• Bonjour à toutes et tous ! Je cherche des témoignages personnels, vécus concernant les Anges Gardiens. Comme vous le savez j'ai un livre à rendre pour fin juillet et me manque des histoires vécues avec nos amis célestes. J'en ai trouvé sur Internet mais je préfère en avoir de votre part et que je rajouterais dans mon livre en vous citant. Si toutefois vous en trouvez de votre côté sur la toile cela m'intéresse aussi; mettez moi le nom ou pseudo de la personne le racontant ainsi que les adresses des sites afin que je demande la permission au webmaster de les publier dans mon livre. Merci d'avance et bon dimanche à tous sous vos applaudissements... tiens tiens ça me rappelle quelque chose, non ?

    Tyron

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  • Massacre-à-la-tronconneuse

     

    Massacre à la tronconneuse est tiré d'une histoire vraie !

     

    C'est celle d'un fermier du Wisconsin, Ed Gein. Sa mère était une folle à lier, adepte de la Bible, qui persuada son fils que toutes les femmes étaient le diable inacarné et que le sexe était un péché. Quand elle mourut, il cloua des planches sur la porte de la chambre où elle vécut et se fascina pour les histoires de crime et d'horreur. Un jour, Bernice Worden, propriétaire du drugstore du coin, fut retrouvé morte accrochée par les pieds, ses organes dispersés et l'on récupéra des bracelets conçus à partir de sa peau. Il aurait aussi assassiné une autre personne de la même manière, une cinquantenaire, Mary Hogan.

     

    L'enfance d'Edward `Ed' Gein

     

    Edward Theodore Gein est né le 27 août 1906. Né d'une mère et d'un père tous deux fermiers, Augusta (1878-1945) et George (1873-1940), il était le second fils de la famille. Il vivait avec ses parents et son frère aîné, Henry (1901-1944), au 160 Acre Farm, à une dizaine de kilomètres de la ville de Plainfield, dans le Wisconsin.

     Elevé par une mère autoritaire et dominatrice profondément ancrée dans la religion chrétienne, Ed Gein était un enfant timide, faible et reclus sur lui-même. Son père, alcoolique, mourut d'une crise cardiaque en 1940. Les deux frères reprirent donc l'exploitation de la ferme qui n'était malheureusement pas très rentable. La vie était dure pour les deux hommes qui vivaient sous le joug d'une mère possessive qui ne les encourageait pas à aller vers les femmes. En 1944, Henry mourut dans d'étranges circonstances dans un incendie de forêt (on soupçonna son frère Edward de l'avoir abattu d'un coup de fusil). L'année suivante, la mère d'Edward décéda des suites d'un cancer le 25 décembre. Après le décès de sa mère, à qui il vouait autant de haine que d'amour, Edward décida de sceller la chambre de celle-ci et de vivre dans la cuisine et dans les autres pièces de la maison. Il arrêta l'exploitation de la ferme et subsista grâce à une pension versée par le gouvernement. Edward consacra alors son temps libre à lire des ouvrages sur l'anatomie humaine mais également sur les camps de concentrations nazis et les effroyables expérimentations qu'ils y pratiquaient. Il s'intéressait beaucoup à ces ouvrages et plus particulièrement à l'anatomie de la femme. N'ayant jamais eu de relations sexuelles avec une femme, Ed se sentait frustré. Un jour, il tomba sur un article dans le journal du comté de Plainfield et plus particulièrement sur un article évoquant l'enterrement d'une femme le jour même qui attira son attention...


    Des pratiques innommables

     

    Cliquez pour voir l'image en taille réelle

     

    Avec l'aide d'un vieil ami à lui, Gus (qui sera, quelques années plus tard, interné en hôpital psychiatrique), Ed commença en 1947 à se rendre dans le cimetière de Plainfield pour déterrer, les nuits de pleine lune, des tombes où reposaient les dépouilles de femmes. Il prélevait sur les corps les organes qui "l'intéressait". Pendant quelques années, il continua ce petit "jeu" en toute impunité. Il alla même jusqu'à tenter de profaner la tombe de sa propre mère...

