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1943- L'EXPERIENCE DE PHILADELPHIE

    

L’EXPERIENCE DE PHILADELPHIE

 

uss eldridge

 

Au mois d’avril 1973, j’ai eu le plaisir de rencontrer Francis MAZIERE, des éditions LAFFONT (collection des livres noirs) pour des renseignements sur l’île de Pâques, très grand spécialiste en la matière. Après ce contact favorable Francis m’a fait part d’un courrier reçu quelques semaines plutôt au sujet d’un projet de livre sur l’expérience de Philadelphie de 1943, aux éditions Laffont. Envoyer par l’association du Docteur Manson Valentine, archéologue, et océanographe. Mason Valentine qui est le dernier ami de JESSUP, principal investigateur de Philadelphie. Les éditions Laffont ont refusé d’une façon catégorique la réalisation de cet ouvrage. Francis MAZIERE, m’a confié aussi certains écrits sur ce sujet.

Je vais aujourd’hui retracer les grandes lignes de cette expérience.

 

Le docteur Morris Jessup, le fameux astronome est très grand scientifique, fut en relation avec le bureau de la Recherche Navale. D’après Jessup, l’expérience de Philadelphie était une opération secrète conduite par la Marine nationale U.S.A… à Philadelphie et en mer, en 1943.<o:p></o:p>

Elle avait pour objectif de vérifier l’effet d’un courant magnétique produit sur un bâtiment de surface pourvu de son équipage. En pratique voilà comment elle s’applique : un champs électrique crée dans un solénoïde fait naître un champ magnétique à angle droit du premier, chacun de ces champs représentant un plan de l’espace. Mais étant donné qu’il existe trois plans d’espace, il doit y avoir un troisième champ, peut-être gravitationnel. En relayant les génératrices électromagnétiques en vue de produire une pulsation magnétique, il peut être possible de créer ce troisième champ grâce au principe de résonance. Jessup croyait que la Marine Nationale des U.S.A , en avait eu connaissance par hasard, à la suite d’une expérience en temps de guerre, menée à bord d’un contre-torpilleur (USS ELDRIDGE), laquelle a pris le nom d’expérience de Philadelphie.

 

Les résultats se révélèrent stupéfiants et d’une grande portée bien qu’ils aient eue des effets secondaires néfastes sur l’équipage. Dès le début de l’expérience, une lueur verte, vaporeuse, se manifesta, assez semblable à celle dont font état les survivants d’incidents survenus dans le triangle des Bermudes, qui évoquent un lumineux brouillard verdâtre. Bientôt, l’ensemble du navire fut submergé par cette étrange brume et le bâtiment, ainsi que son équipage, commença à disparaître à la vue de ceux qui se trouvaient sur la quai jusqu’à ce que, seule, la ligne de flottaison fût visible. Ultérieurement, le contre-torpilleur fut signalé comme ayant apparu et disparu à NORFOLK ! (<st1:metricconverter w:st="on" productid="320 km">320 km</st1:metricconverter>) pour revenir à Brotherly Love, ou il était amarrer. Peut-être le résultat d’un essai d’invisibilité, comportant une certaine similitude avec le phénomène de déviation du temps. Un ancien membre de l’équipage a rapporté que l’expérience fut réussie en mer les derniers jours d’octobre 1943, avec un champ effectif d’invisibilité de forme sphérique s’étendant sur cent mètres de chaque bord qui laissait entrevoir le dépression causée par le bateau dans l’eau, mais pas le bâtiment en soi.

  

 

Avec l’intensification du champ de force, certains membres de l’équipage commencèrent à disparaître ; ceux-ci ne purent être retrouvés que grâce au contact physique et ils ne redevinrent visibles que par l’intervention d’une technique relevant de l’imposition des mains.<o:p></o:p>

Certains autres s’éloignèrent à tel point de leurs dimensions matérielles initiales qu’ils ne purent être détectés et ramenés à la normal qu’à l’aide d’un dispositif électronique spécial. Pour de tel cas, lorsqu’un compagnon de bord ne  pouvait plus être vu ou senti, l’équipage usait d’une expression curieuse ; (il est figé dans la mélasse). En vérité, il s’agissait d’un état d’inertie momentané auquel il était souvent difficile d’arracher le sujet. Des rumeurs circulèrent assurant que des hommes avait été hospitalisés, que certains étaient morts et d’autres souffraient de dérangements mentaux. D’une façon générale, les capacités physiques semblaient avoir été aiguisées, alors que chez certains hommes les effets de la transmutation dus à l’expérience se perpétuaient ; ils disparaissaient provisoirement et réapparaissaient tandis qu’ils se trouvaient chez eux, dans la rue, ou qu’ils étaient assis dans des bars ou dans des  restaurants à la stupeur de ceux qui les entouraient. A deux reprises, l’habitacle du navire fut la proie des flammes pendant son remorquage vers la terre. Nous ignorons si Jessup, a été témoins des événements qu’il a rapportés, mais nous  savons qu’il s’est livré à des recherches très approfondies. Il faut garder à l’esprit qu’il n’avait rien de l’écrivain versant dans le charlatanisme, mais qu’il était un homme de science éminent, et un astronome célèbre. Il s’était vu confier le grand télescope électronique de l’hémisphère Sud. Jessup s’intéressa a nouveau à l’expérience de Philadelphie, lorsqu’un homme, nommé Carlos Allende qui prétendait être un survivant de l’expérience, lui écrivit en 1956 au sujet de son ouvrage, (Les cas des OVNI), en raison de la similitude des théories de base. Comme tout auteur qui se respecte, Jessup lui répondit. Quelque temps après le début de cette correspondance, Jessup fut convoqué à Washington par l’Office des recherches Navales. Il est bon de rappeler que la censure avait étouffé tout ce qui se rapportait à l’expérience de Philadelphie, mis à part un bref article paru dans le journal local. On présenta à Jessup un exemplaire de son livre largement annoté à la main, volume qui s’était mystérieusement matérialisé à l’office des recherches navales ; les notes avaient trait à ses théories, à l’expérience de Philadelphie et aux activités des OVNI. Et des renseignements effectués par ces êtres. On demanda à Jessup s’il reconnaissait les écritures, apparemment dues à trois personnes distinctes, chacune d’elles ayant identifié ses remarques par des initiales. Il crut reconnaître dans l’une des inscriptions et le paragraphe qui suivait celle d’Allende et il communiqua les lettres de ce dernier à l’office.<o:p></o:p>

