tancarville à Millau dernièrement et le lien géométrique criant qui unit tous ces projets pharaoniques. La question est tout autre avec les pierres géantes mais peu nombreuses. La tension de la corde est bien sûr un problème récurent à chaque impulsion nouvelle du bloc au même titre que le calage anti-retour ou bien la mise en charge des contrepoids, chaque manoeuvre doit être structurée et simultanée pour aboutir au fameux rendement moyen de 60 blocs à l'heure placés pendant 20 ans.
Par ailleurs, seuls des essais à taille réelle pourront permettre d'éclaircir certains aspects du chantier théorique. Les Egyptiens ont étudié des décennies durant ces diverses phases à n'en pas douter (de Djoser à Snefrou). Lors de mes essais avec un bloc de béton et de fonte de 35 kilos j'enroulais tout simplement mes 2 ficelles autour du point de force situé à l'extrémité de ma grue improvisée (un clou anti-glisse servant d'enrouleur), le but étant d'observer la réaction physique de mon filin disproportionné par rapport à la masse en mouvement à la manière d'une bielle de locomotive par exemple. La correction d'amplitude peut s'effectuer grâce à un genre d'anneau à vriller, comme un tendeur de fils que les vignerons connaissent bien, 2 cordes étant torsadées rapidement jusqu'à la tension voulue. (j'ai pu observer ce phénomène tout bête dans le milieu des années 60 lorsque mon grand-père Emile JOB retendait en un clin d'oeil sa scie à bûches).
Voilà, une réponse trop brève certes, mais cela va peut-être permettre d'engager un dialogue constructif avec d'autres intervenants !
*** 19 juillet 2007 ***
Tyron et Gilles Job à Lachy
Nous sommes passés donc voir Gilles chez lui car nous étions dans les parages et avons discutés deux bonnes heures sur son projet de deuxième livre mais faudra attendre un peu, histoire de voir l'évolution ici et l'avis de personnes qui pourront l'aider à cela. Néanmoins j'ai envoyé un e-mail à Jean Claude Carton de RIM Radio sur Paris et il m'a répondu qu'il souhaitait avoir ses coordonnées. Donc je me suis exécuté et il va pouvoir l'appeler pour très certainement le convoquer dans les studios et plus précisément l'invité dans son émission phare " Plus près des étoiles " le vendredi soir dès 23h ; émission à laquelle j'avais également été convié en mai 2007. Comme je le dit souvent le meilleur reste à venir et pour Gilles et ce passage radio va sûrement l'aider par la suite dans ses démarches futures et son projet de livre qui le tient à coeur.
Voilà l'adresse d'un site qui montre le principe du système de G. JOB à savoir les " Roues merveilleuses " .
Voilà l'adresse : voir ici les roues merveilleuses !