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"La TRANSCOMMUNICATION"où TCI
On a tous une fois entendu parler de spiritisme et de ses différentes méthodes de contacts, le verre, le oui-ja ( tablette avec des lettres…) et le fameux guéridon. Depuis quelques années, on entend parler de plus en plus de nouvelles techniques pour rentrer en contact avec nos proches disparus, et oui, le monde évolue, « la TCI où Transcommunication Instrumentale », TCI, un nom, un sigle barbares à la mode pour désigner ce qui constitue peut-être l’une des plus formidables découvertes de tous les temps : un contact objectif avec les Invisibles, nos défunts par exemples, par le biais de la technologie moderne. Un poste de radio convenablement réglé, un magnétophone, un téléviseur, un ordinateur individuel peuvent-ils capter des messages venus de l’autre côté de la Mort ? Des témoignages troublants, des expériences ahurissantes... Et si c’était vrai ?
1/ "LA TCI AUDIO"
*** Au commencement ***
« Chers amis, vous entendez des voix : à vous d’en faire ce que vous jugez nécessaire ».
Au Luxembourg, le Cercle des Etudes sur la Transcommunication a capté ce message audiophonique de Constantin Raudive, décédé en 1974, expérimentateur pionnier dans le domaine des voix posthumes. Des milliers de voix ont été enregistrées. Entre 1964 et 1974, le Dr. Raudive, un psychologue letton, en a captées plus de 70.000, assisté d’un physicien suisse. Il publia un livre intitulé « L’inaudible devient audible ». La première fois, il a enregistré la voix de sa mère décédée qui l’appelait : « Kosti... Kosti... ». Un précédent historique : le 12 juin 1959, Friedrich Jürgenson ( 1903-1987 ), producteur de cinéma suédois, avait branché un magnétophone près de sa maison, à Stockholm, pour enregistrer des chants d’oiseaux pour la bande son d’un de ses films. Imaginez un instant sa surprise lorsqu’en réécoutant la bande il s’aperçut qu’outre le gazouillis des oiseaux, elle contenait également des chuchotements et des sons qu’il n’avait absolument pas entendus. Jürgenson était non seulement un réalisateur réputé et un chanteur célèbre, mais aussi un puissant médium habitué à ce genre d’épisodes inexplicables. Il perçut aussi une voix humaine lui parlant en norvégien du cri des rapaces nocturnes. Une émission de radio ? Non, un ornithologue défunt. Peu après, poursuivant ses enregistrements, il entend sa propre mère dont il était orphelin. Peu de temps avant, en 1957, lors d’un enregistrement avec un pianiste, il avait déjà constaté une série d’incompréhensibles baisses de volume sur une bande qui n’avait pourtant subi aucune coupure et s’avérait sans le moindre défaut.
Après cette curieuse expérience, il ne laissa pas échapper l’occasion de se livrer à de nouvelles expériences : la bande commença à révéler d’étranges voix qui affirmaient appartenir à des êtres humains décédés. L’une d’elles, qui se détachait nettement des autres, se définit comme l’esprit-guide de Jürgenson lui-même, et lui donna quelques conseils à propos de sa vie privée et de la poursuite de ses expérimentations. Il convient de préciser que les voix enregistrées parlaient en différentes langues et s’avéraient identiques à celles de personnages célèbres et de défunts connus du chercheur. A Montpellier, en 1979, Monique Simonet a identifié, imprimée sur la bande de son magnétophone, la voix de son père. Depuis cet enregistrement, elle n’a cessé de capter des voix de l’au-delà. En 14 ans, 13.000 défunts lui ont fait entendre leur voix. Monique le fait à la demande de personnes qui ne se consolent pas d’un décès.
