• Depuis quelques années déjà la taverne a mis en place une rubrique "témoignage" sur vos histoires, évènements ou choses inhabituelles que vous avez vécus. Le but est de récolter des infos et ainsi progresser sur ces évènements vécus afin de permettre aux personnes de comprendre, d'en parler librement et, peut-être, pour certains, de soulager leurs consciences. Cela n'est pas facile d'en parler, certes, mais la taverne donne cette opportunité aux personnes de le faire, s'ils le souhaitent, bien évidemment... Votre anonymat sera respecter si vous le souhaiter !

     

     

    Vous pouvez envoyer vos témoignages à mon adresse email :

    taverne.etrange@gmail.com


    Voici le lien des témoignages "saison 1"

     http://tyron29.kazeo.com/Histoires-vecues,r81531.html

     

    puis celui de la "saison 2"

    http://tyron29.kazeo.com/Histoires-vecues/VOS-TEMOIGNAGES-saison-2,a2013341.html

     

    Merci à vous et gardez l'oeil ouvert et le bon si possible...

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     LA BOMBE ATOMIQUE A CREE DES DIAMANTS


    ENCORE UN SECRET IGNORE DU MONDE


     

    Le 13 septembre 1957 ces transmutations furent réalisées par une Bombe A que les Américains firent éclater dans un souterrain de la Sierra Nevada.

     

     

    mont rainer


    La Bombe avait été placée dans une grotte creusée à l’extrémité d’un couloir en zigzag long de 600 mètres aboutissant à 250 mètres de profondeur sous le mont Rainer, qui domine de ses 2000 mètres le désert de la Sierra Nevada. Tous les sismographes du monde entier avaient enregistré l’explosion. Et les choses en étaient restées là, car d’après les calculs établis par les savants, l’accès de la grotte ne devait être possible que dans cents ans, en raison de la chaleur absorbés par les rocs. Cependant, des sondages effectués par des appareils spéciaux indiquèrent que les techniciens avaient largement exagéré cette marge de sécurité. On entreprit le déblaiement du corridor d’accès.


    En 1961, trois spécialistes, James E.Olsen, directeur du Laboratoire atomique de Livermor, William Gangas, directeur des travaux de forage, et Curtis Klinger, chef du service de sécurité, purent pénétrer dans la grotte. On l’avait construite en pleine roc en forme de sphère de 40 mètres de diamètre, mais l’explosion en avait fait une cavité large de 50 mètres de haute de 10. La chaleur était d’environ 50°. Mais ce qui frappa le plus les trois hommes, fut le spectacle qu’offraient les parois. Sous le double effet de l’énorme pression et de la chaleur provoquée par l’explosion, les roches siliceuses s’étaient couvertes de cristaux provenant de leur fusion, cristaux qui avaient été réduits en fragments par les éclats de rochers mis en pièces. Parmi ces cristaux se trouvaient des rubis et des diamants.

    Par mesure de prudence et en raison de la chaleur, les hommes ne purent prolonger leurs observations et l’on sait peu de chose encore sur la quantité et la qualité de ces pierreries. Mais un fait est acquis : la bombe atomique a reproduit artificiellement les conditions physico-chimiques qui il y a deux ou trois milliards d’années, ont présidé à la formation naturelle des pierres qui brillent aujourd’hui à la devanture des bijoutiers. Il a fallu une pression et chaleur considérables. Cette pression et cette chaleur, l’homme en est maintenant la maître. Et le temps est venu depuis 1992 ou l’on fabrique par de petites bombes nucléaires situées dans des zones particulières riches en carbone, de fabriquer des diamants, et rubis. Personne au monde ne connait cette méthode sauf le Nouvel Ordre Mondial, comme d’habitude. Si vous avez un diamant qui possède de la radioactivité ne chercher pas pourquoi, vous aurez compris…

     

     

    Sources : Extrait des Services Secrets de 1975 que Robert Charroux a pu

    avoir avec de très grands dangers pour lui et sa famille.

     

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    AGOBARD ET LES MAGONIANS

     

    Des extraterrestres au Moyen Âge ?

     

    AGOBARD ET LES MAGONIANS

    Tout au long du Moyen Âge, des récits évoquent des contacts avec des créatures vivant « entre les anges et les hommes ». L’un des textes les plus célèbres est celui d’Agobard (779-840), archevêque de Lyon, dans la première moitié du IXe siècle.

