• Des nuages bizarres, étranges, des chemtrails aussi  (trainées laissées par des avions...), des nuages lenticulaires ( ressemblant a un ovni ) etc...
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  • Les avis comptent à la taverne, chacun juge et réagit suivant ses propres convictions, ses propres croyances, bref, je tenais à mettre en ligne cet e-mail reçu hier, j'ai signaler après midi à la personne que je mettrais son avis car il me semble intéressant aussi d'avoir le vôtre concernant la taverne et les divers thèmes abordés. Voilà, merci et bon week-end à toutes et à tous !

    envoyé par Mr AnOnYmE le 25/01/2007

    salut je viens de visiter votre site sur tous ce qui touche le paranormal et toutes autres absurditées de se genre. etant athé et tres cartesien comme on dit je ne crois donc nullement a toutes ces balivernes la surtout les communications avec les morts que se soit a l ecrit (ecriture automatique) ou bien sur un support visuel comme la tele. Maintenant ma position est que je trouve dommage de faire croire a des gens qui ont perdu une personne chere a leur yeux et qui sont dans le deuil d avancer des choses pareils meme si c est sois disant prouver (et encore j en doute) que c est possible de rentrer en communication avec des defunts c est donné de faux espoirs. Maintenant je tiens quand meme a vous feliciter pour votre site car c est vrai qu il est tres bien fait avec differents themes sur le paranormal pour les amateurs de ce genre de chose c est le paradis (sans jouer avec les mots).
    amicalement

    et ma réponse suite à l'e-mail :

    Merci de votre franchise à cet égard, concernant les phénomènes paranormaux. Il est vrai que pour beaucoup de gens cela reste du domaine de la supercherie ou autres...Mais je me rend compte que dans mon entourage, des amis, des nouveaux visiteurs ont vécus des expériences pour le moins étranges. Même si 90 % des cas peuvent et trouvent une explication rationnelle, moi je me heurte aux 10% restant et ça, personne n'en trouve la moindre explication ! Chacun est son seul juge arbitre et pense comme bon lui semble. J'aurais bien aimé que vous laissiez votre avis dans une rubrique y afférant, je ne l'aurais pas enlevé par la suite votre commentaire. Ceci dit j'ai bien envie de le mettre dans un article, rassurez vous je ne citerais personne en l'occurence, mais je veux que les gens réagissent à votre avis, celà me semble intéressant de le savoir ! Merci encore de votre visite et n'hésitez pas à intervenir sur le blog, notamment en signant, voir en laissant un commentaire. 
    A bientôt  Tyron29

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  • Ces " ronds de lumières " ou orbs qui apparaissent sur nos photos numériques, jusque-là invisibles a nos yeux !
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    ORB01

     

    Les ORBS : de mystérieux « cercles de lumières »…

     

    De par le monde il existe de bien étranges apparitions. Avec l’arrivée du numérique, concernant les appareils photos, nous pouvons désormais apercevoir sur des photos, des phénomènes lumineux qui semblent résister à toute explication scientifiques. Mis à part le phénomène OVNI, connu et déjà étudié, il existe d’autres sortes de « lumières dans la nuit » qui se manifestent à des endroits divers.

     

     

     

    Un Orbe est une forme ronde, sphérique, d’une taille plus ou moins grande qui apparaît sur les photos généralement prises avec un appareil photo numérique dans des circonstances qui restent encore difficiles à définir. Pour différents spécialistes, ce curieux phénomènes pourrait être dû à un reflet de lumière dans l’objectif, causé par un objet de petite taille qui brille au déclenchement du flash. Ces images sont obtenues essentiellement au flash par un procédé photographique, car elles ne sont pas visibles à l’œil nu. Les endroits où on les capte sont parfois particuliers : des lieux hantés- intérieurs ou extérieurs- et la plupart du temps n’importe ou, c’est-à-dire lors d’un événement quelconque, anniversaire, sortie, etc. Avant, pas mal de ces images venaient de l’étranger : Espagne, Italie, Amérique. Elles ont été baptisées du nom de « Orbs » ou « Critters ». Voici maintenant qu’en France, depuis quelques années, ce phénomène débarque avec la révolution de l’appareil photo numérique qui offre une qualité d’image jamais inégalé auparavant, sauf dans les appareils argentiques à but professionnels. Les cellules CDD équipant les appareils numériques sont plus sensibles  à certaines longueurs d’ondes que les appareils photos classiques.