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*** La technique ***
En aucun cas vous ne devez pratiquer vos enregistrements pendant la journée, sinon vous vous rendrez indisponible pour la vie du monde. Nous habitons la terre et devons remplir nos devoirs et résoudre nos problèmes terrestres. Une ou deux séances hebdomadaires suffisent amplement. Outre le fait que l’esprit se laisse facilement absorber par ce phénomène, il est pratiquement impossible de concilier un nombre trop important d’enregistrements. Tant sur le plan physique que psychique, on risquerait d’en subir les conséquences. L’Au-delà n’est pas un office de renseignements. Ne posez que les questions qui sont très importantes pour vous, qui vous tiennent à cœur. Il faut en outre savoir que les messages obtenus correspondent au niveau de connaissance des êtres de l’Au-delà. Les communications ne peuvent, par ailleurs, sortir du cadre de ce qui est autorisé. Le contenu d’un message dépend donc à la fois de celui qui pose la question et de celui qui y répond. A propos de technique, n’imaginez pas que vous allez nécessairement obtenir de bons enregistrements sous prétexte que vous utilisez les mêmes appareils qu’un expérimentateur ayant eu d’excellents résultats. De même, ne croyez pas que seuls les instruments les plus sophistiqués et les plus chers permettent d’espérer le succès. La technique est certes un élément essentiel de la recherche transcommunicationnelle, mais en aucun cas elle ne la résume tout entière.
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Voici une méthode pratiquée par M. Simonet qui est la pionnière en France dans ce domaine à avoir obtenue des résultats encourageants.
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Le choix du support est important, cela permet d’éviter des heures d’écoutes pénibles, le principe est simple, il faut créer un bruit, un son suffisamment audible pour qu’il soit utilisé, détourné de son sens originel par un esprit désincarné (qui n’est plus de la réalité).
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Les principaux supports utilisés sont :
L’eau qui coule d’un robinet, une émission radio dans une langue étrangère « pour ne pas confondre concret et subliminal », l’eurosignal, son du poste radio arrivé au bout de la fréquence F.M, vous pouvez aussi créé le vôtre, musique, etc.
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Maintenant nous pouvons commencer l’expérimentation :
Placez le micro à au moins 1m du magnétophone, priez où pensez au défunt que vous désirez entendre, avec sincérité prononcer son nom et demander lui de bien vouloir vous répondre, enregistrer durant un temps relativement court, quelques secondes, pas plus. Puis arrêtez le support et réécouter la portion de bande que vous avez enregistrer, soyez très attentif car les premiers messages sont bref comme l’éclair. En cas d’échec et, de succès, recommencez l’expérience, demander à l’invisible s’il vous entend, s’il y parvient, il vous répondra. Les enregistrements doivent s’effectuer dans un endroit tranquille. Il faut surtout éviter de les prolonger, car la phase d’écoute qui leur succède demande un effort et nécessite beaucoup de temps. Conservez soigneusement vos bandes magnétiques ou vos cassettes enregistrées, même si vous pensez n’avoir rien capté. Il arrive souvent que l’on y découvre les voix que beaucoup plus tard. N’écoutez pas toujours la bande dans le même sens, c’est-à-dire du début vers la fin. Ne repassez pas toujours les mêmes extraits.
L’oreille se fatigue vite et on retombe invariablement dans les mêmes erreurs si l’on revient continuellement sur le même passage. Certains jours vous entendrez des réponses immédiates, d’autres, il vous faudra recommencer. Pour des raisons que nous ignorons, il y a des moments propices et d’autres nuls pour les contacts. N’oubliez pas que l’amour, la foi, la sincérité attire les esprits, les séances d’essais de doivent pas durer plus de 10mn, au delà, vous vous trouveriez vite épuisé, car de telles expériences coûtent énormément d’énergie, de même, il faut faire de la pédagogie avec l’au-delà, les esprits ne savent pas forcément comment procéder pour nous parler ; il faut donc leur expliquer qu’ils peuvent se servir du support pour « moduler » leurs voix , enfin, on ne le répètera jamais assez : ne vous découragez pas car il faut parfois du temps avant d’obtenir un 1er contact fructueux !
En toute logique, les désincarnés ne possèdent pas d’organes vocaux pour s’exprimer, il faut donc leur offrir un support sonore pour qu’ils puissent s’adresser à nous, et c’est en modulant ce « son » pour en transformer le sens et nous faire parvenir des messages compréhensibles à notre oreille. Il faut une oreille attentive, exercée pour entendre les messages faibles, bref comme l’éclair, exprimé à grande vitesse et ne pas confondre avec un simple bruit ambiant, car tant que l’ont obtient pas de « voix fortes », les erreurs d’interprétations sont courantes. Beaucoup de ceux qui ont tenté le contact ont réussi ! Quelle joie alors d’entendre la voix d’un être cher, trop tôt disparu, qui vous parle et qui vous adresse un court message. Les voix enregistrées sont d’origine inconnue. Nul ne sait comment elles se fixent sur la bande enregistreuse : en passant par la tête de lecture, par des ondes hertziennes ou par des champs magnétiques. En revanche, si l’on se fie à la foule de témoignages disponibles, elles peuvent être captées à tout moment, sur simple sollicitation de contact avec l’esprit d’un défunt.