     

    Ce texte, cependant, n’est pas fait pour accréditer de telles histoires. Au contraire, le Liber contra insulsam vulgi opinionem (le Livre contre les stupides préjugés du peuple) est destiné à lutter contre ce que l’archevêque estimait être les superstitions de son siècle. C’est dans la partie intitulée De grandine et tonitruis (De la grêle et du tonnerre) qu’il s’insurge contre les histoires de « peuples des airs » qui courent parmi la population de la région. Voici un extrait du texte :

    « Nous avons vu et entendu beaucoup de gens fous et assez insensés pour croire et affirmer qu’il existe une certaine région, qu’ils appellent la Magonie, d’où sortent des vaisseaux qui voguent sur les nuages ; ces vaisseaux (disent-ils) emportent dans cette région les fruits tombés à cause de la grêle et détruits par la tempête, après que le prix du blé et des fruits a été payé aux tempestaires par les navigateurs aériens qui les ont reçus. Nous avons même vu plusieurs de ces fous qui, croyant à la réalité de choses si absurdes, exhibèrent devant la foule quatre personnes enchaînées, trois hommes et une femme, qui, prétendaient-ils, étaient tombés de ces vaisseaux. Après les avoir gardées quelques jours en captivité, ils les avaient amenées devant moi, suivies par la foule afin qu’elles soient lapidées. Après de longues palabres, la vérité ayant fini par prévaloir, ceux qui les avaient montrées au peuple se retrouvèrent, comme le dit le prophète, dans le même état de confusion qu’un voleur capturé. »

    Traduction anonyme, Lyon, 1841.

     

    L’INCIDENT DE LYON

    Dans le De grandine, Agobard s’attaque aux idées de ses contemporains concernant le climat. Des paysans croient alors que des phénomènes naturels, comme l’orage ou la grêle, résultent de l’action de sorciers appelés « tempestaires » (tempestarii), qui sont en relation avec des êtres originaires d’un pays mystérieux situé entre terre et ciel appelé « Magonie ». Ils passeraient avec eux des pactes qui conduiraient les « Magonians », voyageant sur des navires (naves) aériens, à déclencher des intempéries désastreuses pour les cultures. Les deux parties se partageraient alors les fruits touchés et les animaux foudroyés ou noyés. Pour se prémunir contre de tels méfaits, les paysans ne connaissent qu’un remède : ils plantent dans les champs de grands mâts chargés de formules magiques. « Rationaliste » avant la lettre, l’empereur Charlemagne interdit, dans ses Capitulaires, une pratique si « superstitieuse ». Le texte d’Agobard s’inscrit dans le même combat. Or, l’archevêque de Lyon a de bonnes raisons de connaître ces croyances : on lui a amené un jour trois hommes et une femme que la foule accusait d’appartenir à la race des voyageurs aériens et qu’elle voulait lyncher. Agobard finit par démontrer aux Lyonnais leur erreur et sauva la vie des prisonniers. Selon une autre version, qui ne résulte pas du témoignage d’Agobard, les quatre « aériens » auraient bel et bien été tués puis jetés dans le Rhône après avoir été attachés à des planches.