     

     

    ORB02

     

    De part leurs formes rondes et leurs couleurs, nous pouvons éliminer les vapeurs, fumées ( notamment celle de cigarette ) ou brouillards montant du sol. Leur manifestation vient de toutes les directions, d’en haut ou de côté et très près de l’appareil parfois, ce qui occasionne souvent une mise au point floue de l’appareil photo en mode « réglage automatique ». Plusieurs analyses n’obéissent pas aux lois connues de la physique. Il  semble y avoir modelage d’une substance matérielle instable. Cela rend l’observation malheureusement aléatoire et furtive, mais néanmoins suffisante pour obtenir des photos incontestables.

     

     

    ORB03

     

    Ces manifestations paraissent donc intelligentes et font penser à une manipulation de plasma, influencé malgré tout par un environnement ambiant qui les déforme. A mon avis, nous rejoignons ici ce qui se passe dans le tube cathodique des téléviseurs au cours des expériences de transvidéo ( voir article dans le coin de l’au-delà ).

     

    *** D’où viennent-elles ? ***

     

     

    ORB04 

     

     

    Des spécialistes, à travers le monde, ont émis diverses hypothèses pour expliquer leur provenance. S’agit-il d’entités issues d’une autre planète ou d’une autre dimension ? Beaucoup d’observateurs pensent qu’il s’agit de sondes extraterrestres. Voici par exemple l’avis de Luciano Boccone habitant à Gènes ( Italie ) :

     

    « Nous possédons une preuve documentaire irréfutable sur la présence de ces « plasmatiques » ou « idéoplasmes » à basse altitude, au-dessus des montagnes, de la mer, proches de nous-mêmes sur terre et même à l’intérieur de nos maisons. Ces organismes éthériques vivent avec nous en n’étant jamais détectables depuis la nuit des temps… »

     

    On pense également qu’il s’agit de créatures multi-dimensionnelles se servant de conditions exceptionnelles pour se manifester dans certains endroits. Pour ma part, je pense que nous sommes devant une tentative de communication d’un monde parallèle, peut-être l’Au-delà, comme c’est le cas avec les phénomènes de transcommunications ( TCI ).

     

    Certaines photos représentent des sphères orangées, d’où le mot « Orbs » en anglais ; aussi de multitudes de petites boules gris argenté, en passant par toutes les autres couleurs, et lorsque l’on fait un fort agrandissement de ces « ronds de lumières », on découvre à l’intérieur des dessins et des graphiques très particuliers ; il y a aussi des visages humains qui apparaissent dans certaines, mais pas tout le temps.

     

    *** Comment les photographier ? ***

     

     

     

     ORB05

     

     

    Dès que le phénomène se manifeste, toutes les techniques sont bonnes, avec quelques nuances à respecter. A/ Les conditions de prise de vue au flash nous démontrent une matière très réactive aux lumières froides et aux ultraviolets. B/ La nuit leur permet de mieux ressortir que le jour. C/ Le film couleur diapositive est bon pour la subtilité des rendus. Plus pratique et économique, la photo couleur numérique semble idéale à tous points de vue, mais le noir et blanc classique reste valable. Si vous avez la chance de trouver un lieu où se produisent ces phénomènes, il serait souhaitable d’opérer avec plusieurs appareils aux réglages manuels ou de réaliser un film vidéo avec éclairage stroboscopique.