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Un dernier conseil :
Ne transformez pas l’expérience en un jeu morbide, car il y a des gens qui passent chaque journée des heures, voir parfois la nuit entière, à parler avec leurs disparus ; une à trois heures/semaine sont largement suffisantes. Mettez vous à leurs places, dans le monde où ils évoluent, ils ont certainement autre chose à faire que « discuter » avec les vivants. Quelle tête feriez vous si votre frère établi à l’autre bout du monde, vous appelait au téléphone chaque jour des heures durant, sous prétexte que vous risquiez de ne jamais vous revoir ! La plus importante de toutes les qualités nécessaires pour se livrer à la recherche sur la transcommunication, c’est la patience, encore et toujours. Certaines personnes se plaignent de ne pas recueillir de résultats dès leurs premières tentatives. Elles ont déçues et découragées. Il s’ensuit même assez souvent une attitude de renoncement complet. Si l’on est pas capable de persévérance, mieux vaut s’abstenir. Rien ne dit cependant qu’il faille nécessairement attendre aussi longtemps avant que les êtres de l’au-delà se manifestent. Des débutants qui affirment ne pas capter des voix sur leurs bandes n’ont souvent qu’un problème d’écoute. Sur des cassettes parfois l’on remarque « les voix » que des semaines après, sur le moment la personne n’avait rien remarquer, rien entendu !
Ces manifestations étaient passées alors inaperçues. Au début, l’oreille n’est pas formée à l’écoute, il faut un certain temps pour s’habituer à la spécificité des voix et se familiariser avec elles. Dernier point : Si l’on prend place devant son appareil d’enregistrement dans un état d’énervement et de stress, l’esprit encombré d’idées négatives, il ne faudra pas attendre de résultat. Il est tout aussi inefficace de vouloir forcer le contact ou se montrer impatient, si ça ne marche pas tout de suite. Il est préférable d’adopter une attitude intérieure calme et détendue et de ne pas cultiver l’obsession du résultat. Ce qui est important, c’est de toujours pratiquer les enregistrements au même moment, c’est-à-dire le même jour et si possible à la même heure. C’est comme si vous donniez rendez-vous à l’être cher que vous voulez contacter. Si vous entreprenez les enregistrements lorsque vous avez une minute de libre et rien de mieux à faire, il est inutile d’espérer que les habitants de l’Au-delà vous manifestent une grande bienveillance. En revanche, si l’on se montre fidèle à un rendez-vous bien déterminé à l’avance, les correspondants de l’Au-delà s’y conforment aussi et attendent leurs interlocuteurs à l’heure prévue.
Ne l’oubliez pas, il y a une vie avant la mort, alors profitez de la vôtre !
Les techniques classiques
De tout temps, l’homme a cherché à communiquer avec l’Invisible. Avant que l’on découvre qu’il était possible d’entrer en contact avec d’autres entités à travers la technologie moderne ( magnétophone, radio, TV, ordinateur, etc. ), un certain nombre de techniques de communications ont été utilisées. Elles le sont encore parallèlement aux appareils récemment mis au point. Parmi les plus répondues, citons L’ECRITURE AUTOMATIQUE qui consiste à laisser courir un crayon ou un stylo sur une feuille de papier sous l’impulsion de « l’esprit ». Peinture ou musique automatique constituent des variantes de ce procédé. L’Invisible dicte des notes ou inspire le dessin, le tableau. La TABLE TOURNANTE, le GUERIDON ont été rendus célèbres par les spirites, disciples d’Allan Kardec. C’est une technique de groupe. On se réunit autour d’une table pour former une chaîne médiumnique qui « convoque » l’entité. Ce procédé est en fait très ancien.
