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    RoseCcouv1

     

    L’'histoire qui va vous être racontée ici est si étonnante qu’elle dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginer en matière d’'aventures et d’'enseignements cosmiques. Le principal témoin de cette rencontre du 3ème type s’'appelle Rose et s’'est éteinte en avril 2000 à l’'âge de 72 ans. Mais son aventure s’'est déroulée en 1952 alors qu’elle était âgée de 24 ans. Il est vrai que cet épisode qui a à jamais marqué la vie de Rose a un petit goût des années 50 mais on peut aussi trouver dans les faits étranges qu’elle a vécus et les thèmes qu’elle aborde des corrélations remarquables avec la théorie révolutionnaire concernant la lune avancée par deux savants soviétiques en 1970. Rose C., en 1979, racontait son incroyable contact du 3ème type dans son livre : « Rencontre avec les Extraterrestres ». Plusieurs ufologues, impressionnés par l’'apparente sincérité de la jeune femme et par les traces physiques engendrées par cette rencontre, ont enquêté sur ce cas exceptionnel.

     

    *** LA RENCONTRE ***

     

     

     C’est le 11 avril 1952 que Rose C., alors âgée de 24 ans, eut sa 1ère expérience de contact avec des êtres étrangers à notre planète. Ce jour-là, elle s'’était rendue à bicyclette, accompagnée de ses chiens, dans le cabanon isolé que possédait sa famille en pleine garrigue, à quelques kilomètres de Nîmes. Peu après minuit, elle fut tirée de son sommeil par le grattement de patte de l’'un des chiens contre la porte du cabanon. Il réussit à soulever le loquet et à ouvrir la porte, après quoi il s'’élança silencieusement au-dehors. L'’autre chien lui emboîta le pas et, sans un seul aboiement, tous deux disparurent dans l’'obscurité. Encore à moitié endormie, Rose se leva, enfila son imperméable, attrapa sa lampe de poche et sortit du cabanon. Elle venait de franchir quelques mètres en direction de l’'autre cabanon, celui qui ne contenait que quelques vieux livres vermoulus, lorsqu'’elle fut éblouie par une violente lumière blanche, comme une sorte de flash. Elle entendit une voix plutôt claire et posée dire : « Que faites-vous ici ? ». « Et vous-même ? », répliqua-t-elle en s'’adressant au jeune homme qui se tenait en face d’'elle, après avoir braqué le faisceau de sa lampe de poche sur le visage de ce dernier. Cet individu, mesurant environ 1m75, ne semblait manifester aucune agressivité envers elle.

     

     

    Elle déclara qu’'elle était là sur ses terres et qu'’elle aimerait savoir ce qu'’il y faisait à pareille heure. Elle demanda où étaient passés ses chiens. Ces derniers réapparurent au moment où elle posait la question ! Elle entendit un léger bruit derrière elle, qui la fit se retourner et hurler de frayeur. Un être de 2m30 à 2m40 de hauteur se tenait près d’'elle et l’'attrapa par le cou avec des mains énormes….

     

    *** LES GEANTS ET LEUR INTERPRETE HUMAIN …***

     

     

     Il y avait 2 « géants » : le plus grand des 2 s’'adressa au jeune homme qui était avec eux dans une langue incompréhensible. Ce dernier déclara à Rose qu’'elle n'’avait rien à craindre d’'eux, qu'’ils étaient pacifiques, et que ses amis voulaient seulement savoir si elle avait quelques livres à leur donner. Alors qu’'ils se dirigeaient tous les quatre vers l’'autre cabanon ( où se trouvaient les vieux livres ), un 3ème géant apparut. Fait étrange, les chiens allèrent à sa rencontre comme s'’ils le connaissaient bien. A la question posée par Rose sur la provenance des visiteurs, l’'homme répondit, en levant les yeux vers le ciel, qu'’ils venaient « de là-haut », mais ni de la Lune, ni de Mars. Elle demanda ensuite comment ils étaient venus sur Terre ; l'’individu braqua alors un court instant le faisceau d’'un appareil sur un coin du terrain qui s'’illumina brusquement comme en plein jour. Rose aperçut alors un énorme objet circulaire, d'’un gris mat, couleur ardoise, qui avait la forme d’'un immense canotier et qui semblait en suspension dans l’'air à environ 1 m du sol, sans appui ni ancrage sur la terre ferme.

