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1976- Que faut-il penser de l'aventure vécue près de Valence par une jeune fille ?

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ENLEVEE PAR DES EXTRATERRESTRES

 

Le récit que je présente ci-dessous peut paraître incroyable, ahurissant. Mais, vous le verrez, des gens ayant la tête sur les épaules lui accordent un certain crédit. Un docteur en physique nucléaire ne prend pas facilement des décisions à la légère. Quelle qu’en soit l’explication, l’aventure vécue par une jeune fille mérite qu’on s’y arrête. Que s’est-il passé  vraiment passé cette nuit-là ? Des êtres venus d’ailleurs sont-ils vraiment intervenus ? Ce qui est certain, en tout cas, c’est qu’il y a un mystère. Pourquoi Hélène Giuliana aurait-elle menti ? Il n-y a aucune raison pour qu’elle affabule. D’ailleurs, matériellement, elle ne pouvait pas le faire, car elle était sous hypnose. Dans la région de Valence, Giuliana ont provoqué de nombreuses réactions, toutes plus passionnées les unes que les autres.

 

Même les plus sceptiques ont été obligés de se rendre à l’évidence : dans la nuit du 10 au 11 juin 1976 il s’est passé quelque chose d’extraordinaire sur la RN 539, à quelques kilomètres de Romans, à la hauteur du « Pont du Martinet ». Hélène Giuliana est une jeune fille de 20 ans qui habite chez ses parents, agriculteurs à Hostun, dans la Drôme. Les cheveux coupés, a la garçon, un visage aux traits fins, Hélène est considérée comme une fille intelligente et bien équilibrée.

 

Elle est employée de maison  chez le maire du village, M. Bouvier, qui dit le plus grand de son temps, elle, ne raffole  pas des films et des histoires de science-fiction. Elle préfère aller danser, le samedi soir, comme toutes celles de son âge et mener la vie quelquefois insouciante des filles de 20 ans. Pourtant, Hélène a vécu une aventure que peu d’êtres humains ont vécu jusqu’à aujourd’hui ; elle a pénétré dans une soucoupe volante. Le 10 juin 1976, en compagnie d’une amie et de deux copains, Hélène se rend à Valence avec sa 4 L blanche.

Souvent, en semaine elle va au cinéma. Ce jeudi là, les jeunes gens verront, le film « vol au dessus d’un nid de coucou ». Au retour, Hélène boit un verre avec  ses amis, de minuit à une heure du matin, à Romans, puis rentre chez elle à Hostun, distant de 17 km. D’habitude elle met une vingtaine de minutes pour faire ce trajet qu’elle connait par cœur.

 

La nuit, la circulation est intense sur cette nationale, parcourue par de nombreux routiers. A 6 km de Romans, la route longe la rive gauche de l’Isère et passe sur un pont appelé le « Pont du Martinet ». Soudain la voiture a des ratés. « Sur le moment j’ai pensé à une panne d’essence explique Hélène, puis je me suis rappelé que j’avais fait le plein avant d’aller au cinéma. Quant à la défaillance technique, cette idée ne m’a effleuré car ma voiture a toujours bien marché. Quoi qu’il en soit, au bout de quelque mètre, le véhicule cale et les phares s’éteignent. C’est alors que le phénomène apparait, terrifiant : A 25 mètres de moi, raconte Hélène, au-dessus du pont j’ai vu une lueur rouge orangée en forme de dôme, je ne sais pas pourquoi sur le coup j’ai pensé à la mort ; puis j’ai mis mes mains devant mes yeux ». Au bout de quelques instants, la lueur a disparu. Affolée, elle repart pour rentré chez elle. Elle est tellement effrayée, qu’elle rate une signalisation qu’elle connait portant depuis des années, et fait deux kilomètres de plus. Une fois arrivée, elle se précipite dans la chambre de sa sœur et la réveille en sursaut.

 

« Hélène, qu’est-ce qui te prend ? demande celle-ci : 4 heures du matin ! » Hélène reste stupéfaite. Ce n’est pas possible, il ne peut pas être 4 heures ! Il y a à peine une demi-heure qu’elle a quitté ses amis à Romans. C’est là que réside le mystère et que tout le monde va s’interroger. Qu’a fait Hélène pendant ces deux bonnes heures, à tel point qu’elle ne s’en souvient même pas.