Les chamans de Sibérie, les Grecs de l’Antiquité et bien d’autres peuples utilisaient par exemple un TABOURET MAGIQUE pour faire parler les morts... Le OUI-JA est une planchette comportant des chiffres et des lettres qui autorisent la formation de mots et l’obtention de réponses à des questions posées sous influx médiumniques. Un simple verre peut-être utilisé dans le même but. Il se déplace sur une surface plane en direction de lettres et chiffres dessinés en cercle. Parmi les autres moyens de se brancher sur l’Invisible, l’un des plus répandus est le MIROIR MAGIQUE, toute surface réfléchissante étant susceptible d’ouvrir une porte sur d’autres dimensions. Curieusement, cette technique a toujours été considérée comme très dangereuse. On communique encore avec l’Au-delà par le REVE DIRIGE et en général toutes les méthodes dites chamaniques. Ces dernières utilisent fréquemment des substances hallucinogènes ou psychotropes pour obtenir des résultats.
Célèbre dans le monde entier par ses recherches sur les NDE ( Etats de Mort Imminente ), le docteur Moody s’est intéressé aux phénomènes de transcommunication. Il a le mérite de l’avoir fait scientifiquement, créant un véritable « laboratoire de l’Au-delà » et se livrant à une analyse précise des visions, des témoignages et des sujets qui participent aux expériences. Moody a travaillé avec un système de miroir. Face à celui-ci, le sujet est installé dans un fauteuil de telle sorte qu’il ne voit pas son propre reflet. Un rideau de velours noir entourant le fauteuil créé sur toute la surface du miroir une grande zone d’ombre réfléchissante. Une lumière tamisée règne dans le box. Le sujet doit être psychologiquement équilibré, ne pas pratiquer l’occultisme, s’intéresser à la conscience humaine. Il fait l’objet d’une préparation spécifique : relaxation, régime alimentaire, etc. Si Moody utilise les états modifiés de conscience, il se refuse à tout recours aux techniques de transe nerveuse, artificielles et nécessairement violentes. La TCI est pour lui un facteur d’équilibre du sujet et non le contraire. Les résultats obtenus sont éloquents. Les témoins « voient » leurs défunts, leur parlent. Le savant a réuni un certain nombre de ces expériences dans un livre aux éditions Robert Laffont sous le titre « Rencontres ». On y trouvera une description précise du procédé utilisé, de la préparation psychologique ainsi que les témoignages eux-mêmes. A noter un phénomène d’importance. Certains défunts ne se sont pas contentés d’apparaître dans le miroir. Ils en sont littéralement sortis à la rencontre du témoin. A notre connaissance, hors certains procédés de magie noire, de telles manifestations sont extrêmement rares.
L’expérience des uns éclaire les autres:
Les revenants ne sont pas désirés. Ils perturbent ceux qui se trouvent sur leur passage, qui habitent leurs lieux de hantise. Les morts qui se manifestent le plus facilement ne sont pas ceux que l’on sollicite. Une chose est de croire en la présence des morts parmi nous, autre chose d’entrer en communication avec un proche disparu. Un sondage récent révèle que 37 % des Français sont enclins à croire qu’ils peuvent communiquer avec les esprits des morts. Dans un champ aussi insaisissable, il serait vain de prétendre aiguiller et conseiller les personnes qui gardent l’espoir secret de correspondre avec l’être dont ils n’acceptent pas la désintégration ni la sortie de l’orbite terrestre, sans transmettre l’expérience des uns et des autres. Avant tout, il est indispensable de se reconnaître dans l’une des nombreuses situations de départ.
Photo de mon chien capté en TCI vidéo en 1996
A chacun selon son deuil :
LA PRATIQUE- 1/ L’état de choc crée une réceptivité particulière, surtout dans ces cas d’arrachement où la douleur est vécue comme une amputation d’une part de soi-même, une perte d’équilibre :
* disparition précoce d’un enfant,
* accident imprévisible d’un adulte coupé dans son élan de vie,
* séparation par la mort d’un couple très uni,
* mort de son jumeau,
* perte d’un père dans des conditions difficiles à accepter,
* disparitions mystérieuses ( navigateurs, explorateurs... ) sans trace des corps,
* destruction de l’intégrité physique par le feu, le souffle d’une explosion, d’un incendie, où d’un attentat à la bombe.
