• Le cas Walton/ Villas Boas

     

    Rencontre du 4ème type

     

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    1975- Le cas Travis Walton

     

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    Un bûcheron américain affirme avoir été enlevé en 1975 par des extraterrestres. Ses collègues ont témoigné : ils ont bien vu une soucoupe volante, seul Travis, qui a aujourd’hui changé sa hache d’épaule, peut le raconter. De son histoire, Travis Walton a fait un livre et la Paramount un film !


     

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    Pendant de longues nuits, Travis Walton a fait des cauchemars. Ce bûcheron américain de l’Arizona, a vécu le 5 novembre 1975 une expérience hors du commun. C’est du moins ce qu’il raconte. Ce soir-là, il s’engouffre avec six autres bûcherons dans le véhicule tout-terrain qui les ramène chez eux, après une journée de travail dans l’une des régions les plus sauvages des Etats-Unis. Il est 18 heures.

     



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    *** Entre les arbres, ils voient une étrange lueur…***

     

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    Au loin, entre les arbres, les hommes aperçoivent une lueur étrange. Ils s’approchent et repèrent un énorme objet en forme de disque. Travis descend du 4x4, s’élance vers ce qu’il appelle une soucoupe volante, laquelle émet alors des bruits stridents. Brusquement, il se trouve projeté au sol, sans connaissance. Ses copains ont une peur bleue, démarrent aussitôt et laissent leur ami gisant à terre. Quelques kilomètres plus loin, ils décident de revenir sur les lieux, mais Travis a disparu. Ici commence un mystère que personne, et surtout pas Travis Walton, n’a réussi à élucider…

    « J’ai été enlevé pendant cinq jours, raconte t'il. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé. Je n’ai été conscient qu’une heure. Je me souviens : j’étais allongé sur une table, entouré de trois créatures de forme humaine, de taille supérieure à la normale et vêtues de combinaisons bleues. Elles n’avaient pas de cheveux et ne m’ont jamais adressé la parole. J’ai essayé de me dégager, de m’enfuir. Elles m’ont appliqué un masque sur le visage et j’ai à nouveau perdu connaissance, jusqu’au jour où j’ai été secouru par une patrouille de police qui m’a retrouvé sur le bas côté de la route. » Récit édifiant d’un homme qui aurait vu des extraterrestres et aurait vécu quelques jours avec eux ! Travis Walton est-il fou ? Etait-il, ce soir là, sous l’emprise d’une drogue ou de l’alcool ? Examiné par des psychiatres, il affirme qu’ils ne lui ont trouvé aucun déséquilibre mental. Quant à la drogue, il jure que les analyses de sang effectuées après le drame n’ont révélé aucune trace suspecte. Ses six collègues, qui tous affirment avoir vu la soucoupe volante, sont, paraît-il, passés au détecteur de mensonge. Reste à savoir si ces « preuves » suffisent à accréditer le témoignage, somme toute assez incongru, du bûcheron.


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    *** L’aventure s’est révélée rentable ***

     

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    Toujours est-il que Travis a, depuis, écrit un livre aujourd’hui épuisé. Il est même en train d’en écrire un autre. Son histoire a également inspiré la Paramount qui a réalisé un long métrage intitulé « Feu dans le ciel », sorti en salles aux Etats-Unis et en vidéo en Europe. Bref, l’affaire fait du bruit outre-Atlantique et rapporte tout de même bien des dollars à la famille Walton. Suffisamment en tout cas pour que Travis préfère aujourd’hui écrire plutôt que retourner couper du bois. Il explique pourtant qu’il n’aime pas trop raconter son histoire. « Je n’ai aucune explication à fournir. Et vous savez, je pourrais devenir fou en essayant d’imaginer qui sont véritablement ces êtres que j’ai rencontrés. »

     



    voir ici le diorama de son abduction !




    Si, un jour, pareille aventure vous arrive, vous penserez à Travis Walton. En attendant, dormez tranquille…


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    1957- Le cas Antonio Villas Boas


     

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    C’est au Brésil, dans le Minas Gerais, quelque part auprès de l’état de Sao Paulo que se produisit en 1957 « le cas le plus étonnant de tous » ainsi qualifié par un spécialiste du problème ovni… Le journaliste brésilien Joao Martins publiait à cette époque une série d’articles sur les soucoupes volantes dans le magazine « O Cruzeiro » ayant invité ses lecteurs a lui rapporter les cas inédits dont ils auraient connaissance. Martins reçut une lettre d’un fermier qui lui faisait part d’une étrange aventure lui étant advenue. Le journaliste trouva le récit du fermier si extraordinaire qu’il décida immédiatement de le rencontrer… L’entrevue eut lieu quelques jours plus tard à Rio en présence d’un médecin, le docteur Olavo Fontes. Le correspondant de Martins était un fermier de 23 ans, un « caboclo » ( d’ancêtres indiens et portuguais ) à l’esprit vif et intelligent. Célibataire, il vivait et travaillait avec ses frères à la ferme de ses parents. Son nom : Antonio Villas Boas. Voici son histoire : Tout a commencer dans la nuit du 5 octobre…Cette nuit là, de la fenêtre de sa chambre, Antonio voit une étrange lumière, plus brillante que la pleine lune, illuminant la cour de la ferme. Son frère la voit aussi…Une autre fois, il observe, encore avec son frère, une lumière « qui fait mal aux yeux » stationnant au-dessus d’un champ… Puis c’est la nuit du 15 au 16 octobre. Il est 1h du matin. Antonio est encore aux champs, labourant avec son tracteur malgré l’heure tardive, quand il voit à nouveau la lumière, comparable à une grosse étoile. Mais cette fois, elle se dirige sur lui…En l’espace d’un instant, l’objet lumineux se rapproche et s’arrête au-dessus du tracteur, le baignant d’une lueur rougeâtre. Au bout d’une ou deux minutes, Antonio, terrifié, voit l’objet s’éloigner d’une quinzaine de mètres devant le tracteur et put décrire celui-ci : «  Je pouvais voir nettement sa forme, il était comme un œuf allongé, avec trois éperons métalliques à l’avant. Il était illuminé d’une « phosphorescence rougeâtre ». Sa partie supérieure, plus lumineuse encore, semble tourner à grande vitesse. Trois supports métalliques apparaissent sous l’engin qui maintenant descend lentement vers le sol… » Antonio est alors pris de panique…Il braque son tracteur pour éviter l’engin mystérieux cherchant à s’enfuir dans une autre direction, mais son tracteur cale quelques mètres plus loin. Ayant abandonné sa machine, il se met à courir. Mais il avance avec difficulté sur la terre fraîchement remuée. Soudain…un petit être casqué et vêtu d’une combinaison grise s’accroche à lui ! Antonio le repousse brutalement, mais trois autres petits êtres semblables surgissent ! Le fermier est alors promptement saisi par les bras et par les jambes et soulevé de terre ! Les petits êtres marquent un temps d’arrêt, paraissant intrigués par les cris poussés par Antonio…C’est alors qu’il en profite pour se débattre davantage, essayant de se libérer, mais les autres réussissent quand même à l’entraîner jusqu’à leur engin.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     