     

     

    *** Conclusion ***

     

     

     ORB06

     

    Nous voilà une fois de plus face à un phénomène paranormal, totalement incroyable pour la majorité d’entre nous. Alors que pour d’autres, ce ne sont que de vulgaires poussières dans l’air, visibles à cause du mouvement ambiant lors de la prise de la photo. Le débat est lancé et l’avis de tous est important. Pourtant ce phénomène est peu étudié, personne n’en parle quasiment jamais. Mais ces manifestations prennent de l’ampleur et ceux sur tout les continents. Nous pouvons donc garder l’espoir d’une meilleure connaissance de ces mondes parallèles dans un avenir proche. Alors si vous posséder un appareil numérique, regardez attentivement les photos faites. Peut-être avez-vous, sans le savoir, capté quelque chose d’étrange… Passé voir la rubrique « Vos photos ici », j’explique certaines choses à savoir concernant ce genre de clichés, certains ont regardés leurs photos avec un regard différent suite a leurs passages sur la rubrique et ont remarqués certaines anomalies. Ils m’en ont envoyés certaines qui y figurent d’ailleurs !

     

    * 

     

     

    LES RONDS DE LUMIERE SUR LES PHOTOS NUMERIQUES.

     

     

    info envoyé par Jorge sur les ORBS ( rajouter le 27/02/2007 )

     

    De nombreux sites  Internet sont, soit entièrement consacrés aux orbs (ces fameux ronds de lumière qui apparaissent sur les photos numériques), soit les évoquent parmi d’autres rubriques traitant de phénomènes optiques, du paranormal, des esprits ou autres interprétations parapsychologiques plus ou moins échevelées. Il suffit d’effectuer une recherche à partir de quelques mots clés, comme orbes, orbs spirits ou white dot ghosts pour voir alors s’afficher des centaines de pages ou de sites qui leur sont consacrés. Si les photos sont intéressantes, les films, manifestement, sont plus étranges encore. Il est vrai que l’immense majorité de ces pages ou de ces sites sont en anglais ou en espagnol. (assez peu de sites sérieux et bien documentés en français). Certains blogs sont simplistes, d’autres plus mystiques, mais ce qui étonne, de prime abord, c’est le jugement préalable à l’égard du phénomène. Globalement, les internautes sont a priori pour ou contre une explication optique, pour ou contre une explication métaphysique. Et il est vrai aussi que le rationalisme peut inciter à considérer, avant toute chose, que tout ce que l’on  ne sait pas expliquer résulte nécessairement d’une supercherie ou d’une manipulation des documents visuels (photos et films). C’est une forme de croyance qu’il ne faut pas négliger car elle pollue largement le débat, même non scientifique, en enfermant les protagonistes dans le domaine de la foi et non dans celui de l’observation et du raisonnement serein. Les sceptiques ne doutent pas uniquement  de la matérialité des observations, ils doutent également de la bonne foi de leurs interlocuteurs qui chercheraient nécessairement à les duper. C’est pourquoi, sans verser dans de hasardeuses explications spirites, que rien ne permet d’ailleurs d’étayer pour l’instant, il convient d’établir une distinction entre rationalisme et scepticisme, surtout si ce scepticisme  conduit à douter davantage  des personnes que des images et à expliquer par la manipulation toute photo présentant une anomalie inexplicable. Faute d’explication personnelle sur la question, il semble utile d’apporter quelques observations visuelles, rationnelle, déductives, et de participer ainsi au débat en montrant ce qu’il est possible d’admettre et ce qu’il est raisonnable d’écarter, tout en sachant que nous ne savons pas expliquer tout ce que nous enregistrons grâce à nos appareils numériques mais ne voyons pas à l’œil nu, ce qui contribue très certainement à passionner la controverse. N’oublions pas toutefois  que certains phénomènes imperceptibles à nos sens ont été scientifiquement prouvés et que nos organes de perception peuvent parfois nous tromper sur la matérialité des choses. Il suffit pour s’en convaincre de constater que nous n’entendons pas notre cœur battre, ni notre sang affluer dans nos artères, que nous ne percevons ni les ultrasons ni les infrasons et que nous ne voyons que le spectre chromatique utile à notre survie. Ces ronds de lumière peuvent endosser de multiples tentatives d’explication : artefacts, dysfonctionnements des appareils numériques, bidouillages volontaires, supercheries, phénomènes paranormaux… Ces hypothèses  ne sont que des tentatives et non des conclusions définitives, car en l’état actuel de nos connaissances, aucune des théories avancées ne semble totalement convaincante. Bien malin qui peut s’enorgueillir de savoir expliquer définitivement ces phénomènes, quelle que soit la détermination des rationalistes ou la conviction des spirites.