2/ L’être cher se manifeste de lui-même :
* les signes de reconnaissances sont captés,
* ils ne le sont pas encore. Il y aura de nouvelles tentatives espacées dans le temps.
3/ Celui qui porte le deuil prend l’initiative de la transcommunication :
* seul,
* en ayant recours à un médium.
4/ Le deuil est récent :
* le dialogue s’opère rarement dans l’état de choc, soit parce que la réaction est fusionnelle ( la mort n’est qu’un mauvais rêve, on refuse la séparation ), soit au contraire, parce que dans la douleur extrême, on croit la mort une rupture définitive. La transcommunication n’est possible que si l’on accepte la séparation corporelle. Un temps de silence est plus favorable.
5/ Le deuil est ancien :
* un proche se manifeste après un long silence,
* un ancêtre établit le contact.
La charge émotionnelle, le degré d’intimité, voire de symbiose, sont déterminants quant au mode de contact et de décryptage. Les couples vivant comme des êtres complémentaires, à fortiori vivant la possession, ont plus de réceptivité pour se rejoindre au-delà de la séparation fatidique. Lorsque la mort est inacceptable, la douleur de séparation intolérable, la probabilité d’établir une trans-relation suivie avec le défunt est plus forte. L’échange se développera et se répétera grâce à l’écriture informatique sans intermédiaire, sans témoin. L’enregistrement de la voix est particulièrement recherché quand on est tenu de faire son deuil d’un « porté disparu » ( sans laisser de trace ). La trans-vidéo sera indiquée à ceux qui veulent reconstituer l’image d’un être cher, victime d’une désintégration physique. Les séances de spiritisme s’adaptent bien à une recherche de groupe en cas de perte de contact initial. Le médium sera sollicité de préférence pour un deuil ancien ou pour une écoute d’appels et messages éventuels venus de l’au-delà ( pour capter la voix d’un ancêtre. Celui-ci prenant parfois un relais en réveillant un agent plus proche, par exemple un de vos ascendants à deux ou trois générations ).
Quand le mort appelle...
Le choix de l’approche, l’entrée en contact, la réception, le mode d’échange écrit ( en lettres ), oral ( en clair ), sonore ( en langage codé ) ou visuel ( ombres et lumières ) est en général un choix « commun ». Ce n’est pas le survivant qui opte seul par convenance personnelle et préférence forcément arbitraire. Si vous êtes appelé d’au-delà, la méthode vous est proposée sinon imposée.
Quand le survivant appelle...
A l’opposé, c’est vous qui cherchez le contact. Vous saisirez peut-être par « feeling » la bonne longueur d’ondes. Sinon, vous essaierez d’autres modes d’approches. Quoi qu’il en soit, il vous sera utile de connaître la gamme des techniques.
Message d’une fille décédée dans un accident de la route à son père :
« Dis-leur que nous sommes vivants. »
L’enregistrement vidéo : télévision & caméras
L’enregistrement d’images est la plus spectaculaire « preuve » que présentent les pratiquants de la transcommunication. En effet, elle ajoute au son une dimension supplémentaire, dans notre société où la télévision règne en maîtresse absolue. On fera d’abord une remarque de simple bon sens : à l’instar des émissions ou des journaux télévisés, le risque de manipulation volontaire ou involontaire peut exister. On ne peut donc, comme pour tout appareil de transcommunication, que recommander la plus grande prudence quant à l’interprétation des images « vues à la télé » ou même enregistrées par un magnétoscope. Les faits n’en restent pas moins troublants.
1985, l’année cruciale en France
Tout commence en septembre 1985 à Aix-la-Chapelle où Klaus Schreiber capte sur écran des portraits de personnes disparues, des paysages, et même une vue de centre de transcommunication que les défunts utiliseraient pour contacter les vivants ! La mode de l’enregistrement vidéo va se répandre comme une traînée de poudre. Depuis, plusieurs groupes de chercheurs l’ont, à leur tour, réalisé. Notamment Hans Otto König, qui a beaucoup travaillé avec K. Schreiber. Lors d’un congrès international à Milan, en juin 1986, devant 2200 participants, König présenta toute une série de diapositives à partir des travaux de K. Schreiber. Parmi ces photos, beaucoup de trépassés de la famille de K. Schreiber, naturellement, mais aussi l’actrice Romy Schneider, l’acteur Curd Jürgens, beaucoup d’inconnus, ainsi que deux photos d’enfants que leurs mères, présentes dans la salle, avec l’émotion que l’on devine, reconnurent parfaitement. Beaucoup ont tôt fait d’interpréter les maisons ou les sites naturels entrevus comme une vision de ce qui nous attend dans l’au-delà. Pour l’instant, rien n’est sûr. Ces interprétations sont encore l’objet d’une vive controverse. Le principe de l’enregistrement vidéo, ici aussi, est d’une extrême simplicité.
Placer un caméscope ou une caméra via un magnétoscope face à un téléviseur. La connexion se fait par prise péritel et non par la fiche antenne, ce qui évite le passage par le tuner et donc annule tout éventuel brouillage par des émissions télé. Mettre le téléviseur en mode AV et diriger la caméra vers l'écran, ce qui donne un effet nuage. Ce dernier doit être mouvant, si ce n’est pas le cas il faut chercher la distance idéale. Ne pas travailler dans l'obscurité, au contraire une lumière ambiante apportera l'effet recherché. Réduire la luminosité de la télé à = 20%, le contraste = 100%, couleur = 30%.Vous pouvez coucher la caméra a 90° ce qui dans certains cas forme un X. Mettre aussi l'objectif à 45° et à une distance de de l'écran, et ce en fonction de la taille de ce dernier. Il est conseillé de ne pas filmer au début plus de 1 minute car il faut lire la bande image par image soit 1 seconde de film égale à 24 images/seconde, ce qui est très long. Avec un peu d'expérience et quelques essais vous trouverez des formes ou des visages. En aucun cas ces méthodes ne doivent servir de divertissement. Nous rentrons là dans un domaine complexe, qui n’est pas un amusement bien au contraire.
On essaye parfois, poussé par un grand désespoir suite à un décès de vouloir par n'importe quel moyen, communiquer avec des personnes chères disparues. C'est comme cela que l'on s'improvise spirite, ou que l'on rejoint un groupe de spiritisme. Pourtant le danger est bien présent quand les choses ne sont pas faites dans les règles de l'art. De plus ce n'est pas à nous de déranger les esprits, mais à eux de se manifester, s'ils le désirent par n'importe quel moyen. A nous de décoder, ou de capter ces messages subtils venant de l'au-delà. Des liens peuvent ainsi être renoués avec ces personnes dont leur présence terrestre nous manque. La transcommunication peut faire revivre et ressurgir des sensations perdues par l'un de nos sens le plus prisé: la vue, mais aussi l'ouïe. Notre psychisme a besoin de choses concrètes pour comprendre, assimiler, et surtout reconnaître par un timbre de voix, ou un visage la personne décédée.
*** Les premières découvertes... ***
Dès le début du siècle, des pionniers d’horizons divers allaient s’employer à utiliser la technique pour étayer leurs convictions ou leurs études expérimentales. Il faut donc remonter bien loin dans le temps pour trouver la trace des premières tentatives de contacts avec le monde des esprits au moyen de procédés technologiques sophistiqués. L’étude historique du phénomène montre très clairement qu’en transcommunication, le paranormal suit la technique de très près.
C’est en effet au tout début de notre siècle, entre 1901 et 1902 pour être plus précis, qu’un ethnologue, Waldemar Borogas, effectua le premier enregistrement connu. C’est lors d’une expédition en Sibérie, chez les chamans Tchouktches, qu’à l’aide de son phonographe, il enregistra des voix paranormales pendant un rituel d’invocation d’esprits. Voici le rapport que fit l’ethnologue sur cette étrange expérience :
« Je disposai mon appareil de façon à ce qu’il puisse fonctionner sans aucune lumière. Le chaman était assis dans le coin le plus reculé de la pièce, à vingt pieds de moi. Quand la lumière fut éteinte, les esprits entrèrent après quelques hésitations « gênées » et, se rendant à la requête du chaman, ils se mirent à parler dans le pavillon du phonographe. Les enregistrements montrèrent une différence très nette entre la voix du chaman lui-même, qui résonnait dans le lointain, et les voix des « esprits » qui semblaient parler directement dans le pavillon. Pendant ce temps, le chaman tambourinait sans interruption pour montrer qu’il était toujours à la même place, exerçant sa fonction ordinaire de battre le tambour sans répit. » Dans les années vingt, des esprits éclairés pressentaient que les progrès scientifiques permettraient aux deux humanités de correspondre.
Thomas Edison ( 1847-1931 ), sir Arthur Conan Doyle, entre autres, espéraient pouvoir y parvenir grâce à la T.S.F. Edison, inventeur de l’ampoule électrique, génie aux dons universellement reconnus, tenta de mettre au point une machine pour converser avec les morts. Voici comment il la présenta à un journaliste l’interrogeant sur le sujet : « (...) Je ne prétends pas que notre personnalité passe après la mort dans une autre sphère, pour la bonne raison que nous n’en savons rien du tout. Mais j’espère réussir à construire un appareil dont la sensibilité sera telle que, si les essaims d’entités supérieures dont je vous ai parlé survivent, ils auront avec cet appareil un moyen de manifester leur présence qui sera beaucoup plus sûr que les tables et les coups dans les murs ! Je ne puis à présent dire qu’une chose de mon appareil, c’est qu’il permettra de multiplier un nombre énorme de fois l’effort infinitésimal que vous puissiez concevoir. Il est comparable au tableau d’une chambre des machines où l’effort d’une main humaine suffit à mettre en mouvement une turbine à vapeur de 50.000 chevaux. Un de mes plus intimes collaborateurs est mort il y a quelques semaines. Il savait l’objet exact de mes travaux. Si sa personnalité survit à la mort physique, il devrait être le premier à manifester la survivance de son moi. On a publié des dessins me représentant en train de communiquer, par une sorte de téléphone sans fil, avec les esprits des morts. Rien n’est plus absurde. Encore une fois, je ne prétends pas « causer » avec l’ombre de Cléopâtre ou de Napoléon... Je cherche simplement à donner aux spécialistes en recherches psychiques un appareil qui leur rende les mêmes services que ceux que le microscope a rendus aux biologistes. Si donc les entités supérieures des morts, et surtout de ceux qui ont été au cours de leur existence familiarisés avec le domaine de l’électricité, ne peuvent pas influencer mon nouvel appareil, j’aurai perdu tout espoir dans la survivance de notre personnalité. » Rapporté dans Le Soir de Bruxelles du 26/12/1920.
Des célébrités s’annoncent chez K. Schreiber...
Ici des vidéos TCI audio et vidéos faites par K. Schreiber !!!
Serait-il donc possible que, grâce à la technologie moderne, les morts enfin nous parlent ? Qu’un simple magnétophone à cassettes ait enfin permis de percer le secret de l’une des plus grandes énigmes de l’histoire humaine, la Vie au-delà de la Mort ? Certes on n’a pas encore de certitudes absolues. En peut-on jamais avoir en pareil domaine ? Mais les faits sont là, indéniables. Quelqu’un s’exprime par le truchement de nos appareils de tous les jours. De qui s’agit-il ? C’est désormais à la science de répondre. Ces voix que l’on capte sur radio ou magnétophone, ces images qui apparaissent sur les écrans TV, d’où proviennent-elles ? Messages de défunts ? Contacts avec le monde de l’après vie ? Avant de se prononcer, il faut examiner toutes les hypothèses possibles. Eliminons d’emblée la fraude. Certes elle existe. Des escrocs peuvent profiter de la douleur et du désespoir de ceux qui ont perdu un être cher. Il est facile de tromper quelqu’un qui souffre et il n’est pas nécessaire d’être un électronicien de haut vol pour bidouiller un quelconque trucage. Cela arrive malheureusement. Lorsque l’on désire se livrer à des expériences de TCI, il faut donc s’adresser à des chercheurs sérieux, qui ont fait leurs preuves. Peut-il s’agir d’illusion, d’hallucination ? On veut entendre un défunt avec un tel désir, une telle force que... on finit par prendre son désir justement pour la réalité.
Difficile de parler cependant d’illusion ou d’hallucination quand on a la « preuve » enregistrée qu’il se passe authentiquement quelque chose. Lorsque la voix est claire, le message évident, cette hypothèse s’élimine d’elle-même. Qu’en est-il des interférences qui peuvent se produire sur un appareil ? A notre époque, notre atmosphère est littéralement saturée d’ondes de toutes sortes. L’appareil peut donc aléatoirement, par le plus grand des hasards, capter des choses qui viennent non pas de l’Au-delà ou d’une dimension différente mais d’ici même, de cette terre. Les spécialistes de a TCI savent traquer et filtrer de telles interférences. Ils disposent aujourd’hui, après une quarantaine d’années de recherches dans ce domaine, de moyens techniques sûrs. Et quand il y a doute, il est toujours possible de réitérer l’enregistrement, de poser les questions qui s’imposent, etc. Les voix ou images ne pourraient-elles pas être produites par les participants eux-mêmes à la séance ?
Nous savons que la projection de pensée peut produire, par effet psychocinétique ( action de l’esprit sur la matière ), de tels effets. Cette hypothèse ne doit jamais être négligée. Seul un spécialiste en TCI est en mesure de savoir s’il s’agit ou non d’une TCI en provenance d’ailleurs. Autre hypothèse : et s’il s’agissait d’ondes dites « rémanentes » ? La science avancée en est aujourd’hui pratiquement certaine. Il reste quelque part une trace ondulatoire de tout ce qui s’est dit ou produit dans le passé. Voilà qui expliquerait certaines visions ou hantises. Nous ne sommes pas en mesure de capter ces « messages » mais ils existent et « se promènent » autour de nous, nous traversent, vont, viennent, sans jamais se perdre. Les appareils de TCI seraient-ils les récepteurs de ces ondes d’hier et de jamais ? Pourquoi pas ? Certains messages semblent provenir non pas de l’Au-delà ou d’une autre dimension mais de... l’espace ! Il est d’ailleurs souvent question d’extraterrestres dans les messages reçus. « On » confirme qu’ils existent. « On » donne parfois mille et un détails sur eux, leur planète, leurs idéaux. Une hypothèse de plus donc. Les spécialistes de la TCI enregistreraient des voix et des images de civilisations éloignées de la nôtre mais existant sur le même mode de réalité... Toutes ces possibilités éliminées, reste celle d’un contact effectif entre nous, les vivants, et nos disparus. Dans de nombreux cas, les voix, les images, les messages sont d’une telle précision qu’il n’est pratiquement pas possible de douter. Ou alors c’est que nous avons affaire à des interlocuteurs qui nous mentent, ce n’est pas impossible. Mais même dans ce cas, ces interlocuteurs existent.
L’énigme, donc, demeure entière et reste un mystère...
Bibliographie :
Revue Parasciences & TCI N°48- 2002
Contact avec l’au-delà de Jean Michel Grandsire
Images et messages de l’au-delà de Monique Simonet
Les morts nous parlent du Père François Brune
La pratique de l’au-delà de André Coutin
Cours pratique de spiritisme de L. Pavesi
Théorie et pratique de la transcommunication de Hildegarde Schäfer
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Livres pour votre information :
A l’écoute de l’invisible de Monique Simonet
Images & messages de l’Au-delà de Monique Simonet
Porte ouverte sur l’éternité de Monique Simonet
Isabelle, une lumière dans la nuit de A. M. Lionnet
Livres de l’Au-delà, messages d’Isabelle de A. M. Lionnet
L’amie invisible. Lettres de l’Au-delà de A. M. Lionnet
La mort est un réveil de Jeanne Morrannier
Messages d’espérances de Paola Giovetti
Les morts nous parlent de François Brune
En direct de l’Au-delà de R. Chauvin & F. Brune
Les mystères de la vie après la mort de Scott Rogo
La mort est un nouveau soleil de E. Kubler-Ross
La vie après la vie de Raymond Moody
La lumière de l’Au-delà de Raymond Moody
Indices et preuves de l’existence de l’Au-delà de Lino Sardos Albertini
L’Au-delà existe de Lino Sardos Albertini
Dialogues avec les morts de Corinne Kisacanin
Le clair visage de la mort de Claudette Combes
Perles d’éternité de Claudette Combes
http://perso.orange.fr/mondesinfinis/m2.html
http://perso.club-internet.fr/pjouini
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La taverne de l’étrange- 23 juin 2007