     

    Elle ouvrit la porte du réduit et les trois géants lui emboîtèrent le pas. Ces géants étaient beaux, avait la peau mate et ressemblaient un peu à des Hindous. Ils étaient vêtus d’'une combinaison claire métallisée et équipés de sortes de pataugas. Il sembla à Rose qu'’ils devaient chausser au moins du 60 ! Celui qui paraissait être le chef portait au haut du front un objet scintillant ressemblant à une grosse pierre précieuse hémisphérique légèrement allongée. Autour du cou passait une courroie à laquelle était accrochée à la hauteur de l’'estomac une boîte noire équipée de boutons. L’'homme, qui parlait un français parfait, servait donc d'’interprète aux trois géants. Ces derniers expliquèrent qu'’ils venaient d'’un autre monde. Leur stature mise à part, ils auraient du passer, ainsi que je viens de le préciser, pour des Hindous. Deux d'’entre eux étaient des athlètes dans la force de l’'âge, alors que le 3ème, qui semblait être le chef, paraissait nettement plus âgé. Il portait sur le front la « demi-sphère » ci-dessus évoquée, laquelle ressemblant à « une bille de verre noire coupée en deux »….

     

    L’'homme-interprète précisa à Rose qu'’il avait été contacté par ces créatures 20 ans auparavant, alors qu'’il était instituteur et âgé de 25 ans. Rose lui ayant fait remarquer qu'’il ne paraissait pas son âge, il répondit que le temps, « là-haut », passait beaucoup moins vite…

     

     

    *** UNE ETUDE SCIENTIFIQUE DE LA TERRE ***

     

     

    L’'interprète lui présenta un grand sac que portait l'’un des géants ; il l’'entrouvrit pour montrer son contenu : des souches d’'oliviers, d'’amandiers, de thym, divers objets de valeur et quelques pierres. Rose ayant objecté qu’'il n'’y avait dans ce sac rien ne justifiant un aussi long voyage, son interlocuteur répliqua qu'’il recueillaient des échantillons en divers endroits de la planète, ce qui leur permettait d’'évaluer les dégâts occasionnés par les bombes ayant explosé au Japon. L'’instituteur expliqua donc, échantillons à l’'appui, qu'’ils étaient là pour effectuer des prélèvements de minéraux et de végétaux, afin d’'évaluer la gravité des conséquences des explosions atomiques. Ce fut pour lui l’'occasion de dénoncer le comportement destructeur et irréfléchi de l’'Homme, son comportement insensé envers non seulement ses contemporains, mais aussi les générations futures. Il énonça aussi quelques vérités au sujet de certains grands hommes, dont la grandeur s'’était construite sur d'’immenses massacres et sur d'’infinies misères. Quand Rose demanda pourquoi les extraterrestres n'’intervenaient pas, l’'instituteur lui expliqua que chaque fois qu'’ils avaient tenté de le faire, rien de bon n’'en avait résulté. Lors de cette rencontre particulière, elle leur donna un exemplaire du « Comte de Monte-Cristo » d’'Alexandre Dumas, de très vieilles revues d’'une association de médaillés militaires, ainsi que le journal de mode qu'’elle venait d’'acheter. Rose demanda à son interlocuteur humain s'’il n’'avait pas pensé à sa famille quand il était parti avec les visiteurs de l’'Espace ; il répondit qu’'il n’'avait pas de proches parents, que personne ne s'’était inquiété pour lui, à part quelques-uns de ses élèves. A la question : « Vous n’avez jamais regretté d’avoir quitté la Terre ? », il répondit : « Au contraire, on gagne beaucoup en la quittant ».

     

    Le jeune homme lui demanda si elle voulait venir avec eux. Elle eut peur que les géants l’'enlèvent dans leur machine. Elle pensa à son père âgé et à sa petite fille qu’'elle aimait tendrement. Elle répondit qu’'elle voulait rester sur Terre. A ce moment là, le géant à la pierre sur le front s’'adressa à l’'instituteur qui traduisit sa question. Il voulait savoir qui étaient ce vieil homme et cet enfant qu'’il a vus dans les pensées de Rose. C’'est à cet instant que cette dernière prit conscience que le géant était télépathe.

     

     

    *** DE LOINTAINS ANCETRES ! ***

     

     

     Elle leur donna des détails sur sa famille. Au bout de quelques minutes, elle constata que les chiens s’'étaient gentiment installés au pieds des géants. Rose demanda innocemment s'’ils avaient des chiens. On lui répondit qu'’ils avaient tout ce que nous avons sur Terre et que leurs ancêtres nous avaient amenés sur cette planète. La seule différence est que tout est plus grand chez eux : leurs chats ressemblent à de petits tigres et leurs arbres sont immenses. On lui dit que les humains descendent de ces êtres, et au fil des générations tout avait rapetissé. La société d'’où viennent les géants aurait ainsi aménagé une planète pour les renégats, lesquels furent déportés sur Terre. L'’instituteur expliqua à Rose que des milliers d'’années auparavant, les extraterrestres avaient pris possession de la Terre dans le but d’'en faire une sorte de bagne destiné à ceux des leurs qui s’'étaient rendus coupables de divers méfaits. L’'humanité actuelle descendrait donc de ces exilés ! ( Notons au passage que ce scénario de « la Terre bagne cosmique » est décrit d’'une manière quasi-identique dans le livre de G. Adamski « Inside the Space Ships » de 1955 et traduit en français en 1979 sous le titre « A l'’intérieur des vaisseaux de l’'espace » chez M. Moutet ).

     

      Ces êtres lui dirent également avoir amené notre satellite, la Lune ! Ils la trouvèrent dans une autre constellation et la transportèrent jusqu'’à notre système solaire, la plaçant en orbite artificielle autour de la Terre. Le chef des visiteurs fit à l'’intention de Rose une démonstration de lévitation et de téléportation. Alors qu'’ils se trouvaient à l’'intérieur, le chef des géants actionna les boutons de la « boîte » qu'’il portait, dématérialisant une pierre qui se retrouva à l’'extérieur de la bâtisse, sans que la porte eût été ouverte ! De même, il souleva ensuite à distance de grosses pierres qui flottèrent en l’'air comme des ballons. La jeune fille déclara qu'’une grande sagesse émanait de cette impressionnante créature. Elle apprit également que la Lune du monde de ces visiteurs-ancêtres est 3 fois plus grosse que la nôtre, et on lui révéla que tous les 12.000 ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché par la bêtise des hommes. Il confia à Rose qu’'en 9405 av. J.-C., la Terre avait été ravagée par un cataclysme provoqué par les humains. On notera que cette date correspond fort bien à l’'époque de la dernière destruction de l’'Atlantide, les dates données par la plupart des sources « canalisées », notamment, tournant autour de 9000 à 10.000 avant notre ère. En outre, si les humains de l'’époque ont été à l’'origine de la disparition de leur civilisation, cela signifie qu'’ils avaient une science et une technologie avancées…

     

     

    *** DES TRACES PHYSIQUES ET PSYCHIQUES DE LA RENCONTRE ***

     

     

    Le séjour sur Terre étant épuisant pour leur organisme, les entités s’'apprêtèrent à repartir : ils montèrent dans le vaisseau, qui décolla et disparut dans un bruit assourdissant, en créant une zone de forte turbulence. A la suite de cette rencontre, Rose eut le sentiment de contacts psychiques répétés avec les personnages qu'’elle avait, le soir, des flashs dans son cerveau, diverses inscriptions apparaissant sur un fond violet. Elle eut aussi des prémonitions de catastrophes, lesquelles se produisirent effectivement peu après. Plusieurs personnes, dont Charles Gouiran, ont constaté chez Rose, vers le milieu des années 1970, la réalité de phénomènes de précognition ou de perception extrasensorielle. On notera que ce témoin privilégié à conservé pendant sa vie une trace tangible et indélébile de cette aventure : aussitôt après cette rencontre du 3ème type. Rose se surprit à se masser instinctivement l’'annulaire droit. Quelque temps après, regardant ce doigt, elle découvrit avec stupéfaction qu'’il était aussi long que le majeur ! Elle compara avec sa main gauche et parvint à la conclusion qu’'à la suite de ce contact, son annulaire droit avait poussé, probablement de 8 ou 9 millimètres ! Cet annulaire droit avait grandi au point d'’atteindre en quelques semaines la taille de son majeur ! Durant les 48 années ayant suivi son contact, de nombreux témoins ont confirmé que Rose possédait effectivement désormais 2 majeurs à la main droite. De plus, il y avait, au centre de la paume de la même main, une cicatrice d'’environ 1 cm à 1,5 cm. Cette cicatrice  protubérante ne s'’est pas effacée au fil des ans. En ce qui concerne l’'allongement du doigt d'’une main, il s’avère nécessaire de faire le rapprochement avec d’'autres cas similaires. A l’'époque un haut responsable du GEPAN ( Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens Non Identifiés ) vint la voir et contrôla ses dires et ne put que confirmer son histoire.

     

    D’'autres personnes ont enquêté mais elle n’'en a pas eu de nouvelles. Un autre observateur qui a suivi l’'affaire depuis l’'année 1970, Guy Tarade, célèbre écrivain dont l’'honnêteté ne peut être mise en cause, a déclaré : « J’'ai constaté de visu le fameux doigt. Je peux affirmer qu’'il n'’y avait pas de trucage, qu'’un enquêteur très officiel a également été surpris par cette sorte de métamorphose… » et que « quelques mois avant sa mort, son doigt s’'était encore allongé ! ».

     

    Le 1er cas, rapporté par Joël Mesnard, s’'est produit vers le mois d’'avril 1969, à Balizac ( Gironde ). Alors qu'’elle avait à peu près 17 ans, Catherine fut une nuit interrompue dans son sommeil. Elle conserve un vague souvenir de petits personnages, de couleur claire, près de la cheminée. Elle se cacha sous les couvertures. Le lendemain matin, elle portait à la cheville gauche une blessure affreuse et toute noire. Plusieurs médecins constatèrent l’'existence de cette plaie. Cette blessure se cicatrisa avec une lenteur extrême, le processus de cicatrisation ayant duré à peu près 1 an et demi. Joël Mesnard ayant mentionné le cas de Rose C., Catherine tendit sa main droite : l’'annulaire avait, comme chez Rose, une longueur anormale. Elle présentait donc la même anomalie que Rose C., au même doigt.

     

     

     *** SORTIE HORS DU CORPS ET PYRAMIDES MAGIQUES ***

     

     

     Peu après sa rencontre rapprochée, Rose vécu un nouvel épisode paranormal. Un jour, elle sentit que quelque chose lui empoignait la nuque ; au même moment, elle éprouva une paralysie qui s'’empara progressivement de son corps, et elle se retrouva « debout à l’air libre ». Il s’'agissait donc d'’une sortie hors du corps. Elle aperçut, face à elle, la statue du Grand Sphinx. Il était de couleur rouge-brun. Elle vit aussi 2 grandes pyramides brillantes qui paraissaient couvertes de neige argentée ( craie ? ). Rose fit alors la rencontre d'’un étrange personnage à l’'aspect majestueux et à l’'apparence sévère. Il s’agissait de BELMO, un être que ses compatriotes surnommaient MERI- MEROAN, ce qui peut se traduire par « le Suprême » ou encore « le Valeureux ». Après s’'être enfoncés dans le sol à l'’intérieur d’'un cylindre de verre, ils se retrouvèrent dans une salle taillée dans le granit. BELMO posa alors 3 questions à Rose, et celle-ci donna les bonnes réponses. Elle pu alors découvrir une pièce entièrement constituée d’'or : murs, sols, immenses cubes dorés, objets bizarres… Des objets laissés par quelques sages atlantes pour servir de témoignages aux générations futures. 

     

     

    Il y avait notamment :

     

     

     

    Le Grand-Œoeuvre : il se présente sous la forme de petits grains rougeâtres. Cette poudre est capable de transmuter n'’importe quel matériau en or pur.

     

     

    Le Grand Séparateur : il s'’agit d'’un élixir de longue vie qui arrêterait le vieillissement.

     

     

    Le Grand Orgue : il s’'agit d’'une machine faite de tuyaux enchevêtrés et tordus servant à faire tomber la pluie. La machine à orgone de W. Reich ( voir l’'article des fées & djinns ) présentait, paraît-il, ces mêmes caractéristiques.

     

     

    Le Grand Sens : Rose se mit en face de cette machine et sur l’'écran apparut son image entourée d’'une « auréole colorée, brillante, faite de ce qui semblait être des étincelles bleues et vertes ». Il s’'agit donc d’'un appareil permettant de révéler l’'aura humaine.

     

     

    Le Grand Stimulateur : un appareil destiné à retrouver « la connaissance perdues ».

     

     

    Le Grand Révélateur : il permet de connaître les images du passé.

     

    *** REVELATIONS SUR LE SPHINX ***

     

    BELMO proposa ensuite à Rose de passer certaines épreuves :

     

    La Barque de la Connaissance : cette épreuve consistait à passer 3 jours complets dans une barque en agate ( pierre précieuse ).

     

     

    La Passe de la Grande Confusion : BELMO proposa à Rose de la dispenser de cette épreuve se déroulant dans un lieu « où l’'on ne pèse plus rien, où l’'on peut même marcher sur les murs et au plafond »….

     

     

    La Grande Porte : celle-ci ne pouvant être franchie qu’'au terme des épreuves précédentes. On ne saura rien de la Salle de la Grande Tradition, suite au refus de Rose de passer l’'épreuve de la Barque.

     

     

    BELMO évoqua aussi la Bibliothèque des Sages : il fit allusion aux livres sacrés de THOT ( le Dieu scribe égyptien ) et à l’étoile SIRIUS. BELMO fit aussi découvrir à Rose les différents plans, initialement conçus, du Sphinx à 2 têtes. Celles-ci, dont l’'une était plus haute que l’'autre, se tournaient en quelque sorte le dos. Le 2ème plan montrait le Sphinx tel que nous le connaissons aujourd’'hui, mais intact et avec les pattes de devant bien plus courtes que celles que l'’on peut voir « sur les cartes postales représentant l’énigmatique monument ».

     

    Rose fut informée que lors de la construction du Sphinx un morceau de rocher éclata, le privant ainsi de l’'une de ses têtes. Le secret du Sphinx est : le corps est animal, la tête est esprit. Le 3ème plan représentait le Sphinx à-demi immergé. Sur le poitrail sortant de l’'eau, il y avait le nombre 666. On voyait, sur la tête, plusieurs piques ou pointes. Rose fut informée que ces pointes représentaient les « bannières enroulées » de 10 nations. Cela signifie que lorsque ces bannières seront réunies, la « Fin des Temps » sera proche. Le nombre 666 représente une « entrave, une opposition à l’'évolution naturelle », une immense catastrophe pour le genre humain. Quant au nez abîmé du Sphinx, Rose fut informée que ce n'’était pas un soldat qui avait fait cela mais l’'ancre d’'un énorme navire. A cette époque-là, en effet, le Sphinx était sous l'’eau. Le compagnon de Rose dévoila à celle-ci que le Sphinx fut édifié sous le règne du 1er roi  égyptien : « RAAI », ce dernier ayant vécu il y a près de… 40.000ans !

     

    *** LES SECRETS DE GIZEH ***

     

     

     On notera que la date de 40.000 ans, si elle est conforme avec l'’idée d'’une bien plus grande ancienneté du Sphinx que celle admise par les milieux officiels, n'’en est pas moins conforme à celle donnée par le clairvoyant américain Edgar Cayce. En ce qui concerne la Grande Pyramide, celui-ci avait donné, ainsi que le rappelle Joël Baran, la date suivante de construction : 10.490 à 10.390 avant notre ère. Ce qui n'’a évidemment rien à voir avec la date donnée par les égyptologues ( et matraquée dans les médias et ouvrages scolaires ) : pendant la 4ème Dynastie ( 2600-2500 av. J.-C. ). Quant au Sphinx, il a été construit, selon les archéologues/égyptologues, par Khephren vers 2500 avant notre ère. Néanmoins, qu'’il s'’agisse du Sphinx ou de la Grande Pyramide, diverses contributions de chercheurs font état de datations beaucoup plus conformes à celles données par les sources paranormales. Notons que selon Edgar Cayce, la figure du Sphinx représente le portrait d’'Asriario, conseiller du roi ( et non, comme le pensent certains égyptologues, le visage de Khephren, voire celui de Kheops ). Cela- et d’'autres choses- pourra être découvert, déclara Cayce, « à la base de la patte avant gauche ». Toujours selon lui, Ax-Ten-Tna, 1er conservateur des archives atlantes, mit celles-ci dans des salles qui sont à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide des Archives – ( non exhumée ). Il précisa aussi que la Grande Pyramide fut construite, disait Cayce, par « l’usage de ces forces de la Nature qui permettent au fer de flotter ». On déplaçait ainsi les pierres à travers l’'espace aérien. Les Atlantes apportèrent leur aide à la construction de la pyramide, et l’'Atlante Hept-Supht fut l’'un des responsables de cette construction…

     

    *** LES GEANTS DU PASSE… ***

     

     

     On trouve dans certaines sources paranormales, ainsi que dans plusieurs mythes et légendes ; la référence à l'’existence de géants dans le passé de la Terre. On mentionne même le fait dans la Genèse. Et qui ne connaît pas les légendes relatives aux Titans et autres Cyclopes ? Voici, parmi d’'autres, une source canalisée faisant état de l’'existence, dans le passé de la Terre, d’'humains de haute stature : Aurelia Louise Jones, qui canalise des Lémuriens de Telos ( cité souterraine sous le mont Shasta en Californie ), écrit qu’'à l’'origine les humains mesuraient environ 4 mètres. Au moment de l’'anéantissement de la Lémurie, ses habitants mesuraient 2,50 mètres. Puis la taille des habitants de la planète diminua encore….

     

    L'incroyable rencontre de Rose C. !

     

     

    Pour compléter votre information, à lire également :

     

     Jean Sendy : « La Lune clé de la Bible » paru chez Julliard en 1968

    Rose C. : « Rencontre avec les extra-terrestres » paru aux Editions du Rocher 

     

    Source : article de la revue-  Le monde de l’'inconnu N° 323-  NOV/DEC 2006

     


     

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  • Dictionnaire élémentaire de l'Islam

    par Tahar Gaïd

    L'Islam admet l'existence des djinns, esprits invisibles, qui, comme les hommes, ont été créés pour adorer Dieu : " Je n'ai créé les Djinns et les .hommes que pour qu'ils m'adorent " (S. LI, 56). Ils ont été créés " de feu clair " : " Quant aux Djinns, nous les avons créés, auparavant, du feu de la fournaise ardente " (S. XV, 27). " Il crée les Djinns d'un feu pur " (S. LV, 15). Ils ont des yeux, des oreilles et un coeur ; il est écrit à propos de ceux d'entre eux qui sont maléfiques : " Ils ont des coeurs avec lesquels ils ne comprennent rien ; ils ont des yeux avec lesquels ils ne voient pas, ils ont des oreilles avec lesquelles ils n'entendent pas ", étant réfractaires à la Parole divine comme les infidèles. Il existe des djinns mâles et des djinns femelles qui procréent par conséquent : " Là, ils rencontreront celles dont les regards sont chastes et que ni homme ni djinn n'a jamais touchées avant eux " (S. LV, 56). Il y a de bons et de mauvais djinns. Au même titre que les hommes, ils périront tous et seront ressuscités, ensuite rassemblés au Jour du Jugement dernier.

    Quant à l'armée d'Iblîs, elle sera précipitée dans le Feu : " O assemblées des djinns et des hommes ! Des prophètes choisis parmi vous ne sont-ils pas venus à vous, en vous exposant mes Signes, en vous avertissant de la Rencontre de votre Jour que voici ? " (S. Vl, 130). " Je remplirai certainement la Géhenne de Djinns et d'hommes réunis " (S. Xl, 119) D'autres djinns sont au contraire soumis à Dieu. Il y a parmi eux des prédicateurs. Ils iront au paradis comme ceux qui écoutèrent la récitation du Coran faite par le Prophète à son retour de Ta'ïf où il alla prêcher vainement la bonne parole aux habitants de cette oasis et demander par la même occasion leur aide : " Lorsque nous avons amené devant toi une troupe de Djinns pour qu'ils écoutent le Coran et qu'ils furent présentés, ils dirent : " Écoutez en silence ! " et, quand ce fut terminé, ils retournèrent en avertisseurs auprès de leur peuple " (S. XLVI, 29). Les djinns ont en effet leur propre communauté. Ils peuplent les lieux où il y a de l'eau, des endroits inhabités, des maisons en ruines et tout autre endroit désert. La croyance populaire leur attribue une corporalité ; ils peuvent se présenter sous forme d'animaux ou d'êtres humains.

    Des djinns exercent sournoisement leur rôle néfaste auprès des hommes comme ils l'avaient exercé également auprès des prophètes. Ils forgeaient des mensonges qu'ils susurraient aux envoyés de Dieu en les enveloppant d'un joli langage : " Nous avons suscité, à chaque prophète, un ennemi : des hommes démoniaques et des Djinns qui se suggèrent les uns aux autres le clinquant des paroles trompeuses " (S. VI, 112). Les païens adoraient les djinns et les associaient à Dieu leur Créateur. Ils voyaient en eux des fils ou des filles du Seigneur : " Ils ont attribué à Dieu les Djinns comme associés, mais c'est lui qui a créé les Djinns. Ils ont imaginé, dans leur ignorance, que Dieu a des fils et des filles. Gloire à lui ! Il est très élevé au-dessus de ce qu'ils imaginent " (S. VI, 100). Selon leur croyance, Satan était le frère de Dieu et les anges des enfantsnés de démons femelles unies au Seigneur : " Ils établissent une parenté entre lui et les Djinns, mais les Djinns savent qu'ils seront réprouvés " (S. XXXVII, 158). Les rationalistes musulmans nient l'existence réelle des djinns. Les Mu'tazilites et à leur suite le philosophe et médecin Ibn Sinâ, l'historien et sociologue Ibn Khaldoun, entre autres, y voyaient plutôt des allégories. D'aucuns considèrent que les djinns sont une allusion à l'existence des microbes.

    De telles idées ne sont pas partagées par la majorité de l'opinion musulmane laquelle pour se soustraire aux influences maléfiques de ces démons, préconise de chercher refuge auprès de Dieu en récitant les deux courtes sourates suivantes : " Dis : Je cherche la protection du Seigneur de l'aube contre le mal qu'il a créé ; contre le mal de l'obscurité lorsqu'elle s'étend ; contre le mal de celles qui soufflent sur les noeuds ; contre le mal de l'envieux, lorsqu'il porte envie " (S. CXIII). " Dis : Je cherche la protection du Seigneur des hommes, Roi des hommes, Dieu des hommes, contre le mal du tentateur qui se dérobe furtivement ; contre celui qui souffle le mal dans le coeur des hommes, qu'il soit au nombre des djinns ou des hommes ", (S. CXIV). La croyance aux djinns n'est pas l'apanage de l'Islam. Les peuples anciens, perses, babyloniens, etc. croyaient à ces puissances naturelles. Le christianisme et le judaïsme n'ignorent pas ces phénomènes et beaucoup de leurs adeptes ne manquent pas de conjurer le mauvais sort par des incantations et la confection de talismans. Les Zoraïstes disaient que les démons avaient été créés par celui qui, d'après eux, personnifiait le mal, à savoir Ahriman.

    La religion chinoise admet que le monde est habité par des bons et des mauvais esprits. Les Hindous croient aux puissances mystérieuses détenues à la fois par des dieux et des démons. La croyance aux djinns et les superstitions qui s'y rattachent se vérifient de nos jours dans les milieux intellectuellement avancés. Les esprits cultivés n'ont fait que donner aux djinns d'autres appellations telles que génie ou esprit invisible. " La seule différence, dit Cheikh Hamza Boubekeur, entre la croyance ancienne et la croyance moderne aux démons à travers les civilisations, c'est qu'elle est devenue plus discrète, plus libre, plus aimable, plus individuelle, alors que naguère elle était au centre de la vie religieuse des communautés religieuses. "

     

    http://www.archipress.org/batin/gaid/djinn.htm

     

    Ici des photos de faux " djinns "...


     

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  • Une créature étrange retrouvée...

    Cette créature a été trouvée par des soldats russes sur le rivage près Sakhaline. La région de Sakhaline se trouve à environ 5000 miles à l'est de Moscou. Selon les experts, d'après les os et les dents que l'on distingue, ce n'est pas un poisson et d'après son squelette, ce n'est ni un crocodile ni  un alligator. Il a une peau avec ce qui ressemble à des cheveux ou de la fourrure. La créature aurait été emmenée par des services spéciaux russes pour des études appronfondies...D'après les premiers commentaires sur le forum, cette découverte étrange se situe aux alentours du 28 août 2006. Vous pouvez toujours traduire la page ci-dessous sur http://www.google.fr  puis outils linguistiques ;o)

    Ici les infos et plein de photos de la créature !

     


     

    Info de décembre 2014 vu sur le site Planet.fr :

    Lorsque des marins russes découvrent en 2006 ce squelette sur les rivages de l’île de Sakhaline, dans l’extrême est sibérien, ils s’imaginent qu’ils ont affaire à un ancien "monstre" des mers. Mesurant près de sept mètres de long et possédant des poils et des dents pointues, la carcasse de l’animal avait laissé perplexe plus d’un spécialiste, relate le journal britannique Daily Mail (article en Anglais).
    L’armée russe avait emmené les restes du mystérieux animal pour pouvoir les étudier de plus prêt. Les premiers tests ont été peu concluants, suggérant qu’il ne s’agissait ni d’un poisson, ni d’un requin, ni d’un alligator mais peut-être bien d’un animal marin préhistorique comme le plésiosaure. En réalité, il n’en est rien. Des experts marins à qui on a montré les photos, des os notamment, ont pu facilement désigner la carcasse comme étant celle d'un béluga, aussi appelée "baleine blanche". Un béluga mesure en moyenne six mètres et peu peser jusqu’à deux tonnes, précise le Daily Mail. Selon ces experts, l’animal retrouvé sur l’île de Sakhaline aurait été un peu plus imposant de son vivant.
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