 

Ultérieurement, le ministère de la Marine donna ordre de faire reproduire par l’un de ses services du Texas, vingt-cinq copies exactes du livre annoté dont les remarques figuraient en rouge, Jessup, qui reçut trois exemplaires, fut informé que les autres copies étaient réservés à l’échelon le plus élevé du ministère. Officiellement la Marine ne reconnut jamais quoi que ce soit ait trait à l’expérience de Philadelphie, mais elle ne s’en intéressait pas moins à l’ouvrage. Elle fit savoir à Jessup que l’office avait essayé de retrouver la trace d’Allende, mais en vain et qu’aucune personne ayant annoté le livre n’avait été identifié.

 

LES THEORIES DE JESSUP

 

Pour lui la théorie du champ unitaire d’Einstein, qui incorpore les champs gravitationnel et électromagnétique à la théorie espace-temps est vraie. Il est admissible d’entrevoir que les champs magnétiques, s’ils sont suffisamment puissants, pourraient effectivement conduire objets et individus à changer de dimension et par là même, à devenir invisibles. Jessup était convaincu qu’une censure officielle a étouffé un bon nombre de rapports importants. Son dernier ouvrage, publié juste avant sa mort, concernait les allusions bibliques aux « soucoupes volantes ». Et il s’intéressait aussi à la manière dont le magnétisme contrôlé, pourrait produire l’invisibilité, prolongement de la théorie du « champ unitaire » d’Einstein, que Jessup estimait être la clef du mystère concernant les subites apparitions et disparitions d’OVNI.

 

POURQUOI JESSUP S’EST-IL SUICIDE ?

 

 

S’il y a eu suicide, celui-ci était vraisemblablement dû à un état d’extrême dépression. La Marine lui avait proposé de continuer ses recherches concernant l’Expérience de Philadelphie et d’autres projets de cet ordre, mais il avait refusé, redoutant les dangereuses ramifications que comportaient de telles études. Par ailleurs, il avait été très sensible aux critiques dirigées contre son ouvrage par le monde scientifique et universitaire. Le docteur Valentine l’invita a dîner, qui l’attendit en vain. Jessup mourut dans sa voiture garée à Dade Country Park, asphyxié par l’oxyde de carbone, le pot d’échappement ayant été relié à un tuyau débouchant à l’intérieur du véhicule. Vraisemblablement en raison de l’insistance portée par Jessup sur certains aspects de l’intervention d’autres mondes dans les affaires de notre planète. Beaucoup de personnes estiment que sa mort ne fut pas un suicide. Le secret de l’Expérience de Philadelphie disparu avec lui. Mais bien des questions restent encore sans réponses.

  

 

La taverne de l'étrange- 8 septembre 2008

 

 

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V
bonjour puis je m'?nner de voir un lieu " hant? compar? l'apparition de Fatima ? un lieu hant?st parasit?ar des ?s de d?nts qui ne se sont pas ?v? pour diff?ntes raisons , l'entit?tant une ?rgie ' peut engendrer des ph?m?s physiques , visibles ou non . On a la peuve de ces facult?, dans des " manipes " tr?dangereuses , comme faire tourner les tables , parceque on fait appele ?es entit?qui vont descendre cette fois , sans savoir si cette entit?tait ou non dans la lumi? , de nombreux cas font ?t de tables qui se d?acent en devenant incont?les , exemple donn?eulement pour prouver que l'entit?st une ?rgie . J'esp? n'avoir froiss?ersonne .
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V
Un gouvernement qui ?out fait par sa politique d'information et de d?nformation pour garder le secret, de grand scientifique Einstein, Tesla qui ont travaill?e pr?ou de loin sur le projet.Au moins sachant que l'exp?ence ??lement eut lieu et vu la dext?t?aite pour faire le m?ge sur ce qui s'est pass?n peut bien pens?u'il y a eu quelque chose d'?ange...
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