     

    1- Les tentatives d’explication

     

    Toutes les personnes confrontées à la problématique des orbs dans les photos numériques se rangent soit parmi les partisans des poussières en suspension dans l’air, (explication qui n’est, à l’évidence, pas toujours ni totalement satisfaisante) soit, mais elles sont moins nombreuses, dans le clan de celles qui militent en faveur d’expressions métaphysiques. Les explications avancées ici ou là obéissent aux postulats émis avant tout examen de quelque cliché que ce soit par des partisans d’une thèse rationaliste ou d’un interprétation spirite. L’examen de l’image est souvent sommaire et c’est essentiellement le raisonnement qui vient affirmer, avec plus ou moins de connaissances techniques à l’appui, le choix d’une cause physique, optique, ou d’une affirmation métaphysique. Certains opèrent même une distinction entre les artefacts (poussières, pollens en suspension) et les orbes spirites, en se fondant sur la couleur, la texture, la luminosité de la circonférence : il y aurait en quelque sorte les faux et les vrais orbs ! Ce mode de pensée basique et binaire, tendant, soit à imposer une explication mécanique, soit à croire en une hypothèse métaphysique paraît un peu primaire. Pourquoi ne pas reconnaître tout simplement notre méconnaissance de l’origine et de l’explication du phénomène ?

     

    2- Les artefacts.

     

    Il est évident que la dispersion volontaire de particules poussiéreuses dans l’atmosphère avant la prise des clichés favorise la captation d’orbs, l’expérience a été cent fois démontrée, avec de la farine ou grâce au contenu d’un sac d’aspirateur, mais elle ne constitue en aucun cas la preuve que toutes les photos qui en montrent l’existence ne sont que la conséquence de poussières en suspension dans l’air : il s’agit d’un raisonnement par l’absurde identique à celui qui prévalait au début du vingtième siècle en matière d’érection matinale. Rappelons, pour mémoire, que les scientifiques étaient à l’époque convaincus que l’érection matinale était provoquée par l’accumulation d’urine dans la vessie.

    Après tout, pourquoi pas ? Pour conforter leur thèse, ils ont injecté de l’eau dans la vessie de cobayes volontaires après leur première miction matinale mais le phénomène ne s’est pas reproduit. (in : le Singe nu) Tout homme sait d’ailleurs bien (et de nombreuses femmes en sont convaincues……) que l’érection résulte d’autres stimulations que le simple besoin d’uriner et que la vessie pleine ne provoque pas l’érection mais l’envie d’uriner, nuance ! Et ce n’est pas parce que ces deux phénomènes coexistent au réveil qu’il existe un lien de causalité entre eux. La dispersion de poussières relève du même raisonnement que cette stupide injection d’eau dans la vessie, qui ne dût pas être très agréable, au demeurant : ce n’est pas parce que l’on peut artificiellement créer une situation analogue que le phénomène naturel s’en trouve nécessairement expliqué. Donc ce n’est pas parce que la dispersion de poussière, de farine ou de vapeur d’eau dans l’atmosphère permet de photographier un phénomène analogue que toutes les photos s’expliquent par des particules en suspension. Ceci dit, certaines photos présentant un grand nombre de poussières en suspension dans l’air nocturne sont incontestablement le résultat du fait décrit : passage d’un véhicule sur un chemin de terre, soirée dansante où l’air et la poussière au sol sont abondamment déplacés, photos de nuit sous la pluie ou sous la neige… La théorie expliquant l’image par une particule de poussière, une moisissure ou une gouttelette à proximité immédiate de l’objectif et en suspension dans l’air résiste difficilement à l’analyse lorsque l’image est claire et que la circonférence photographiée l’est également.

     

    Comment le fond et le premier plan peuvent ils être nets ?

     

    Que dire par ailleurs de ces circonférences lumineuses photographiées par plusieurs personnes, dans des lieux différents, diversement colorées, ou dont la base est aplatie ? L’explication d’insectes nocturnes volant à proximité de la source de lumière, y compris dans des pièces fermées, ne semble guère plus sérieuse, d’autant que l’observation des films existants montre que les points lumineux passent à proximité de la lumière mais ne tournent pas autour d’elle comme le font tous les insectes fascinés par une source lumineuse.

