• Un homme d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort par des touristes au col Dyatlov. Cet endroit est tristement célèbre car en 1959 neuf randonneurs avaient trouvé la mort dans des conditions toujours inexpliquées... 

     

    La triste histoire de 1959 est-elle en train de se répéter ? Un groupe de randonneurs parti en excursion a fait appel aux services d'urgence la nuit de vendredi. Leur signal satellite à permis de les localiser, mais en raison de mauvaises conditions météo les secours peinent à se rendre sur les lieux où le corps a été retrouvé. Les voyageurs avaient commencé leur voyage le 1er janvier pour un des sentiers les plus difficiles de cette partie de l'Oural. Le site où le corps aurait été retrouvé est tristement célèbre car il y 57 ans, neufs randonneurs y avaient trouvé la mort. 

     

    L'histoire débute en janvier 1959 dans le nord de l'Oural, dix randonneurs, neuf hommes et deux femmes, pour la plupart des étudiants de l'Institut polytechnique de l'Oural décident de faire un trek de 350 kilomètres en ski de fond pour rejoindre le mont Ortoten. En cette période cette route est considérée comme extrêmement dangereuse, mais tous les membres de groupe étaient des randonneurs et des skieurs chevronnés. Alors que le voyage commence début janvier, l'un des membres tombe malade et doit quitter l'aventure. 

    Les neuf randonneurs continuent leur parcours, le chef de fil Igor Dyatlov qui donnera son nom au col par la suite, avait décidé d'envoyer un télégramme à leur club sportif dès leur retour à Vizhay prévu initialement pour le 12 février 1959. Mais les neuf compagnons n'auront jamais de voyage de retour... 

    Le 31 janvier les voyageurs arrivent dans la région de hautes terres et vont débuter leur ascension. Ils déposent des vivres en plus pour leur retour dans ce camp. Le lendemain, ils attaquent la traversée du col, initialement ils souhaitent camper de l'autre côté la nuit suivante, mais les mauvaises conditions météo les contraignent à changer de direction. Ils s'égarent et dévient vers l'ouest, ils décident alors de camper non loin de Kholat Syakhl (« Montagne de la Mort »). 

     

    Quelques jours après le 12 février, leur date de retour, toujours sans nouvelles, les familles commencent à s'inquiéter. Le 20 février une équipe de secours part à leur recherche. Et 6 jours plus tard ils retrouvent un camp abandonné sur le mont Kholat Syakhl. Là les secours découvrent la tente découpée depuis l'intérieur avec un objet pointu. Les randonneurs ont laissé tous les biens dans la tente, et les secours suivent les empreintes de pas qui mènent à une lisière d'un bois tout proche. A l'entrée du bois, ils retrouvent des restes d'un feu de camp et deux premiers corps, ils sont déchaussés et vêtus uniquement de leur sous-vêtement. Un peu plus loin cinq autres corps sont trouvés. Puis quelques mois plus tard les autres membres sont eux aussi retrouvés morts enfouis sous la neige. 

    Certains d'entre eux portent des signes de lutte, tels que des crânes fracturés ou des côtés cassés. L'une des femmes à même sa langue coupée. 

     

    Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit  Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit

    Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit  Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit

    Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit    Retour à l'énigme Dyatlov : découverte d'un cadavre au même endroit

    Cette sombre histoire a donné lieu à de nombreuses rumeurs. L'enquête pénale de 1959 n'a pas réussi à établir les causes de l'accident, et a conclu qu'une « force irrésistible inconnue » avait tué les skieurs.  

    Ce drame qui reste l'un des mystères non résolus les plus terrifiants du 20e siècle a suscité de nombreuses théories. Parmi ces explications : une avalanche ? Les randonneurs auraient surpris des tests militaires que le gouvernement essayait de cacher ? Une créature inconnue ? Une activité paranormale ?  

    Le mystère de l'accident du col Dyatlov a inspiré les réalisateurs de film d'horreur. Le film « La Passe du Diable» est inspiré de cette histoire où cinq étudiants tentent d'enquêter sur l'incident. 

    Afficher l'image d'origine

     

    autre article de ce sujet à la taverne

     

    Afficher l'image d'origine

    source de l'article

     

    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  • un bébé chèvre avec une tête humaine découvert en Malaisie !