    Que faisait-il des organes et des ossements qu'il prélevait ? Il se livrait à des "expérimentations" abominables et se constituait tout un tas d'objets divers avec les ossements. Il conservait les organes dans son réfrigérateur afin de pouvoir les manger plus tard (Ed niera toujours s'être livré au cannibalisme et à la nécrophilie). Il prélevait des poitrines "complètes" de femme, des parties génitales, des morceaux de chair... Ed avait un côté efféminé et en collectant ces lambeaux de peau, il souhaitait accéder à son vœu le plus cher : celui d'être une femme à part entière. Son inexpérience en matière de sexualité ne lui permettait pas d'avoir une vision "normale" de la femme. Ed pensa pendant un temps à se castrer lui-même mais il considéra que s'il portait les parties génitales d'une femme, cela suffirait à faire de lui une femme...


    Le meurtre de Mary Hogan

     

    hogan tavern

     

    Mary Hogan était une femme de 51 ans, divorcée, qui travaillait à la Hogan's Tavern (ci-dessus), à Pine Grove, à environ 9 kilomètres de la maison d'Ed Gein. Le 8 décembre 1954, par un après-midi très froid, Ed se présenta à la Hogan's Tavern où Mary était seule. Il l'abattit froidement d'un coup de pistolet de calibre 32. Puis, il traîna le corps de Mary à l'arrière de la bâtisse et le chargea dans sa camionnette. Un client arriva peu de temps après et découvrit la taverne vide, une large mare de sang répandue sur le sol et des cartouches vides. La traînée de sang conduisait jusqu'à la porte de derrière. Plus tard, la police ne découvrit sur les lieux aucun indice susceptible de les mener à un éventuel coupable. Quelques semaines plus tard, un homme de la région, Elmo Ueeck, évoquait avec Ed Gein la disparition de Mary Hogan. Ce dernier dit : "elle n'a pas disparue, elle est chez moi, à la ferme en ce moment même". Elmo Ueeck, surpris mais aussi un peu effrayé, ne pris pas la peine de demander à Ed ce qu'il sous-entendait...


    Un meurtre de trop

    ed gein
     
    D'autres disparitions furent signalées dans les années qui suivirent mais aucun élément tangible ne permettait d'incriminer une personne bien précise. Puis, vint la date fatidique du 16 novembre 1957. Ce jour-là, Ed Gein assassina Bernice Worden, la tenancière d'un magasin de Plainfield. Ed s'était emparé d'une carabine 22 long rifle entreposée sur l'un des rateliers du magasin et avait tiré sur Bernice Worden. Puis, il avait fermé le magasin et emmené le corps de la pauvre femme dans sa propre camionnette... Le fils de Bernice Worden, Frank, était à la chasse ce jour-là. Lorsqu'il revint dans l'après-midi au magasin de sa mère, il trouva celui-ci fermé mais constata que les lumières étaient allumées. Des traces de sang étaient répandues sur le sol... Le garagiste du coin apprit à Frank qu'aux alentours de 9h30, il avait vu la camionnette du magasin sortir du parking. Frank alla trouver le shérif, Art Schley, pour l'avertir de la disparition de sa mère. Frank se souvint que la veille, Ed Gein était passé au magasin pour commander un bidon de liquide antigel. Ed avait également demandé à Frank s'il comptait aller chasser le lendemain. Le shérif Art Schley et le capitaine Lloyd Schoephoester décidèrent de rendre une petite visite à Ed Gein.