     

    3- Différents phénomènes.

     

    Le deuxième point qui paraît important, c’est que la nature, la fréquence et la luminosité des orbs varient très sensiblement en fonction des auteurs des photos. Certaines personnes en captent des centaines, d’autres des dizaines, et certaines n’en captent que des unités. Certains individus en photographient des bleus, des rouges ou des verts, voire multicolores, d’autres se contentent de blanc brillant ou même de blanc laiteux. Il existe des orbs luminescents et des orbs monochromes. Curieusement, certaines personnes ne photographient jamais d’orbs, même en utilisant les appareils ayant permis d’en capter. Ceci laisse à penser que la personnalité des individus n’est pas totalement étrangère au phénomène. D’ailleurs, la méditation, les conférences ou discussions les concernant, et d’une manière plus générale la recherche de ce type de manifestation semblent favoriser leur émergence, comme s’il suffisait qu’on leur accorde quelque intérêt pour que leur occurrence augmente… S’il est certain que la photographie numérique a permis des avancées notables sur le plan de la vitesse d’intervention et sur le coût du développement, il n’en demeure pas moins vrai que la saisie des orbs ne date pas du numérique et que bon nombre de photographies argentiques peuvent témoigner de saisies bizarres et assez anciennes. A défaut  d’avis a priori,  considérons que les images sont intéressantes. La photographie n’est pas un art anodin : saisir en une seule image le réel, l’instantané, l’immédiat, l’inattendu, le vrai, le faux semblant et le véritable, nécessite de véritables qualités. Savoir, en plus, capturer les instants qui relèvent de l’infini dénote de la chance et de l’adresse. Un autre artefact souvent invoqué tient à l’humidité qui serait contenue par les appareils numériques et qui se manifesterait par des gouttelettes  à l’intérieur même de l’appareil au moment de son déclenchement. Pourquoi pas ? Il est surprenant, malgré tout, que dans une même série de photos l’appareil puisse être tantôt sec et tantôt humide, ou que les mêmes configurations inexpliquées soient enregistrées par trois appareils différents sur le même site. Le métier d’enseignant m’a appris à tout entendre, y compris que Coluche aurait été assassiné sur ordre de la classe politique ne lui ayant pas pardonné sa candidature à l’élection présidentielle. (si, si !) On ne peut rien contre la rumeur, et celle des appareils humides par intermittence en vaut bien d’autres, elles sont de toutes manières indémontrables mais permettent de jeter le doute dans l’esprit des gens.

     

    4- Les films.

     

    Le quatrième point qu’il semble important de noter, c’est que plusieurs films, également accessibles sur Internet, apportent incontestablement des informations intéressantes. D’abord parce que la problématique du flash, qui serait supposé provoquer une brutale réflexion de lumière sur une particule en suspension dans l’air et proche de l’objectif ne tient plus, les caméras numériques pouvant filmer des scènes faiblement éclairées sans apport de lumière supplémentaire. Ensuite parce que la trajectoire des orbs, et leur vitesse, peuvent être plus aisément appréciées, ce qui aide à comprendre pourquoi deux photos successives du même lieu donnent des résultats sensiblement différents : la vitesse de déplacement des orbs est supérieure au temps de déclenchement entre deux photos. Enfin, et c’est à mon avis l’élément le plus curieux, les trajectoires ne correspondent pas à ce que nous savons du vol des insectes, les changements de cap peuvent être rapides, les apparitions et disparitions soudaines pouvant d’ailleurs être mises en relation avec des variations de leur vitesse de déplacement. Au lieu  de nier, il vaudrait mieux chercher. Il n’est pas acceptable que les beaux esprits qui tirent des conclusions hâtives prônant des explications matérialistes ne fassent pas l’effort d’aller voir ces films et se cantonnent à un systématique rejet de toute question troublante, n’hésitant pas, le cas échéant, à mettre en doute la bonne foi et l’honnêteté de ceux qui cherchent simplement à comprendre. (On a même dit qu’un doigt sur l’objectif suffisait à créer une sphère orangée…) Je tiens à la disposition des sceptiques l’adresse de ces sites instructifs. L’inobservable à l’œil nu constitue un supplément inestimable et l’avancée troublante  que permet le numérique, c’est de passer directement à la dimension inexpliquée.