    Une créature étrange et effrayante a été découverte en Malaisie. Il s'agit d'un bébé chèvre avec une tête humaine

     

    On est plus ou moins habitué aux créatures marines bizarres qui viennent tout droit des profondeurs des océans. Mais l’animal que vous allez découvrir est encore plus flippant ! Il s’agit d’une chimère qui ressemble à une fusion entre un bébé chèvre et un humain. La recette parfaite pour un bon film d’horreur.

    Un fermier a découvert la créature

    Les faits se sont déroulés à Felda, un petit village situé au sud de la Malaisie. L’étrange créature a été découverte un fermier de 63 ans nommé Ibrahim Basir. L’homme s’est confié aux médias locaux. Dans un premier temps, il a déclaré qu’il a été choqué au moment où il a découvert que l’une de ses chèvres avait donné naissance à un chevreau qui avait des caractéristiques similaires à celles d’un bébé humain. Le fermier a également raconté que c’est un de ses ouvriers agricoles, Jamaluddin Abdul Samad, 50 ans, qui lui a rapporté que certaines parties de l’animal ressemblait à un humain. « Quand je suis allé vérifier, j’ai été choqué mais fasciné également, le visage, le nez, les jambes courtes et même son corps semblaient être ceux d’un bébé humain, alors que la fourrure brune claire qui recouvrait tout son corps ressemblait à celle d’une chèvre » explique Ibrahim. Il a aussi mentionné que la créature n’avait pas de cordon ombilical.

    La créature n’a pas survécu

    Après sa naissance, le bébé mi-chèvre mi-homme n’a pas survécu. Plusieurs villageois ont proposé de l’argent au fermier afin de récupérer le corps de la bête, mais Basir a préféré procéder autrement. Le fermier a confié la carcasse de la créature aux experts. « Nous avons gardé la carcasse dans une boîte en polystyrène remplie de cubes de glace avant de l’emmener au service vétérinaire du quartier vers midi hier » explique-t-il. Désormais, le cadavre se trouve au Département des services vétérinaires. Les scientifiques vont pouvoir mener une enquête sur cette chimère effrayante.

    *

    source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  • Dans le domaine religieux on appelle stigmates les marques des plaies du corps de Jésus de Nazareth crucifié qu'ont porté certaines personnes au cours de leur vie. Le phénomène, signalé à partir du xiiie siècle, est d'ordre mystique en religion et d'ordre psychosomatique pour la médecine moderne. Son aspect "miraculeux" est fortement contesté par la médecine moderne. Diverses personnes, alors dites "stigmatisées", auraient présenté, à partir du xiiie siècle, des marques semblables à celles du Christ sur diverses parties de leur corps : sur les mains ou les poignets, rappelant les plaies causées par les clous lors de la crucifixion ; sur les pieds ou les chevilles, rappelant les plaies causées par les clous ; sur la tête, rappelant les plaies causées par la couronne d'épines ; sur le dos, rappelant les coups de fouet ; sur le flanc, rappelant la plaie causée par une lance. Ici dans cette liste une seule personne ne l'a pas été laquelle ?

    Quizz 44

     

    Quizz 44

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • La légendaire bête du Gévaudan reconstituée grandeur nature

    Une reconstitution en résine et polyuréthane de la mythique bête du Gévaudan, qui sévit dans cette région de Lozère entre 1764 et 1767, réalisée à partir d'images et de témoignages du XVIIIe siècle, a été présentée à Paris lundi par le journaliste Jean-Claude Bourret, auteur d'un ouvrage sur le sujet.

    La légendaire bête du Gévaudan reconstituée grandeur nature

    Une reconstitution en résine et polyuréthane de la mythique bête du Gévaudan, qui sévit dans cette région de Lozère entre 1764 et 1767, réalisée à partir d'images et de témoignages du XVIIIe siècle, a été présentée à Paris lundi par le journaliste Jean-Claude Bourret, auteur d'un ouvrage sur le sujet.


    L'énigne de la bête du Gévaudan résolue! par Alsace20

    Une centaine de victimes

    "C'est une première mondiale. Personne n'a eu l'idée en 250 ans de reconstituer la bête, en reprenant les dimensions mesurées par les deux chirurgiens qui, le 20 juin 1767, ont fait son autopsie", a déclaré au Press Club de France Jean-Claude Bourret, ancien présentateur des journaux télévisés de TF1 et auteur d'un ouvrage avec Julien Grycan sur le sujet paru en 2010 (Editions du Signe).