    Malgré lui, il est hissé sur une échelle métallique et flexible qui aboutit à une porte abaissée comme un pont-levis et faisant office de plate-forme. Poussé à l’intérieur, il pénètre dans un compartiment aux murs de métal poli, éclairé comme en plein jour. La porte se referme derrière lui et les petits êtres, se fondant parfaitement à la paroi : hormis le dispositif d’enroulement de l’échelle, l’emplacement de la porte est devenu complètement invisible…Puis il est conduit ensuite dans une autre salle, plus spacieuse. Outre un ameublement sommaire composé d’une table et de tabourets fixés au sol, il remarque au centre de la pièce une colonne métallique allant du plancher au plafond et incurvée en son milieu. Le fermier entend alors ses ravisseurs s’exprimer en un langage étrange, incompréhensible, dont les sons lui évoque des plaintes, des grognements et des aboiements de chiens… Puis, au terme de leur délibération, les petits êtres se retournent sur lui et se mettent a lui ôter ses vêtements ! Malgré ses protestations, il se retrouve nu comme un ver. A l’aide d’une éponge, l’un des êtres vient lui répandre sur le corps un liquide onctueux et inodore qui sèche rapidement. Le jeune homme est ensuite entraîner vers l’un des murs sur lequel semble se détacher littéralement une inscription énigmatique… Une porte apparaît donnant accès à une autre pièce, plus petite et meublée d’une sorte de couchette. Tandis que derrière lui le mur redevient vierge de toute porte, Antonio voit avec appréhension deux petits êtres munis de tuyaux et de récipients se diriger vers lui. L’un des tubes est appliqué sur un côté du menton d’Antonio. Il ressent une légère succion et voit un peu de son sang s’écouler dans le récipient. La même opération est ensuite effectuée avec l’autre tube sur l’autre côté du menton. Après cela, il est laissé seul dans la pièce. Seul avec ses pensées…C’est alors qu’il perçoit une étrange odeur…Une odeur écoeurante et suffocante qui le fera vomir. Elle provient d’une légère fumée qui s’échappe par des trous minuscules perçant de petits tubes métalliques dépassant du mur. Puis, après une longue attente, un bruit fait se retourner et il voit alors entrer…une femme, aussi nue que lui, d’un type de beauté différent de celui des autres femmes qu’il avait connues. Ses cheveux étaient blonds, ses yeux bleus, très allongés, rappelaient les yeux stylisés des princesses égyptiennes de l’antiquité. Mais ce qui frappait surtout, c’était la forme de son visage, presque triangulaire sous des pommettes saillant très haut. Sa bouche, finement dessinée, était à peine visible. Elle s’approcha de lui, son attitude ne laissait aucun doute sur ses intentions…Plus tard, la porte s’ouvrit à nouveau, laissant apparaître l’un des petits êtres casqués qui fait un signe à la femme. Celle-ci, avant de quitter la pièce, se tourne une dernière fois vers lui et d’un geste, elle se désigne. Puis, souriante, elle le désigne et pointe un doigt vers le ciel…Antonio se retrouve à présent dans la plus grande salle, parmi les petits êtres. On lui a rendu ses vêtements, il est maintenant plus calme, il n’a plus peur, il sent que son aventure touche à sa fin. Puis, il se dit :  « Antonio, personne ne te croira si tu ne rapporte pas quelque chose…une preuve matérielle à monter ! »

    Il se saisit alors d’un objet qui était posé sur la table, mais aussitôt, on le lui reprend l’objet des mains pour le remettre à sa place. Après cela, l’un d’eux lui fait signe de le suivre. Avant de partir, le jeune homme jette un dernier regard sur ses étranges ravisseurs. Ceux-ci semblent maintenant se désintéresser de lui totalement et aucun regard ne lui est accordé. Mais avant de lui rendre sa liberté, le petit être qui l’accompagne lui fait faire le tour extérieur de l’appareil. Antonio a maintenant quitté celui-ci, la luminosité de l’engin se fait plus intense, la partie supérieure de la coupole accélère son mouvement de rotation. Lentement, l’appareil commence à s’élever tandis que le train d’atterrissage se rétracte et s’efface…Il est 5h 30. Antonio a passé quatre heures et quinze minutes à bord de la soucoupe.



    Durant les jours qui suivirent, Antonio fut sujet à de nombreux malaises semblant résulter de son incroyable aventure : somnolence anormale, migraines, vertiges, démangeaisons, sensations de brûlure dans les yeux…Le docteur Olavo Fontes le soumit à un examen médical approfondi. Il constata la présence de deux taches de chaque côté du menton qui paraissaient provenir de quelque lésion superficielle avec épanchement de sang sous la peau. Dans une lettre adressée au chercheur anglais Gordon Creighton, le docteur fit remarquer que les symptômes décrits par Antonio suggéraient un empoisonnement dû à une exposition à des radiations. Il était cependant trop tard pour effectuer un examen sanguin complet qui aurait pu confirmer ou infirmer cette hypothèse…

    « Ainsi s’achève l’étonnante histoire d’Antonio Villas Boas. A t-il réellement vécu cette expérience au terme de laquelle existerait peut-être actuellement, quelque part sur un monde lointain, une créature issue de l’étrange union qui s’est accomplie durant la nuit du 15 au 16 octobre 1957 sur la planète Terre ?… ».


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    source : « Ceux venus d’ailleurs » par Jacques Lob et Robert Gigi- Dargaud 1973




     

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  • Commentaires

    1
    princessedenuit
    Mercredi 19 Juillet 2006 à 14:46
    Tr?int?essant ton article , et je penses qu'au fond ns ne sommes pas les seuls etres vivants ayant une planete habitable.Plusieurs t?ignages de rencontres du 3? types ont ?ient racont?donc je ne mets pas en doutes ces personnes qui ont v?es ca , enfin il restera tjrs des septiques , surtout certaines sciences qui se basent sur leurs propres th?ies et non sur les faits alala sacr?scientiphiques lol .En tt cas super ton article :-)
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