    L’orb, comme d’autres phénomènes inexpliqués (les air-rods) constitue un mystère, nul ne peut le nier. L’intensité lumineuse interroge, et le gris pâle ne se confond pas avec le blanc brillant…. Le grain de poussière ne remplace pas la lumière. Conclure hâtivement que la particule de poussière en suspension dans l’air explique tout ce que l’œil humain ne sait pas saisir  paraît sommaire : il y a certes, des particules de poussière, de pollen, d’humidité dans l’air, qui pourrait prétendre le contraire, mais comment expliquer les visages qui se lisent dans un certain nombre d’entre eux ? Par une simple vue de l’esprit ? Par une tendance humaine et naturelle à donner un sens au fruit du hasard ?

     

    Allons donc ... Le sage montre la lune et l’imbécile regarde le doigt…

     

    Par ailleurs, il faut distinguer les photos prises avec déclenchement du flash des photos prises sans flash. Dans le premier cas, il est probable que des phénomènes optiques encore mal connus biaisent les résultats et que l’intensité de la lumière déployée crée des artefacts par simple réfraction de la lumière sur des particules en suspension dans l’air. C’est un fait acquis. Pour les photos prises en plein jour et sans flash, les orbs sont beaucoup moins nombreux mais existent incontestablement.

    *

    Voici quelques photos d’orbs, elles sont personnelles et ne résultent pas de compositions en studio : le bidouillage ne m’intéresse pas, j’ai autre chose à faire, les autres ont été  trouvées sur différents sites qui y consacrent leur témoignage visuel et leurs réflexions plus ou moins scientifiques. J’utilise un robuste HP photosmart 720 dont je suis très content pour sa simplicité et son authenticité. Honnêtement, j’ai quelque peine à croire qu’il soit responsable des images capturées, compte tenu des centaines de photos qu’il a produites et qui ne comportent aucune anomalie. En effet, les vingt images présentant ce phénomène sont extraites de plus de cinq cents clichés. Accuser l’appareil de dysfonctionnement semble un peu court. Certaines photos sont tronquées pour respecter l’anonymat de personnes privées, notamment mineures. Je veux bien entendre toutes les explications que l’on veut mais il faut savoir raison garder. Et savoir que l’on ne sait pas n‘est pas déshonorant, c’est faire avancer la recherche que de reconnaître que nos connaissances sont limitées. Il peut tout à fait ne s’agir que d’un simple phénomène optique (réflexion de la lumière, interférences, ou autres…), il peut également s’agir d’une ouverture sur des  dimensions différentes ou des mondes inconnus. Sachons rester ouverts et en quête de connaissance, car le rationalisme systématique, surtout quand il est obtus, ne paie pas. Et le procès d’intention affirmant que les photos sont truquées ou que l’on prend des particules de poussière pour des fantômes ne fait guère avancer notre compréhension du phénomène.

     

    - JORGE - février 2007

     


      

    *** info du 8 septembre ***

     

    Le G.E.E.S.A ( groupe européen d'études des sciences avancées ) est une association qui a pour objet l'étude et la recherche à orientation technique et scientifique sur la physique avancée dans divers domaines. Ci-dessous vous trouverez une enquête de leur part sur le phénomène des orbs.

     

    http://g.e.e.s.a.france.free.fr/orbs_1.html

     

    ORB00 



    Quelques adresses :

     

    http://perso.orange.fr/mondesinfinis/m4s1.html 

    ( site avec photos d'orbs ! )

     

    http://www.Interdimensionalphotography.com/orbs.html

    www.psychicinvestigators.net/html/orbs.html

    www.blogparanormal.com/

    www.paranormalaustralia.com/photos/photopictonk.html

    www.orbstudy.com

    www.apra.org.uk/riddle_orbs.htm

    http://en.wikipedia.org/wiki/Orb_(paranormal)

    http://blog.johnq.com/2006/10/ghostly_videos.html

     

    *

    Certaines de mes photos sont accessibles sur :

     

     

    http://www.flickr.com/photos/27198553@N00/

     

     

     Ici les photos étranges...