    L'Antre du cauchemar

     

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    Lorsque la police arriva à la maison d'Edward, ce dernier était absent. Ils se rendirent aussitôt dans un magasin qu'Ed fréquentait régulièrement. Il s'y trouvait et déjeunait avec le propriétaire du magasin et sa femme. Il était sur le point de partir lorsque le shériff Art Schley lui demanda de l'accompagner au poste pour lui poser quelques questions. Ed acquiesça sans sourciller. Le shérif Schley et le capitaine Schoephoester retournèrent à la maison de Gein avec des renforts. Ils se dirigèrent d'abord vers la grange mais celle-ci était fermée à clef. Le shérif trouva un moyen de pénêtrer à l'intérieur en enfonçant une barrière en bois. Il n'y avait pas d'électricité dans la grange alors il prit une lampe torche pour se frayer un chemin et balaya devant lui la première pièce dans laquelle il pénêtra... Ce qu'il découvrit lui glaça le sang : le corps pendu par les pieds d'une femme, dépecée, les jambes écartées et une longue entaille partant des parties génitales jusqu'à la gorge tranchée (la tête avait disparue). Les parties génitales avaient été prélevées, de même que l'anus de la victime. Il s'agissait de la dépouille de Bernice Worden... Dans la maison, il n'y avait pas non plus d'électricité. Les autorités utilisèrent donc une nouvelle fois des lampes torches et des lanternes pour s'éclairer. Il faisait sombre mais les policiers voyaient suffisamment pour constater que l'endroit était sale et le mobilier vétuste. Des dizaines de livres jonchaient le sol : des revues scientifiques, des ouvrages sur l'anatomie, des revues pornographiques, des romans d'horreur...
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    La cuisine de Ed Gein ou règne un désordre total...

    Mais le pire restait à venir. Ce qu'ils découvrirent dépassèrent tout ce que leur imagination aurait pu concevoir. Voici une partie importante de "l'inventaire" macabre que la police établit après avoir fouillé la maison de fond en comble :

     

    4 nez humains entreposés dans une boîte,
    1 bol de potage fait à partir de la moitié inversée d'un crâne humain,
    9 "masque de mort" (conçu à partir de la peau bien conservé de visages de femmes)
    10 têtes de femmes dont le haut du crâne avait été découpé juste au-dessus des sourcils et accrochés au mur,
    Des bracelets faits de peau humaine,
    1 bourse faite avec une poignée de peau humaine,
    1 gaine pour un couteau fait de peau humaine,
    1 paire de guêtres faites à partir de peau humaine,
    4 chaises avec les sièges remplacés par des bandes de peau humaine,
    1 boîte à chaussures contenant neuf vagins salés peints d'une couleur argenté,
    1 tête humaine accroché au plafond,
    1 abat-jour couvert de peau humaine,
    1 chemise faite en peau humaine,
    Un certain nombre de “têtes réduites”,
    Le "costume" de femme complet d'Ed Gein, comprenant bras, jambes, poitrine et visage,
    Le cœur de Bernice Worden dans une casserole sur le fourneau,
    Des dizaines d'organes humains stockés dans le réfrigérateur...

     

    D'après la police, Ed Gein avait du mutilé une quinzaine de corps de femmes pour la confection de ces "trophées". Des proches de Gein affirmèrent que ce dernier leur avait déjà apporté des morceaux de viande fraîche. Or, Ed avoua n'avoir jamais tiré un cerf de sa vie. Les gens furent pris de panique à l'idée d'avoir pu être mêlé à des histoires de cannibalisme...

     

    Une fin inéluctable

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    Le boucher de Plainfields lors de son arrestation.
      
