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MYSTERIEUX ENGIN DANS LES ALPES DE HAUTE-PROVENCE
Je viens encore aujourd’hui faire connaitre pour les nouvelles générations une histoire ancienne sur un évènement insolite dans les Alpes de Haute-Provence, afin de permettre plus de compréhension dans les recherches Ufologiques.
Cette fois, ce sont des militaires qui ont aperçu à deux reprises des O.V.N.I. dans les Alpes de Haute-Provence, à proximité de la frontière franco-italienne du col de Larche. Il était un peu plus de 20 heures, le mercredi 8 décembre 1976, lorsque, à bord de leur voiture, les sergents-chefs Gaborris et Charrins de la section montagne du 11 éme B.C.A., ont aperçu l’étrange phénomène. Ils venaient de quitter le village de Meyronnes pour rejoindre leur cantonnement, au hameau de Maison-Méane, lorsque le conducteur stoppa net son véhicule :
« Ils avaient remarqué dans le ciel un objet sombre, de forme circulaire et de la taille d’un gros avion » explique le commandement Vauson de la brigade des chasseurs alpins de Barcelonnette. « Cette forme, lumineuse en son centre, qui pouvait se situer à 600 mètres au-dessus d’eux, s’est alors stabilisée avant de disparaître au bout d’une minute, derrière les montagnes ».
SANS AUCUN BRUIT
Venant d’Italie et se dirigeant vers le nord-est, les deux militaires pensèrent tout d’abord que cette forme allongée était en fait un avion des lignes régulières. En arrivant à leur cantonnement, ils racontèrent leur aventure. C’est alors que les chasseurs alpins les informent que, précisément à 23 heures, tous les chiens de la section montagne avaient hurlé à la mort d’une façon impressionnante et inhabituelle. Le lendemain jeudi, les deux sous-officiers retournèrent aux mêmes endroits, toujours à 23 heures, mais accompagnés d’un douanier et d’un autre sous-officier. Quelle ne fut pas leur stupéfaction quand ils aperçurent, au même endroit, et au même moment, quatre formes dans le ciel d’une couleur rouge sombre. Venant toujours de la même direction, ils se déplaçaient sans aucun bruit, en parfaite ligne droite, vers le col de Mirandole, entre 500 et 1500 mètres.
« Brusquement, l’un d’eux s’est détaché des autres, raconte le commandant Vanson, et s’est dirigé vers les témoins qui ont eu très peur. Puis soudain, l’engin a disparu à une vitesse incroyable, ainsi que les trois autres. » A leur arrivée à Maison-Méane, les sous-officiers apprirent que de nouveau, à 23 heures, les chiens avaient hurlé à la mort. C’est alors qu’ils décident d’avertir la gendarmerie en présentant un rapport rédigé sur les constatations faites au cours des deux précédentes soirées. Le chef de brigade de gendarmerie de Barcelonnette, le capitaine Jean-Yves Montfort en personne, passa les nuits de vendredi, samedi, et dimanche au col de Larche en compagnie de chasseurs alpins. Mais le phénomène ne devait plus réapparaître. Malgré la surveillance constante du secteur, aucun fait anormal ne fut constaté. Pour le moment, l’enquête est toujours sans réponse. Il est reconnu que ces témoins sont dignes de confiance et tout à fait sains d’esprit. De plus, ces hommes habitués à la haute montagne savent apprécier les distances et les phénomènes naturels. Il y a enfin la panique des chiens qui, eux aussi connaissent les réactions naturelles, ces chiens ne réagissent pas s’ils ne perçoivent pas quelque chose d’inhabituel.
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Sources : Rapport militaire de la 11ème B.A.C.
CLAUDE BURKEL