     

     

     

    Les ORBS débarquent en force...

      

     

    La taverne de l’étrange- 22 janvier 2007

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    Une porte des étoiles dans le triangle ?

     

    Des scientifiques supposent que les altérations sont causées par de microscopiques « wormholes » ( trous de vers ) : la base navale américaine AUTEC pourrait être une sorte d’AREA 51 de l’Atlantique, située, selon quelques spécialistes, près de l’Atlantide, le mythique continent disparu.

     

     

     
     

    Des mers d’encre sont versées au sujet du triangle des Bermudes, une aire de l’Océan Atlantique dans laquelle des centaines de navires et environ une vingtaine d’avions ont disparu mystérieusement. Un lieu où en plus d’une quantité d’apparitions d’ovnis vraiment supérieure à la moyenne, des déviations des champs magnétiques se produisent et où se forme de manière soudaine un épais brouillard. Un nombre important d’hypothèses a accompagné ces rapports, parmi les plus controversées, on trouve la théorie selon laquelle l’archipel des Bahamas se serait formé à la cime des monts du continent perdu de l’Atlantide qui a sombré dans cette zone il y a des millénaires.

     

     

     Michael Preisinger, chercheur, titulaire d’un doctorat en histoire et en sociologie à l’Université de Cologne, fut chargé en 1995 par l’entreprise pour laquelle il travaillait en qualité d’instructeur subaquatique à Nassau d’avoir un moyen de récolter divers témoignages des propriétaires des embarcations sorties de leur route par les anomalies des boussoles à bord alors qu’ils naviguaient au large des Bermudes. Les compte-rendus firent prendre à Preisinger la décision de s’engager à fond sur le sujet et de changer le cours de sa vie faisant de lui un des plus grands experts du phénomène. Des missions subaquatiques ont ainsi été programmées, en collaboration avec l’américain Al Miller et le jamaïcain Joel Green, dans 7 zones de l’Atlantique : Fish Hotel, Lyford Cay et White Hole, près de Nassau ; Lost Blue Hole à environ 1h de navigation de Nassau ; Dogleg Reef, à 1h de Marathon dans les Florida Keys ; le prétendu « mur de l’Atlantide » près de Bimini et Sunken Train, près de Eluthera.

     

     

    *** La chasse aux preuves ***

     

     

     

    En l’espace de quelques mois, l’équipe a plongé de une à 7 fois par semaine, plusieurs fois dans chaque localité, descendant en général à quelques dizaines de mètres. Chaque opération durait en moyenne 60/75 minutes. Ils ont obtenu des preuves évidentes des dérivations magnétiques avec des éléments très précis sur les différences rencontrées entre les valeurs normales et celles effectivement enregistrées par les boussoles dans 4 de ces zones : Fish Hotel, Lyford Cay et White Hole dans les Bahamas et Dogleg Reef au sud de la Floride. Dans les mois suivants, les données ont été transmises à divers physiciens dans le monde entier qui, à l’unanimité, s’accordèrent à attribuer les anomalies du champ magnétique terrestre à de microscopiques « wormholes » ( trous de vers ) qui apparaissaient et disparaissaient dans un temps très bref. Ils ne réussirent pas à envisager d’autres explications. Le professeur John Wheeler, de l’Université de Princeton, décrit les « wormholes » comme des « tunnels de transit » à travers divers dimensions de la réalité. Ils mesuraient seulement une giga-fraction d’un pouce carré, c’est-à-dire en chiffre, 1 précédé de 33 zéros, précédés de la virgule décimale. Il suppose que ces mini-trous noirs qui apparaissent et disparaissent continuellement dans la géométrie de l’espace, sont de minuscules particules de « matière virtuelle » qui ne peuvent exister que pendant un temps limité. Les prétendus mini-trous blancs, leur contrepartie, seraient à l’inverse composés d’anti-matière virtuelle.