      
     
     
     
    Edward Theodore Gein fut arrêté. Il avoua avoir commis le meurtre de Bernice Worden. Il confessera plus tard avoir tué Mary Hogan trois années plus tôt. Concernant la provenance des ossements et des organes humains trouvés dans la maison, Ed Gein avoua les avoir récupéré en profanant de nombreuses tombes. La police put vérifier les dires de Gein en déterra plusieurs tombes et en constatant que des organes et des membres avaient disparus... Les enquêteurs de l'époque étaient persuadés que Mary Hogan et Bernice Worden n'étaient très certainement pas les seules victimes de Gein. Les noms de Georgia Weckler (une jeune fille de 8 ans, disparue alors qu'elle était sur le chemin de l'école) et d'Evelyn Hartley (une adolescente de 15 ans, enlevée alors qu'elle faisait du baby-sitting) furent évoqués et on attribua leur disparition à Ed Gein. On évoque également ces deux chasseurs de cerfs disparus en 1952 : Victor Travis et Ray Burgess, comme étant des victimes potentielles de Gein. Mais la police n'avait découvert aucun reste « masculin » dans la maison de Gein donc il fut impossible d'établir un réel lien avec les disparitions des deux chasseurs...

     

    Ed Gein fut jugé malade mental à la fin de l'année 1957. Il fut interné au "Waupan State Hospital" et condamné à perpétuité. En 1978, il fut transféré au "Mendota Mental Health Institute" dans la ville de Madison, dans le Wisconsin. Il décéda des suites de problèmes respiratoires et d'une défaillance cardiaque le 26 juillet 1984 l'âge de 77 ans. Il fut enterré dans le cimetière de Plainfield. Fait notoire : bien des années plus tard, la pierre tombale de sa tombe fut volée...   

     

    Aura2
     


    http://www.phreak.org/index/archive01/misc/gifs/gifs.shtml ( images choc !).

     


        

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    Le ministère britannique de la Défense a publié mercredi (14/05/08) tous les documents sur les observations d'objets volants non identifiés entre 1978 et 1987 au Royaume-Uni.

     

    info issue du site: http://www.lefigaro.fr/

     

    Deux petits hommes verts qui tentent d'enlever un pêcheur, une soucoupe volante au-dessus de Waterloo Bridge à Londres et des lumières colorées se déplaçant dans le ciel au-dessus de Liver­pool. Entre 1978 et 1987, le Royaume-Uni a reçu la visite d'étranges visiteurs, si l'on en croit les cen­taines de témoignages dévoilés hier à l'occasion de l'ouverture des archives secrètes du ministère de la Défense britannique sur les ovnis.

     

    Les documents concernés ont été déclassifiés et sont désormais disponibles sur le site Internet des Archives nationales britanniques. Ils seront accessibles gratuitement pendant un mois.

     

    L'initiative n'est pas une première. En mars 2007, le Centre national d'études spatiales (Cnes), en France, avait déjà mis en ligne ses dossiers sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Selon les officiels du ministère de la Défense britannique, 90 % des té­moignages sont liés à des phénomènes relativement banals, comme des ballons météorolo­giques, la pleine lune ou des nuages lumineux dans la haute at­mosphère, mais 10 % résistent à l'explication. Malheureusement, ce n'est pas dans ces archives que l'on trouvera matière à les élu­cider. En effet, ces témoignages n'étaient collectés que pour des questions liées à la défense.

     

    Lumières rouges et vertes

     

    Dès que les militaires étaient sûrs qu'il ne s'agissait pas d'un prototype d'avion secret soviétique, «ils ne s'y intéressaient plus du tout» raconte David Clarke, du département de journalisme et de communication à l'Université de Sheffield, qui a rédigé une in­troduction sur les dossiers mis en ligne. Ce passionné d'UFO (ovni en anglais) a aussi relevé que le nombre de dépositions avait doublé en 1978 et 1979, après le film de Spielberg sur les ovnis, Ren­contres du troisième type, sorti en 1977. Seule une poignée de dépo­sitions ont fait l'objet d'une en­quête de la part des autorités. Quelques-unes sont assez farfelues. Le 21 février 1982, des clients sortant d'un pub rapportent avoir vu des lumières rouges et vertes clignoter dans le ciel. La direction des sources lumineuses correspondait exactement à la position de… l'aéroport londonien de Gat­wick !