    La bête, qui aurait tué une centaine de personnes entre 1764 et 1767, est entourée de légendes : était-elle un Lion, une hyène ou bien un homme déguisé en loup ? Le rapport d'autopsie établi après qu'elle fut abattue en 1767 par Jean Chastel, un chasseur local, donne ses mensurations exactes. Elle avait des pattes "très puissantes", un pelage brun "avec une raie noire sur le dos", "des dents conséquentes" et "une immense langue de 37,8 cm", selon Jean-Claude Bourret.

    L'animal a déjà fait l'objet de nombreux ouvrages. Il a été le sujet de l'émission télévisée "Tribunal de l'impossible" en 1967 et du film de Christopher Gans "Le Pacte des loups" (2001). 

    Traces de sang

    "La bête est certainement un croisement entre un chien de combat descendant des légions romaines, avec une grande tache en forme de coeur qui est tout à fait caractéristique, et un loup", estime le journaliste, auteur du livre en deux tomes "Le secret de la bête du Gévaudan" (2010).

    La reconstitution montre l'animal en posture d'attaque, avec des traces de sang sur ses crocs : "On retrouve bien ses yeux rouges, qui faisaient peur aux témoins de l'époque", dit-il. Les récits de 70 paysans du XVIIIe siècle, qui ont survécu à ses attaques, ont également servi à élaborer la sculpture.

    Celle-ci a nécessité le travail d'une trentaine d'artisans (sculpteurs, taxidermistes, moulistes...) et coûté plus de 150.000 euros.

    Elle pourrait revenir à un musée, selon Guy Gilbertas, chef d'entreprise passionné par la légende, à l'origine de cette reconstitution. "On a envie de l'utiliser pour dynamiser la région de l'ancien Gévaudan", indique-t-il.

    source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Planche Ouija, attention danger !

    En dépit d’être un cadeau populaire ce Noël, la mystérieuse planche Ouija possède un côté beaucoup plus sombre et inquiétant, et serait bien plus dangereuse que l’on pourrait le penser…

     

    Le mois dernier, Google a indiqué que la célèbre planche Ouija était en train de devenir le cadeau incontournable de ce Noel 2014 grâce, entre autre, à la popularité du film d’horreur sorti cet Halloween « Ouija ». Aujourd’hui, et devant cet engouement, les exorcistes et enquêteurs en paranormal avertissent les gens quant aux dangers de l’utilisation de cette planche.

     

    Depuis longtemps, la planche Ouija est associée au monde de l’occulte, et selon certains, une mauvaise utilisation de cette dernière pourrait avoir des conséquences désastreuses.

    Les effets néfastes de la planche Ouija

    «Il est facile d’invoquer les mauvais esprits avec cette planche, mais il est toutefois très difficile de s’en débarrasser», a déclaré un prêtre qui a souhaité rester anonyme. «Les gens peuvent parfois être très naïfs lorsqu’ils pensent être en contact avec les âmes défuntes de leurs êtres chers».

    L’enquêteur en paranormal Darren Ansell a également exprimé son inquiétude sur le boum d’achat de ces planches : «Je ne conseillerai à personne d’utiliser une planche Ouija», a déclaré l’homme. «Les rares fois que je l’ai utilisé, cela m’a causé bien trop de frayeurs».

    Son groupe de recherche, Paranormal Study and Investigation (PSI), a mené plusieurs expériences contrôlées indiquant que les mouvements de la planche Ouija, pouvait dans certains cas, être causé par des mouvements musculaires inconscients des participants.

    Malgré cette découverte, Ansell affirme toute de même avoir parlé à certaines personnes qui auraient vécu de terrifiantes expériences après avoir utilisé une planche Ouija, et qui aujourd’hui, sont difficilement explicables.

    Ainsi, des voix désincarnées, des bruits étranges et des projections d’objets à travers les pièces des maisons ont été signalés par des personnes qui aurait tenté de communiquer avec les esprits à l’aide de planche Ouija.

    Planche Ouija, attention danger !

    source de l'info

    Partager via Gmail Pin It

    6 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires