• Des nuages intelligents nous viendraient...

     

    DES NUAGES INTELLIGENTS NOUS VIENDRAIENT D’AUTRES MONDES...

     

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    UNE NOUVELLE HYPOTHESE QUI DOIT REVOLUTIONNER L’UFOLOGIE MODERNE

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    On classe parmi les « formations globulaires », phénomène atmosphérique qui se produit quand le Soleil est à la limite d’une masse nuageuse, ce qui cause une illusion optique donnant l’impression d’apercevoir un objet globulaire. Actuellement, et si l’on excepte les inévitables pseudo-observations qui ne sont que des canulars de m’as-tu-vu, la plupart des observations rejetées par les spécialistes des OVNI concerneraient soit les formations globulaires, soit des amas nuageux de forme bizarre. Or, cette rigueur scientifique, louable en soi, a sans doute conduit à ne pas tenir suffisamment compte des « choses » ayant la forme de nuages et venant réellement d’autres mondes.

     

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    Un journal américain « le True Flyng Saucers et Ufos Quaterly » a écrit il y a quelques années, une étude approfondie de tous les cas observés de nuages se comportant comme des OVNI.<o:p></o:p>

    Certains sont plus que troublants. Une nouvelle hypothèse, étayée sur un ensemble de faits longtemps passés inaperçus, est en train de révolutionner le monde de l’ufologie (sauf en France !)<o:p></o:p>

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    Aujourd’hui, il n’y a pratiquement plus de scientifiques pour nier l’éventualité d’une vie extragalactique. Les missions complexes des sondes, le prouvent et la tentative d’entrer en relation avec des habitants de l’espace a reçu la caution de personnages officiels. Toutefois, ces extraterrestres que l’on admet comme plus que probables ont-ils la possibilité de venir nous rendre visitent ou, en d’autres termes, les OVNI viennent-ils de l’espace. En  l’absence de preuves officielles la question reste ouverte. Parmi des amis a moi, certains nient cette possibilité, s’appuyant sur la fragilité des témoignages recueillis et arguant du fait qu’il n’y aurait qu’une chance infinitésimale que les extraterrestres choisissent la Terre parmi les milliards de planètes de l’univers. Toutefois leurs convictions ne rencontrent pas un assentiment général, car de fortes présomptions permettent de répondre par l’affirmation à la question en suspens. La majorité des cas observés concerne soit une émission de vapeur ou de fumée destinée à cacher aux regards humains un engin conventionnel, un peu comme on se sert d’obus fumigènes pour rendre invisibles à l’adversaire des mouvements de troupe, soit une masse gazeuse inconnue faisant partie intégrale du système de propulsion de l’engin. On peut en effet concevoir une enveloppe moléculaire ou gazeuse non soumise à la gravitation qui entraînerait en roulant sur elle-même un esquif spatial placé en son centre. Elle serait en somme pour l’engin inconnu ce qu’est la chenille pour un char d’assaut. Aussi, quelques chercheurs vont plus loin et se demandent si l’on ne serait pas en présence d’une forme de vie intelligente prenant l’aspect d’une formation nuageuse qui serait en même temps et leur corps et leur engin spatial. Ce genre d’hypothèse, basée sur des éventualités scientifiques, défie l’imagination et il est nécessaire d’échapper à notre mode de pensée habituel pour le concevoir. Un peu comme cela se passait quand Einstein commençait à bâtir sa célèbre théorie. Un de nos graves défauts est de toujours faire de l’anthropomorphisme, c'est-à-dire tout ramener a la conception de l’être humain. Quand on a commencé à parler d’extraterrestres, on a supposé naturellement que les habitants des mondes infinis étaient faits à peu près comme nous, compte tenu des conditions de vie sur les autres planètes. De là les nombreuses descriptions de «  petits hommes verts » et autres élucubrations. C’était oublier que la vie organique et la vie intelligente pouvaient revêtir des milliers de formes, bien éloignées des nôtres. Qu’est-ce que la vie ? Cette question semble simpliste, mais il est difficile d’y répondre. Pour les biologistes, les caractéristiques de la matière vivante sont de pouvoir réaliser naturellement à une température moyenne et à un degré de Ph, ni acide ni basique des réactions qui demandent en laboratoire des températures élevées  et un milieu soit acide, soit basique.<o:p></o:p>

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    L’analyse chimique de la matière vivante n’est pas satisfaisante, car ses constituants, qu’il s’agisse du carbone, de l’oxygène, de l’hydrogène, de l’azote, des sels minéraux, se trouvent également dans la matière inerte. En partant de la définition des biologistes, on juge donc vivante toute combinaison répondant à un certain nombre de critères comme le métabolisme, la croissance, la reproduction et la transformation de l’information, c’est-à-dire une réaction aux stimuli externes. Ces définitions sont importantes car l’aventure spatiale a fait naître une nouvelle science, l’exobiologie, ou biologie de l’extérieur et les savants qui s’en occupent vont se trouver dans l’espace confrontés à des problèmes inconnus. La première expérience de grande ampleur pour déceler des traces de vie dans l’espace fut réalisée avec la sonde Viking, lancé à la fin de l’été 1975, et qui au terme de son voyage, s’est posée le 20 juillet 1976 sur la surface de Mars. Le principe des essais effectués par l’appareillage automatique de cette sonde consistait à mélanger à un échantillon de sol martien une solution nourrissante pour voir s’il se produirait une réaction métabolique, donc pour voir si des micro-organismes allaient « manger »  ce qu’on leur donnait.<o:p></o:p>

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    LA VIE SUR MARS<o:p></o:p>

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    Les résultats furent ambigus et n’ont pu être analysés parfaitement. Rien ne permet donc de conclure à la présence de vie, rien ne permet non plus de la nier (depuis cela à bien changer !) Ce que l’on peut dire, c’est que les résultats suivants nous donnent une forme de vie martienne différente de ce que l’on avait prévu ! Il existe de nombreuses planètes constituées par une sphère gazeuse d’hydrogène, d’eau d’ammoniac, cette sphère devenant de plus en plus dense au fur et à mesure qu’on s’éloigne des couches supérieures en allant vers le centre.

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    D’autres planètes, comme Jupiter, par exemple, sont plus ou moins fluides, avec un cœur solide entouré d’une masse gazeuse dense formé de méthane et de cristaux d’ammoniac. Les spécialistes qui ont étudié quelle forme de vie pouvait subsister sur ces astres en sont arrivés à la conclusion qu’il ne pourrait s’agir que d’être bizarres, sortes d’immenses sacs remplis de gaz, flottants dans les nuages de méthanes et se nourrissant de poussières organiques de l’espace. Pour en donner une idée, on peut les comparer à un troupeau de baleines flottant dans l’océan et filtrant l’eau à travers leurs fanons pour en retirer le plancton. Ces êtres pourraient très bien être dotés d’intelligence, mais ne disposant pas de membres pour transformer leur environnement, ils seraient à tout jamais incapables de bâtir une civilisation fondée sur une technologie, donc dans une autre dimension non matérielle. Cependant, ces êtres en forme de gaz seraient encore des organismes complexes, d’une intelligence supérieure à la nôtre. Des savants à la compétence reconnue par leurs pairs ont fait un pas de plus en postulant l’existence d’une vie totalement différente de nous. C’est le cas entre autres des astronomes Woolf et Fred Hoyle. Le premier affirme que l’on peut trouver autour de certaines étoiles une matière interstellaire douée d’intelligence.

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    Sir Fred Hoyle, lui, a imaginé un « nuage noir » composé de la même matière interstellaire, extrêmement diffus, au point que l’on serait en présence d’un « presque vide » pensant et raisonnant. Rappelons à ceux qui taxeraient ces hypothèses de rêveries gratuites que Woolf et Hoyle sont de véritables scientifiques. Quant aux auteurs de science-fiction, il leur est souvent arrivé de postuler l’existence d’intelligences évoluant en l’absence de corps palpable, dans des conditions proches des hypothèses scientifiques. Il est temps que nos fameux ufologues qui écrivent tant de livres, tiennent compte de ces données lorsqu’ils effectuent le recensement et l’analyse des observations d’OVNI. Chaque fois qu’apparaît dans le ciel une formation nuageuse ayant un aspect insolite, différent des formes habituelles des nuages, et ne se déplaçant pas de la même façon, les témoins doivent noter toutes les caractéristiques et si possible en prendre des photos, car il y a toutes les chances pour qu’il s’agisse d’une manifestation de la vie galactique.<o:p></o:p>

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    Source :  Recherches personnelles dans mes dossiers 

     

    La taverne de l'étrange- 29 octobre 2008


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