    LES ÊTRES DU CIEL

    De même, dans nombre de textes anciens, païens ou chrétiens, apparaissent des êtres qui, quoique supérieurs aux hommes, ne sont pas d’essence divine puisqu’ils sont mortels comme eux. Ils sont dotés d’une grande science et savent se déplacer dans le ciel, d’eux-mêmes ou sur des « vaisseaux ». Dans l’Antiquité, un Plutarque croit à l’existence de tels êtres : pourquoi la nature n’aurait-elle rien prévu pour remplir le vide qui existe entre les mortels et les divins immortels ? Plus tard, au XVIe siècle, un autre auteur, Montfaucon de Villars, dans ses Entretiens sur les sciences secrètes, relate une anecdote qu’il fait remonter aux premiers temps de l’ère carolingienne : les créatures intermédiaires, que lui-même appelle Sylphes, ont décidé un jour de se montrer à visage découvert et sont descendus sur la Terre dans leurs vaisseaux aériens pour prouver qu’ils étaient innocents des crimes qu’on leur attribuait. Expérience inutile, apparemment, puisque des capitulaires de Charlemagne puis de Louis le Pieux fixent que seront imputées des amendes à tout homme et toute femme disant venir du ciel et qui sera capturé. Pour convaincre les Terriens, et de leur existence et de leurs bonnes intentions, les Sylphes auraient alors enlevé certains d’entre eux et leur auraient montré les beautés de leur pays d’origine. Puis ils les auraient reconduits indemnes sur la Terre. Mais les voyageurs involontaires auraient été pris à leur tour pour des sorciers ou des créatures diaboliques : arrêtés, torturés, ils auraient finalement été exécutés. L’épisode de Lyon se situe dans ce contexte. Les êtres aériens, par la suite, semblent faire preuve de plus de prudence. Les observations les concernant se font moins nombreuses, mais elles émanent parfois de personnages de haut rang : ainsi le roi Charles le Chauve raconte avoir un jour été entraîné par une créature d’« une blancheur éclatante » et munie d’« une arme jetant une lueur extraordinaire, comme celle d’une comète » (Paris, manuscrit de la Bibliothèque nationale). Rares sont ceux qui, à l’instar du sceptique Agobard, ne croient simplement pas que de telles créatures puissent exister. Les arguments de l’archevêque de Lyon sont d’ailleurs eux-mêmes bien étonnants pour un esprit moderne : l’impossibilité du phénomène résulte, pour l’auteur chrétien, d’arguments purement métaphysique- la puissance de tels êtres amoindrirait celle de Dieu.

    *

     

    L’ANCRE DU VAISSEAU DES NUEE

    Plusieurs textes du haut Moyen Âge (un Speculum regale- Miroir des rois- contant les exploits des héros légendaires irlandais, le Konungs Skuggsia norvégien de 950, l’Historia brittonum du Gallois Nennius de 826, ou le Mirabilia irlandais) contiennent la relation d’un incident très proche de celui que raconte l’archevêque Agobard. Un jour de fête, une ancre attachée à un vaisseau des nuées tombe du ciel et se coince en rencontrant un obstacle. Un des êtres aériens descend alors « en nageant » dans les airs et tente en vain de décrocher l’ancre. Il échappe de peu à la population accourue et s’envole vers le vaisseau. La corde est coupée, et celui-ci s’éloigne. Si les versions diffèrent dans les détails secondaires, toutes racontent néanmoins à peu près la même séquence d’évènement. Encore au début du XIIIe siècle, l’Anglais Gervaise de Tilbury, dans son Otia imperiala (les Divertissements pour l’empereur), signale une apparition similaire, qui se serait produite peu de temps auparavant. Cette fois, le « plongeur » aérien aurait eu moins de chance et serait mort dans l’aventure.

    Ces récits apparaîtraient comme d’archaïques légendes si un incident similaire, à quelques détails près, à ceux qui y sont rapportés ne s’était produit à l’époque contemporaine. Le 26 avril 1897, un énigmatique vaisseau aérien apparaît à Merkel, au Texas. Son ancre tombe accidentellement et reste engagée sur le sol ; un « plongeur » descend pour libérer le vaisseau… L’histoire fait la « une » des journaux du pays. Or, il est bien difficile d’imaginer que des paysans texans aient été influencés par la lecture de Gervaise de Tilbury ou par celle des textes des IXe et Xe siècles…

    AGOBARD ET LES MAGONIANS

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    LES DINOSAURES AURAIENT ETE EXTERMINES PAR DES EXTRATERRESTRES


    Le professeur Ivan Efremov ne fut pas le premier durant sont vivant a écrire sur ce sujet, mais sa théorie vient de faire jour trente ans après. Paléontologiste et écrivain de renommée mondiale, il n’a pas la réputation de s’adonner à de vaines spéculations ni celle de répandre des canulars pseudo scientifiques. Bien au contraire, il a toujours été le premier à s’insurger violemment contre les assertions tapageuses et gratuites de certains de ses confrères soviétique ou occidentaux qui avaient trop tendance à confondre, pour le meilleur de leur publicité et le pire de l’honnêteté scientifique, conjectures hardies et utopie douteuse.  

     

    LES DINOSAURES- L'ETRANGE DISPARITION...