 

POUR SAVOIR LA VERITE

 

Le lendemain elle parle de son aventure à ses parents, puis à son patron. La nouvelle fait vite le tour de la région et Monsieur André Revol, de Saint-Marcellin, enquêteur à la commission d’études « Ouranos » entre en contact avec elle. Il lui propose une séance d’hypnose avec M. Stéphane Dey, habitant Grenoble, et qui a déjà travaillé au Canada, et aux U.S.A. Après bien des réticences Hélène fini par accepter ; après tout, elle a envie de savoir ! Et le 22 juillet, à Saint-Marcellin, l’expérience a lieu. Hélène dit des choses étonnantes. Quand M. Revol lui répète ses propres paroles, une fois éveillé, elle ne veut pas le croire.

 

Le 18 août, l’expérience est répétée une deuxième fois en présence d’une équipe de télévision de FR 3 Lyon, de M. Chaloin, un des pionniers de l’Ufologie, de M. Pierre D. docteur en physique nucléaire, de deux journalistes locaux du Dauphiné libéré, M. Gérard Moulinet et Jean Louis Ruchon ainsi que de M. Revol et Dey. Pendant 40 minutes, Hélène Giulina répètera mot pour mot ce qu’elle avait dit la première fois, jamais elle ne se contredira.

Ce sont M. Drey et Ruchon qui poseront les questions.

« Je vois une lumière, dira la jeune fille. J’ai mal aux yeux. Je vois deux nains qui s’approchent et qui ouvrent la portière gauche. Ils me portent vers la lumière. Je me retourne et ma voiture a disparu. J’entre dans l’engin par une porte en fer. Les nains m’arrivent à la taille. Ils sont revêtus d’une combinaison sombre…noire.  Ils ont de gros yeux. Ils sont moches. »

 

A ce moment M. Dey lui tend un stylo et une feuille de papier et Hélène commence à dessiner lentement ce qu’elle voit dans son inconscient : puis elle poursuit.

 

« La pièce est haute et arrondie. Tout est en fer. J’ai peur. Ils m’allongent sur une sorte de table et me mettent des espèces de menottes aux pieds et aux mains. Ils mettent aussi une sorte de serviette sur le front. Dans la pièce il y a des lumières blanches, rouges, jaunes… Soudain un des nains, trace des ronds sur mon pull-over avec une espèce de boite, ressemblant à une lampe électrique. Puis je me retrouve dehors. L’engin à trois pieds de trois mètres de haut environ et dessous des lumières clignotent. »

 

Est-ce qu’ils vont revenir demande M. Ruchon ?

 

Je ne sais pas, répond Hélène. Pas tout de suite en tout cas. Il y a trop de monde autour de moi. Peut-être dans six mois.

 

L’expérience est terminée. Hélène se réveille et demande un verre d’eau. Quand elle écoute son enregistrement, qui a été diffusé le mardi 24 août 1976 sur FR 3, elle n’arrive pas à y croire. Et pourtant… Il est difficile de croire que la jeune fille ait pu mentir en affirmant deux fois la même chose. Et puis il y a tout de même des faits troublants. Tout d’abord, ce décalage de deux heures et puis la voiture que ne peut rester au milieu de la route aussi longtemps sans éveiller la curiosité d’un automobiliste de passage. Actuellement, le pull-over est examiné au centre d’énergie atomique de Grenoble, afin de savoir s’il reste des traces décelable (Nous sommes en 2008, le Pull-over, reste toujours en examens... et toujours rien après 32 ans !)

Une autre expérience sous hypnose sera tentée en présence, cette fois-ci d’éminents spécialistes et de savants. Ensuite ? Hélène a essayé de reprendre, comme si de rien n’était.

Tout le village a parlé pendant longtemps de cette histoire.

 

Une chose est sûre en tout cas : il s’est passé réellement quelque chose d’extraordinaire cette nuit là pour Hélène.

*

Extrait : Nostra N° 230 du 1 Septembre 1976 de Patrick FORESTIER

 

Claude Burkel

Claude Burkel pour la taverne de l'étrange- Janvier 2008

*

P.S : A l’heure de ce jour Hélène est mariée et a 2 enfants ; elle ne veut plus entendre parler de cette histoire.

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