    Certains des documents consignés par les militaires sont des courriers de particuliers envoyés aux autorités. Un individu a par exemple demandé quel était le plan des armées britanniques en cas d'invasion extraterrestre. Un autre, prêt à rendre service, a en­voyé des schémas dessinés à la main censés expliquer comment fonctionnent les vaisseaux extraterrestres.

    Mais certaines dépositions ré­sistent encore à toute explication, comme les étranges signaux ra­dars enregistrés par la Royal Air Force et des contrôleurs aériens civils.

     

    http://www.nationalarchives.gov.uk/ufos/

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    ARMES A INFRA-SONS : DECOUVERTE EXTRA-TERRESTRE UTILISE PAR NOS SCIENTIFIQUES ?

     

    partie1

     

    Les armes à infra-sons utilisées dans les conditions et les instructions suivantes peuvent conduire à la destruction massive de personnes se trouvant dans des abris ou dans des engins blindés de combat. Si les ondes passent par l'’intermédiaire de courants telluriques, les abris anti-atomiques sont aussi vulnérables.

     

    Un fait important, la construction des armes à infra-sons entraineraient des dépenses bien plus faibles que celle de n'’importe quel type d’'arme de destruction massive existante. L'’arme nucléaire se trouve sur ce point et d’'ailleurs sur bien d'’autre complément démodé et nettement dépassée, et moins dangereux pour la planète. Voilà pourquoi nos amis extraterrestres nous proposent des armes moins dangereuses pour eux ? Je précise que l’'action des infra-sons sur l’'organisme est la plus meurtrière.

    Aux fréquences de 7 et 8 hertz elles coïncident avec la fréquence propre des organes internes, le coeœur en particulier (arrêt cardiaque à distance ?) Il se produit alors un phénomène dit de résonance, qui entraine le déchirement des organes internes. L'’homme n'’entend pas les infra-sons, ceux-ci provoquent des maux de tête, des vertiges, des vomissements, des troubles visuels, des spasmes dans la gorge, perturbent la respiration et font apparaître des effets dits psychologiques entrainant un sentiment de peur et un évanouissement. Pour certains cas, ils peuvent même provoquer une crise d’'épilepsie. Le matériel des 2000 arrive même maintenant à provoquer des arrêts cardiaques en 30 secondes dans un rayon de 30 m. Les armes à infra-sons de faible puissance agissent sur les courants bio-électriques du cerveau et sur l’'ensemble du système nerveux, c'est-à-dire sur l’'état physique de l’'homme et peuvent ainsi priver ce dernier de son aptitude à combattre et à se défendre.

    (Voilà pourquoi il n’'y a plus beaucoup de réaction des humains devant les problèmes du monde ?) De plus, les infrasons peuvent se propager dans l’'air, l’'eau et l’'écorce terrestre à très grande distance : 100 à 200 km en suivant les veines des courants tellurique qui servent d’'éléments porteurs sans déperdition notable, font qu'’il est pratiquement impossible d’'opposer à leur propagation quelques obstacles que ce soit, les constructions même importantes et solides n'’ayant sur eux absolument aucun effet. Sur la base des résultats acquis dans le domaine de l'’acoustique, la mise au point de telles armes apparaît possible dans les années 2010.

    Les armes actuelles de ce type sont un peu lourdes et peu transportables. Les deux années à venir vont résoudre largement ce problème. Cette arme mise en parallèle avec l’'effet EMP résous complètement l'’inutilité des armes atomiques destructives à grande échelle et sans contrôle. L’'étude actuelle en grand secret dans des zones géologiques favorable à la transmission des infrasons, reste purement Militaire et les dossiers restent ultra-confidentiels. Il est certain que cette nouvelle façon de voir les hostilités entre peuples est extrêmement sectaire. La parade de ces armes semble difficile actuellement. Il ne faut pas oublier que les armes à radio-fréquences sont dans la 1ere phase qui sera vite démodée, vu la vitesse du développement technologique.

    Des zones clefs se trouvent actuellement dans divers pays. Ces zones sont recherchées par la Russie, et les Etats-Unis, la France, la Chine, (Tibet ?), Israël et la Grande Bretagne, souvent bien en dehors des territoires légitimes. La France bien placée en Europe possède plusieurs Zones actuellement de recherches, Murol, Sud de Beauvais, Forêt d'’Orient et dans les collines au nord de Lyon, qui replace Taverny depuis quelques mois.

    *

     

    claude burkel avatar

     

    Recherche et source personnelle par Claude Burkel

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  • Bonjour,
     
    Je vous communique cette info, si vous n'êtes pas encore au courant. Personne ne semble en parler.Le sujet à été tourné la semaine dernière avec Mr Patenet et Laurent Duval des repas de Rennes. J'en parle donc selon les info de Laurent, depuis lundi sur le site des repas. Toutefois, dans l'info finale que je reçois ce jour, on n'évoque pas Laurent, le montage définitif porterait plus sur le travail du Geipan il semble. Nous verrons tout cela dimanche soir.
    Cordialement
     
    Gérard Lebat

    Responsable du Réseau des " Repas Ufologiques".
    39, Rue de Fretay 91140 VILLEJUST

     

     

    Anne-Sophie Lapix et Harry Roselmack présenteront, dimanche 22 juin à 18:40 sur TF1, un nouveau numéro du magazine « Sept à Huit »
     
    Ier sujet ovni : (après d'autres sujets évidemment, en fin d'émission théoriquement)
    Mars attaque ? Le 3 mai dernier, Thibaut Chantegret, un banquier de 34 ans, pilote d'avion privé, passe le week-end à l'Ile d'Yeu, en Vendée, chez son père. Les deux hommes sont en voiture. Soudain, à 22h, ils assistent à un phénomène étrange.... Dans le ciel, des boules lumineuses et silencieuses. L'observation va durer 10 minutes. Depuis le mois d'avril dans l'ouest de la France, on a régulièrement signalé aux autorités de tels phénomènes, a priori inexpliqués. Des soucoupes volantes dans le ciel de Vendée et de Bretagne ? Les amateurs d'extra-terrestres aimeraient y croire... D'autres en sourient...
     
    2ème sujet Ovni
    Un homme enquête. Le week-end dernier, le spécialiste français de la question s'est porté sur le terrain. Jacques Patenet est ingénieur, responsable du GEIPAN (le groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés). Un scientifique qui consacre sa vie aux OVNI. L'organisme qui l'emploie est public, et dépend du Centre national d'études spatiales (CNES) créé en 1977. Chaque année, le GEIPAN reçoit plus d'une centaine de signalements, des phénomènes lumineux dans 98% des cas. Jacques Patenet, aidé par l'armée de l'air et les services de la météo trouve des raisons rationnelles pour 80 % des phénomènes observés (chute de météorite, confusion avec un ballon-sonde, phénomène atmosphérique naturel...). Dans quelques cas, rares il est vrai, il n'a aucune explication à donner.

    C'est encore au conditionnel car les impératifs de l'actualité sont prioritaires, mais pour la deuxième fois en quelques semaine TF1 devrait aborder le phénomène OVNI. Une séquence a été tournée, entre autre,  à l'Île d'Yeu en présence de Jacques Patenet et de Laurent Duval afin de mettre en évidence notamment les interventions du Geipan sur le terrain (une reconstitution en quelque sorte, sur une vrai observation) ainsi que le travail  des enquêteurs privés, le nouveau "service" que développe actuellement Jacques Patenet.
     
    Ce document devrait être présenté le dimanche 22 juin 2008  à 19 H 00 dans le cadre de l'émission "SEPT A HUIT". Durée : 20 mn environ.

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