    Et c’est aujourd’hui ce savant d’une rigueur et d’une intégrité farouche qui lance à voilà trente ans dans le monde scientifique cette inconcevable révélation, qui fait surface aujourd’hui : des extraterrestres ont exterminé les dinosaures depuis leurs engins spatiaux. Le professeur Efremov a consacré plus de quarante ans de sa vie de paléontologiste à l’étude du mystère des grands sauriens qui peuplèrent notre planète pendant les temps secondaires. Il a exploré, principalement en Asie soviétique, mais aussi dans le monde entier, des centaines de « cimetières ». Des ossements fossiles sont passés par milliers entre ses mains expertes. Peu à peu, d’année en année, de découverte en révélation, son opinion s’est forgée qu’il peut maintenant exposer au grand jour, preuves à l’appui. L’apparition des dinosaures constitue déjà un problème. Ils se rattachent très difficilement aux formes de vie qui précèdent.

    Ils surgissent un peu partout sur la majeure partie émergée de la planète.

     

    LES DINOSAURES- L'ETRANGE DISPARITION...

    Ivan Antonovitch Efremov en 1948 en Mongolie

    Sans doute, à l’examen, peut-on leur découvrir certaines affinités avec les oiseaux, en particulier dans la forme du bassin que présentent certains d’entre eux. Mais il n’empêche que cela ne suffit pas à les en faire dériver et que pour le paléontologiste les sauriens apparurent subitement sans évolution qui les fasse procéder logiquement d’une forme de vie antérieure. Quand à leur subite disparition, à la même époque et sur l’ensemble de la planète c’est vraisemblablement l’énigme qui détermina le professeur Efremov à consacrer une existence de chercheur au problème des dinosaures. Dès le début de ses recherches, il fut frappé par le fait que les ossements de sauriens étaient presque toujours groupés en « cimetières ». Ces animaux, comme nos éléphants actuels ou les baleines qui semblent avoir conservé une mystérieuse mémoire ancestrale de la mort, se sont littéralement « réunis » pour mourir.

    Leurs ossuaires mis à jour en Asie centrale présentent un incompréhensible mélange d’herbivores et de carnassiers. Théropodes carnivores ou gigantesques sauropodes herbivoires sont indifféremment venus mourir côte à côte. On dirait qu’une ultime trêve dans la lutte pour la survie avait réuni victimes et prédateurs. En 1939, jeune savant frais émoulu de l’Université, Efremov se trouvait en Chine, dans la province du Sikiang où s’ouvrait alors un chantier de fouilles. On mit à jour un cimetière de sauriens d’importance très moyenne mais dont une particularité frappa immédiatement le savant.


    Tous les crânes entièrement conservés portaient au niveau occipital une ouverture ronde assez analogue à celle qu’aurait laissée une balle de fusil. Mais à en juger par la régularité de la blessure, il devait s’agir d’un projectile en provenance d’une arme extrêmement efficace, plus puissante en tout cas que les armes connues avant guerre. Le professeur Efremov consigna minutieusement les faits et expédia les ossements dans le musée auquel ils étaient destinés. Il se garda bien de conclure à une quelconque intervention intelligente dans l’extinction des dinosaures. Sa conviction de savant n’était pas faite et d’autre part, les procès qui avaient décimé le monde scientifique russe entre 1930 et 1940 n’incitaient pas à l’audace novatrice ! Il poursuivit cependant ses observations. De toutes les expéditions de fouilles organisées par l’Université, il examina systématiquement tous les fossiles mis à jour et la plupart du temps retrouva le mystérieux orifice occipital. Lorsqu’un crâne fossile solitaire était découvert, il ne portait pratiquement jamais d’orifice dans sa partie inférieure. En revanche, la plus grande majorité des ossements exhumés dans les cimetières de dinosaures portaient la fameuse marque. Parfois, comme si le tir avait été mal ajusté, l’orifice apparaissait sur les omoplates mais il présentait toujours la même configuration, légèrement ovale et de taille très franche. C’est en 1948 que fut effectuée la découverte en nombre la plus importante. On décida alors la construction de barrages dans la région des monts Tian-Chan, en Asie centrale à des fins d’irrigation et de production hydro-électrique.


    Des savants, géologues, paléontologistes et anthropologistes se joignirent aux ingénieurs chargés de transformer la région en chantier titanesque. Ils étaient certains d’assister à de fabuleuses exhumations. De fait on mit à jour un immense cimetière de sauriens large de quatre kilomètres et long d’une bonne dizaine. Tout commença avec la découverte d’un monoclonius dinosaurien en parfait état de conservation et dont le crâne portait la petite blessure ovale. Il en fut de même pour tous les autres fossiles entassés par milliers dans la vallée, carnivores et herbivores, pétrifiés pêle-mêle. De ce jour mémorable, la conviction du professeur Efremov était faite. Il ne donna cependant guère de publicité à ses conclusions et ce n’est que dans les années 70 qu’il endossa l’entière paternité de son incroyable théorie qu’il avait eu encore l’occasion de vérifier. Des êtres intelligents ont détruit délibérément les grands sauriens. L’arme utilisée était d’une implacable précision si l’on constate la localisation irrémédiable de l’impact à la base d’une boîte crânienne à cavité cérébrale très exiguë. Quelle était cette arme ? Un super fusil, un laser, ou quelque autre rayon de la mort ?

    Quoi  qu’il en soit, le tir a été effectué depuis un engin volant comme l’indique sans conteste la forme de la blessure et son emplacement. Pour le savant soviétique, des extraterrestres en exploration sur notre planète exterminèrent systématiquement, et cela sur toute la surface du globe, les sauriens qui gênaient leur éventuelle installation.


    Efremov pense qu’ils voulaient protéger de ces monstres certaines cultures ou élevages qu’ils expérimentaient. Par un procédé que nous ne connaissons pas, ils auraient téléguidé les gigantesques reptiles en des points précis et les y auraient exécutés. On a parlé de rayonnements mortels consécutifs à l’explosion d’une étoile voisine de la Terre, ou une météorite qui aurait anéantie, les dinosaures. Mais cela n’explique pas l’attroupement titanesque de ces grands animaux en certains points bien précis non plus que le mystérieux orifice occipital. Un même conditionnement aurait-il été appliqué à d’autres époques à d’autres formes de vie dont les rescapés conserveraient immuablement les traces comme les baleines ou les éléphants ? La jeune génération de savants  soviétiques va plus loin que le professeur. Le paléontologue Firsov pense que tout le mystère des dinosaures peut s’expliquer par une intervention extra-planétaire. Des êtres supérieurement évolués ont décidé d’ensemencer  la Terre avec une forme de vie ou une autre. Les sauriens furent une de leurs tentatives. Ils « manipulèrent » leur évolution ce qui expliquerait la permanence de certaines  caractéristiques apparemment aberrantes. Ils les maintinrent en place durant des millions d’années espérant on ne sait quel résultat. Et, convaincus de leur échec, ils les exterminèrent méthodiquement depuis des engins volants. Nombreux sont bien entendu les textes mythiques  qui nous narrent le massacre des dragons ou des serpents géants à l’aide d’armes divines braquées par des conducteurs de  chars célestes.


    Ils  sont plus particulièrement originaires d’Asie ou d’Amérique latine, continents riches en cimetières de sauriens. Dans ces textes, les dieux tirèrent les serpents de la boue, les firent grandir  par magie, les nourrirent et leur permirent de régner sur la Terre. Puis les voyant indisciplinés, méchants et destructeurs, ils leur livrèrent bataille et les condamnèrent à dormir, à jamais vaincus sous les montagnes. Ces chroniques sont-elles un souvenir légendaire des temps révolus ou les extraterrestres prenaient-ils notre  planète pour champ d’expériences ?

    C’est ce que pensent de nombreux savants de l’Est comme Efremov, Zaitsev ou Karantsev.

    Ce qu’ils n’ajoutent pas, c’est qu’il n’y a aucune raison pour que les choses aient changé. Il reste à se demander quand et pourquoi nos « expérimentateurs » jugeront que l’expérience a bien assez duré. La théorie d’Ivan Efremov n’a jamais vraiment fait surface. En 1973 juste après sa mort, en accord entre le monde Scientifique et le Vatican, a définitivement enterré sa découverte. Le danger aurait été trop grand pour l’histoire de notre monde. Tous les rapports où écrits sur les véritables travaux ne sont plus, malgré les nombreux ouvrages réalisés par cet homme hors du commun.

     

    LES DINOSAURES- L'ETRANGE DISPARITION...

    Ivan EFREMOV né le 22Avril 1908, mort le 5 Octobre 1972

    À Moscou.

    Récit et Contes Scientifiques

    Auteur Ivan EFREMOV

    Editeur en langues Etrangères Russe

    1954. Réf. 5079.882

     

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