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EST – CE BIENTÔT NOTRE TOUR ?
par Raymond TERRASSE
Lettre circulaire à méditer, envoyée par courrier postal, n’ayant plus d’Internet actuellement.
Les membres de la population terrestre encore conscients, peuvent se rendre compte de deux choses : 1) L’Humanité actuelle court à sa perte avec la dégradation de la mentalité et des mœurs en général, le mal prenant la pas sur le bien, le négatif étant porté aux nues, et le positif jeté aux oubliettes comme une serpillière usagée ayant fait son temps. 2) Que nous ne sommes pas les propriétaires de notre planète, mais simplement des locataires tolérés jusqu’ici. Et comme notre conduite envers notre monde diamanté auréolé de bleu devient de plus en plus en opposition avec le cahier des charges que nous devrions respecter, il semble que nous nous rapprochons dangereusement de notre expulsion.
Certes, ce ne sont pas des idées nouvelles, car elles ont fait peu à peu surface en contrepartie de l’abaissement de l’évolution spirituelle de l’espèce humaine. Cependant elles ne sont apparentes que pour peu de personnes, et malheureusement pas pour celles qui par leur position dominante seraient à même d’inverser la tendance.
Mes derniers travaux en cours d’achèvement m’ont amené à élever le débat, et à me poser une question qui n’attendait que cette occasion pour surgir. La réponse à celle-ci, selon son sens, pourrait éclairer d’une lueur nouvelle la disparition des Humanités antérieures, et sonner le glas de la nôtre, qui reconnaissons-le, mériterait un tel sort sans aucune circonstance atténuante. Il suffit de constater le massacre des baleines par les japonais, sous le fallacieux prétexte d’études scientifiques, contournant ainsi le moratoire de sauvegarde, sans que les autres nations interviennent de manière rigoureuse. Ne parlons pas des combats journaliers se déroulant au Congo depuis dix ans, faisant quatre millions de morts, avec la population terrifiée errant dans la nature, et dont personne ne se soucie. Et ce ne sont que deux des multiples preuves de la bassesse des hommes.
L’orthogéométrie ici sur la taverne dans son ensemble, à révélé et démontré l’existence d’un réseau de figures et de lignes droites sur plusieurs niveaux, créé depuis des millénaires par des entités dont nous ignorons tout, mais que nous pouvons, sans risque de nous tromper, écrire qu’elles nous sont nettement supérieures. Elles ont suscité le phénomène OVNI sous deux aspects concomitants : les atterrissages d’engins et les apparitions mariales.
Afin que nous puissions nous faire à cette certitude que ces êtres travaillent ou s’amusent ( et je crois que pour eux il s’agit d’un jeu ) sur des éons de temps dépassant de loin notre pauvre petite durée de vie humaine, voici un simple exemple ; entre le moment où le cerf a dessiné le plan de l’église dans la neige au mois de juillet sur le mont Anis au Puy en Velay, et les grandes manifestations mariales du vingtième siècle : Fatima, Beauraing, Banneux, L’Ile Bouchard…il s’est écoulé quinze siècles. Et nous ne savons évidemment pas à quel degré ce chiffre est provisoire. Comme les OVNI sont représentés dans des gravures rupestres remontant à 20 ou 30.000 ans, il est évident qu’ils accompagnent l’Humanité depuis une éternité.
Contrairement à ce que de nombreux et braves catholiques seraient tentés de supposer, la Sainte Vierge, celle que l’on dit être la Mère du Christ, n’est pas toujours représentative de la douceur maternelle. Certaines de ses apparitions se sont faites musclées pour défendre des positions menacées. Sa ronde sur les murailles de l’île de Rhodes en 1480, portant lance et bouclier, faisant fuir les assiégeants turcs, n’évoque que trop bien la déesse grecque, vertueuse mais redoutable guerrière : Athéna. Ce n’est pas sans raison, même si ce paganisme- chrétien peut choquer les puritains. C’est ainsi que les statues de la Vierge Marie tenant l’enfant Jésus, ne sont autres que la résurgence ou la continuité de celles de la Déesse égyptienne Isis et de son fils Horus.
Les Dieux de l’Antiquité se sont modelés en fonction des peuplades, modifiant leur apparence au gré de leurs besoins et de la nécessité du moment. Il est évident qu’à Rhodes la venue de Marie-Athéna a eu plus d’effet terrifiant sur les turcs que si elle était apparue sous sa forme traditionnelle. Il est à noter que c’est juste après que les assiégés eurent dressé le portrait de la Sainte Vierge sur les murailles, que la déesse a surgi ; comme si elle n’attendait que cet appel, prête à intervenir ! Ce qui suggère une observation permanente des activités humaines.
Les Dieux anciens ne sont pas morts avec la naissance de la chrétienté, qu’ils ont peut-être créée, mais se sont adaptés à l’évolution de la présente Humanité. Ce sont les véritables Maîtres et propriétaires de notre Globe. Nous ne sommes que leurs serviteurs, leurs adorateurs, et leurs locataires auxquels ils ont accordé un bail d’entretien et d’épanouissement. Mais ce bail est presque mis en lambeaux, lacéré joyeusement et monstrueusement à coups de poignards par cette Humanité sans âme.
Si nous le déchirons complètement et le jetons à la poubelle, alors le pire est à craindre et à venir !
J’ai parlé de mes derniers travaux. Je vais les évoquer brièvement, puisqu’ils sont en voie d’achèvement, avant d’aborder la question qu’ils on fait naître. Grosso-modo, on peut classer les apparitions mariales en trois catégories : le prosélytisme religieux, les guérisons et les interventions défensives du type Rhodes, et les demandes expresses de construction de chapelles. Ces dernières causant parfois pas mal de désagréments aux habitants qui ne s’empressaient pas de satisfaire la Noble Dame (paralysie, cécité, la peste continuant ses ravages…). Ne pas obéir aux Dieux peut coûter cher. Ces trois catégories se retrouvent mélangées avec les atterrissages d’OVNI, pour former les différentes trames qui ont été publiées dans les revues Sentinel Ufo News, Atlantis, ou qui sont sur les sites Internet : La Taverne de l’étrange et Radio-OVNI.
Cependant, par curiosité, j’ai effectué une dernière tentative, en séparant les demandes de chapelles du reste. Il y en a 43 à ma connaissance à travers le monde, depuis le Vème siècle à nos jours. Une quarante-quatrième, l’Ile Bouchard, bien que particulière, joue un rôle majeur ; peut-être justement à cause de sa particularité, puisque la Sainte-Vierge y est apparue dans l’église Saint-Gilles. Incroyable et extraordinaire, les superlatifs manquent, 18 de ces chapelles se trouvent dans la métropole française, soit 41 % ! Qui plus est, quatorze d’entre elles se concentrent dans le sud sur une superficie de 88.000 kilomètres carrés, soit un sixième de l’hexagone. Le reste se répartit dans onze pays, avec dix chapelles pour l’Italie.
Mais ce qui m’a le plus stupéfié, c’est que ces chapelles mariales, tout en étant déjà incluses dans les canevas précédents, forment une caste à part. Elles dessinent une orthogéométrie complexe, où il m’a été impossible d’y introduire les autres, telles La Salette, Paris, Pontmain ou Pellevoisin.
Pourquoi cette particularité ? Pourquoi cette concentration dans le sud de la France ? Pourquoi notre pays détient-il plus d’un tiers des chapelles mondiales ? Quel est le dessein des Responsables des OVNI en noyant et dissimulant cette géométrie au milieu de la multitude des apparitions mariales ? Est-ce un réseau de protection, contre quoi ? Question plus grave encore : est-ce un geste ultime du parti de la Sainte Vierge et d’une frange des dirigeants enclins à la mansuétude, pour tenter de sauver l’Humanité actuelle ?
