• Seuls des astronomes de génie ont pu construire Stonehenge

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    SEULS DES ASTRONOMES DE GENIE ONT PU CONSTRUIRE STONEHENGE  VOILA 4000 ANS

     

    Le 23 Septembre de chaque année sera la fin de l’été. A cette date la durée du jour sera exactement égale à celle de la nuit, ce qu’en terme scientifique on appelle l’équinoxe d’automne, et qui marque l’une des quatre étapes importantes du calendrier astronomique.

     

    Lorsque nous regardons le Soleil, nous sommes victimes d’une illusion d’optique nous faisant croire qu’il tourne autour de notre globe, alors que c’est la Terre qui décrit un cercle autour de lui en plus de sa rotation journalière sur elle-même. Si l’on dessine sur une sphère ce mouvement apparent du Soleil, on obtient un cercle, appelé écliptique qui est légèrement penché sur l’équateur et le coupe donc en deux points. L’un, le point vernal, marque l’équinoxe de printemps du 21 mars, l’autre correspond à l’équinoxe d’automne.

     

    Le jour de l’équinoxe de printemps, le Soleil de l’hémisphère sud à l’hémisphère nord, coupant l’équateur. C’est ce qui explique l’inversion des saisons aux antipodes et le fait qu’on y célèbre Noël sous un soleil de plomb. Comme lors de l’équinoxe d’automne, jours et nuits sont d’égale durée. Puis les jours gagnent en longueur. Le 21 juin a lieu le solstice d’été et la durée des jours atteint sa valeur maximum, le Soleil semblant de s’arrêter. Le mot solstice vient d’ailleurs du latin « sol stat » le soleil s’arrête. Les jours diminuent ensuite et le Soleil recoupe l’écliptique au moment de l’équinoxe d’automne. Continuant à décroître, les jours atteignent leur durée minimum au solstice d’hiver du 21 décembre. Un cycle s’achève, un autre commence.

    Il existe un moyen très simple de connaître la date des solstices, c’est de planter un bâton verticalement dans le sol. Quand son ombre est la plus courte, au moment où le Soleil est au zénith, nous sommes au solstice d’été ; quand l’ombre est la plus longue nous sommes au solstice d’hiver. Nous n’avons pas la preuve que nos lointains ancêtres ont connu ce moyen, mais tout porte à le croire. Les hommes du néolithique n’avaient pas besoin d’autres connaissances pour édifier des sanctuaires solaires orientés selon les solstices et les équinoxes. Car, il n’y a maintenant plus de doute, le culte solaire était pratiqué dans presque toutes les régions avant la période historique et les nombreux monuments mégalithiques qui subsistent en sont la preuve (on en compte quelque 50000 en Europe).

     

    L’un des plus célèbres de ces monuments mégalithiques est celui de STONEHENGE. Situé entre la Cornouaille et le Pays de Galles, près de Salisbury, Stonehenge à la forme générale d’un cromlech, c'est-à-dire de pierres levées disposées en cercle. Il est formé de deux cercles concentriques, l’un constitué de groupes de trois pierres disposées en portiques, l’autre d’une double rangée de menhirs. A l’entrée du monument se dresse la « pierre du sacrifice », au centre la « dalle d’autel » et à l’extérieur, mais dans l’axe du chemin d’accès, la « heel stone ». Le rôle de cette dernière est très important car c’est elle qui donne la clé de Stonehenge. En effet, lorsqu’en se tenant devant la pierre d’autel on voit le Soleil se lever à la vertical de la « heel stone », c’est le jour du solstice d’été. A partir de ce point, à droite et à gauche, des menhirs permettent de connaître le jour des deux équinoxes.

     

    Un ouvrage scientifique qui vient d’être publié en Grande-Bretagne remet en cause tout ce que l’on croyait au sujet de la société contemporaine de Stonehenge, la civilisation mégalithique, comme on l’appelle généralement. Son auteur, le docteur Euan Mackie, conservateur de l’Hunterian Museum de Glasgow, soutient qu’il y a quatre mille ans les îles britanniques connaissaient une civilisation plus brillante qu’on ne le croyait, avec une structure théocratique, le pouvoir étant détenu par des collègues de prêtres astronomes et mathématiciens, constituant une véritable aristocratie spirituelle et temporelle. Le point de départ de la théorie de Mackie vient d’une hypothèse soulevée il y a bien des années par le professeur Alexander Thom, de l’Université d’Oxford. Ce savant, mathématicien de formation, mais s’intéressant aussi à l’astronomie, a étudié sur des bases statistiques plusieurs centaines de mégalithes, y compris Stonehenge, bien entendu. Selon ses conclusions, ces monuments auraient été des sanctuaires solaires, comme on le présumait, mais ils auraient été beaucoup plus des témoignages de la science des prêtres régnant que des assemblages de pierres destinés à prévoir solstices, équinoxes et éclipses. En somme, ce serait des monuments d’orgueil, les prêtres affirmant en les érigeant : « voici ce que nous savons faire », comparables, toutes proportions gardées, aux chefs-d’œuvre que devaient réaliser les compagnons pour être admis à la maîtrise.

    En étudiant les vestiges trouvés au cours de fouilles archéologiques, aussi bien autour de Stonehenge qu’à Silbury Hill, dans le Vessex, à Durrington Walls ou dans la région d’Orkney et dans bien d’autres sites où l’on rencontre des mégalithes, le docteur Mackie a recensé une multitude de morceaux de vaisselle de terre  cuite richement ornée qui fait défaut dans la zones ordinaires de peuplement.

    Par ailleurs, en examinant les ossements d’animaux mis à jour dans ce que furent les « cuisines » et les « salles à manger » préhistoriques, il a constaté que les occupants des monuments mégalithiques avaient une nourriture plus recherchée que les peuplades des villages ordinaires. C’est ainsi que les ossements de cochons domestiques sont plus grand nombre à proximité des mégalithes que dans les hameaux. De là à conclure l’existence d’une caste aristocratique entretenue sur un grand pied par la caste inférieure de paysans éleveurs, il n’y avait qu’un pas, aisément franchi par Mackie, lequel s’appuie en outre sur une somme de présomptions qu’il serait fastidieux de passer en revue dans le cadre de cet article. Mackie n’hésite pas à comparer la structure sociale de cette époque à celle qui présidait  à la civilisation maya de l’Amérique précolombienne, elle aussi régie par une caste de prêtres possesseurs  dune science perdue.

    Cette civilisation mégalithique de l’Angleterre ancienne, basée sur le savoir et non pas sur une technologie en développement constant, fut balayée par l’intrusion soudaine d’une nouvelle race de guerriers, appelée par les archéologues la race du gobelet en raison du nombre élevé de cet ustensile découvert dans les fouilles pratiquées sur leurs campements. Jusqu’à présent, on avait cru que les grands mégalithes comme ceux de Stonehenge ou de la région d’Orkney dataient de deux à trois millénaires. Ils étaient donc postérieurs à l’époque où les Grecs archaïques de Mycènes construisaient leurs fameuses murailles en bloc rectangulaires sans pierres de remplissage, comme par exemple la porte des Lions un des plus vieux monuments connus. C’est de Grèce, pensait-on, que cette technique de construction s’était répandue à travers l’Europe du Nord et de l’Ouest.

    Or les rectifications apportées récemment à la méthode de datation par le carbone 14 ont prouvé que les mégalithes de Grande-Bretagne dataient au moins de quatre millénaires. Ils ne doivent donc rien à la civilisation qui a fleuri sur les rivages méditerranéens. Il s’agit bien, conclut Mackie, d’une civilisation typiquement européenne qui a disparu sous la poussée de l’histoire et dont on avait perdu la trace.

    Certains réussirent portant à survivre en prenant le maquis, si l’on peut dire. Ils vivaient cachés dans la forêt et transmettaient leurs connaissances à de rares disciples : les premiers druides.

    STONEHENGE DECODE

    Pendant longtemps, Stonehenge a constitué une énigme impénétrable. On a commencé à comprendre son rôle dans le sanctuaire solaire en 1901, lorsque l’astronome britannique Norman Lockyer mit en évidence les similitudes existant entre l’orientation des pierres et les grandes directions astronomiques. Cependant, un grand nombre de points demeurait obscur. Une bombe éclata dans le milieu de la science mégalithique en 1963, quand Gerald Hawkins se décida à publier le résultat de ses recherches.

    Cet astronome américain, professeur d’astronomie à l’Université de Boston, avait été détaché quelques temps en Grande-Bretagne à la base d’essais en vol des missiles de Larkill, non loin de Salisbury. Ne sachant comment occuper ses loisirs, il visita à plusieurs reprises le site de Stonehenge et, intriqué par ce qu’il croyait être de simples coïncidences, se mit à étudier sérieusement le problème. A l’aide d’un ordinateur de l’époque (IBM 7090) baptisé Oscar, il calcula les mouvements du Soleil et de la Lune à l’époque ou le mégalithe avait été construit, reporta les écarts angulaires obtenus sur un calque qu’il superposa sur un plan de Stonehenge. La concordance était évidente, chaque pierre avait une signification astronomique bien précise.

    D’autres recherches ont permis de découvrir le rôle de 56 trous mystérieusement creusées dans le périmètre du cromlech : si l’on plaçait des pierres dans certains trous et que l’on avance chaque année d’une pierre d’un trou dans le sens des aiguilles d’une montre, on pouvait être prévenu par un artifice très simple qu’une éclipse allait se produire. Cette constatation a incité un célèbre astronome, le professeur Hoyle, à comparer Stonehenge à un rapporteur céleste, concluant qu’un Einstein préhistorique avait existé deux millénaires avant l’ère chrétienne, alors que l’humanité sortait à peine de la période de la préhistoire.

     

    Peut-être un être venu d’un lointain univers ?


    Source- Claude Burkel pour la taverne de l'étrange- Avril 2007

    claude burkel avatar

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