Ce qui amène à la grande interrogation évoquée plus haut : l’Humanité qui court apparemment de manière inexorable vers son destin tragique, est-elle condamnée par une autre faction dure des Responsables des OVNI ? Ce qui expliquerait que loin de vouloir attaquer et envahir la Terre, comme beaucoup le craignent encore soixante ans après le début de l’Ere Ufologique Moderne, les Responsables des OVNI, se montrant ouvertement, ont accentué leur contrôle, notamment sur les sites militaires et les missiles nucléaires. Rien n’est encore perdu, bien sûr, mais nous dansons sur le fil de l’épée placée en travers du précipice. Il n’est pas étonnant que notre monde soit un sur dix, c’est à dire un laboratoire où se côtoient différentes races aux milliers de langages, et aux coutumes disparates. Nous sommes sans doute suivis et surveillés pour nous amener à un niveau de conscience supérieure. Si nous réussissons à passer l’épreuve, il n’est pas impossible que nous soyons alors répartis sur d’autres planètes, afin d’y édifier des civilisations indépendantes, avec la force morale acquise sur ce lieu de combats, et en étant les véritables propriétaires cette fois, car libérés du carcan terrestre. Mais pour le moment, l’examen est loin d’être en notre faveur.
On sait que le déluge biblique est une copie de celui décrit dans l’épopée de Gilgamesh, au temps des sumériens. Tel qu’il est présenté, c’est une évocation un peu enfantine de la fin du monde. Des pluies, aussi intenses soient-elles, ne peuvent apporter plus d’eau que les nuages n’en contiennent, puisqu’il s’agit du processus évaporation-condensation. Impossible donc de dépasser le sommet des montagnes.
Toutefois, sous son apparente naïveté, n’est-il pas un rappel de la destruction des anciennes civilisations par ces Dieux, Maîtres de la planète, lassés des turpitudes débridées ?
Mù, la Lémurie, Gondwana, l’Atlantide, tenues pour légendaires, ont-elles atteint un haut degré technique avant de sombrer dans la dépravation, la débauche, la luxure éhontée, l’absence de conscience prenant le dessus ? les Dieux auraient alors condamné et mis à mort ces déchets d’Humanités, avant de redonner une nouvelle chance aux rares survivants, redémarrant leur existence dans des cavernes préhistoriques. Lesquelles disparurent à leur tour, avec la race qui une fois encore avait échoué, avant de laisser la place à la suivante.
Si ces précédentes civilisations ont réellement existé, nous serions peut-être la cinquième sur laquelle les Dieux fondent leurs espoirs, englobant les sumériens, les égyptiens, grecs, romains, jusqu’à nous. Et tout repose sur nos frêles épaules. Cependant, pourquoi des être si supérieurs se donneraient-ils tant de mal pour recommencer à plusieurs reprises l’édification d’une nouvelle Société, et la détruire lorsqu’elle échoue ? Peut-être parce que c’est un défi qu’ils se sont jeté, avec l’espoir de réussir. Il est possible qu’il s’agisse d’un jeu à l’échelle cosmique, une compétition entre eux, avec confrontation, opposition, aide partielle aux hommes, coups de pouce à travers l’Histoire. Mais aussi, accès à la Connaissance retardé ou annulé, et mise en place de force destructrice. A cet égard, on peut considérer que l’avènement de Louis XIV, voulu et orchestré par la Sainte Vierge, amenant la France au sommet des Arts, a été contrebalancé de manière dramatiquement négative par la révolution française, et la naissance de la république.
J’avoue avoir un faible pour cette hypothèse, de par son aspect farfelu, et invraisemblable à nos sens limités de terriens. Mais au niveau des Dieux ?
Ou encore parce qu’ils en ont reçu mission d’entités nettement supérieures !
Quelle que soit la véritable solution, nous sommes sans doute plus proches de notre fin que nous l’avons été. Auquel cas, c’est une sixième Humanité qui prendrait la relève, car la patience et la longueur de temps vont parfaitement ensemble…jusqu’à un certain point. Du temps, les Dieux n’en manquent pas.
Quant à la patience, ils commencent peut-être à la perdre.
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Raymond TERRASSE , le 04 septembre 2008.