    Chaque fois que ces sujets se forment, à quelque niveau que ce soit, ils s’autodétruisent immédiatement. Le professeur Wheeler, cependant, ne sait pas expliquer le motif du phénomène d’apparitions, disparition et réapparition de ces mini-trous. Le physicien docteur Werner Muller, de Karlsruhe, un autre scientifique interpellé sur ce sujet, s’exprime ainsi : « en me basant sur les chiffres que l’on m’a fourni et sur le fait que des sources naturelles n’ont pas été trouvées au fond de la mer, il ne reste rien d’autre que la théorie de la physique quantique pour expliquer le phénomène ». Pour le professeur Tsung-Min Gung, physicien de Tokyo : « si les théories sur les connexions inter dimensionnelles ne sont pas totalement fausses et si elles peuvent se développer comme je m’y attends, l’interdépendance stricte existant entre la gravité et les champs magnétiques terrestres pourrait être un moyen de déterminer cette ouverture entre diverses dimensions ». Alors que le physicien docteur Grazyna Fosar de Berlin affirme : « du point de vue de la physique, l’unique explication raisonnable au sujet de ces mystérieuses déviations des champs magnétiques est l’existence de « portes » vers l’hyperespace ».



     Ces résultats surprenants conduisirent Michael Preisinger à étudier et à approfondir, avec un intérêt toujours croissant, d’autres phénomènes caractéristiques du triangle des Bermudes. Les hypothèses selon lesquelles les déviations magnétiques seraient causées par l’existence de « stargates » ( porte des étoiles ) avaient déjà été avancées auparavant et quelques chercheurs ont liés à la présence de ces trouées dimensionnelles, l’apparition extrêmement importante d’ovnis enregistrée dans l’archipel.

     

    *** Une base navale top-secrète ***

     

     


     

    Beaucoup d’apparitions d’objets non identifiés sont survenues près de l’AUTEC, Atlantic Undersea Test and Evaluation Center ( Centre subaquatique Atlantique de Tests et d’Evaluation ), base navale américaine dans les Bahamas. Des faits qui l’associèrent à la base du Nevada connue sous le nom de l’Area 51, où le gouvernement américain semblerait avoir avancé des recherches secrètes sur les ovnis et sur la rétro-ingénierie connexe et où il aurait « accueilli », à partir de 1947, des êtres d’origine extraterrestres. L’AUTEC possède des ressources vraiment uniques, dont un polygone sous-marin pour expérimenter et étudier les armements acoustiques. Elle se trouve sur l’île de Andros à 285 km au sud est de West Palm Beach en Floride.

     

    Les installations et les laboratoires de l’île ( pour visiter il faut un permis spécial ) couvrent moins de 2 km de territoire mais, en réalité, le centre de recherche possède bien 2688 km dans la mer des Caraïbes. Cette zone de l’océan est constituée d’une baie, d’eaux abyssales de fonds escarpés, longue de 160 km et large de 32, avec 1280 mètres de fond au bord et jusqu’à 2000 mètres de fond sur le côté nord. Tout compte fait, il s’agit d’une énorme quantité d’espace sous-marin soumis, selon plusieurs sources, à des mesures de sécurité très strictes et top-secrètes.

     

    *** OVNI et « Blue Holes » ( trou bleu ) ***

     

     


     

     

    Dans les eaux autour de l’île, ont été vus plusieurs fois d’étranges appareils qui non seulement ressemblaient à des ovnis mais en avait la vitesse stupéfiante, ainsi que les caractéristiques de virage à angle aigu, impossible pour les véhicules terrestres. Un homme d’affaire viennois rapporte au professeur Preisinger que, alors qu’il naviguait sur les côtes d’Andros avec son yacht, lors d’une journée ensoleillée tranquille et claire, il a vu, à une distance d’environ 3000 mètres dans l’eau profonde de plus de 2000 mètres, une forme immobile et sombre qu’il d’abord pris pour une baleine. S’approchant à moins de 800 mètres, les étranges baigneurs dessinaient la forme d’un grand objet au design ultra-moderne. Tout-à-coup, l’engin partit vers le sud à « une vitesse folle » d’après le témoignage. Il a glissé sous la surface de la mer pour ensuite disparaître instantanément à travers les vagues sans plus réapparaître.

     

    Il circule diverses théories de nature obscure au sujet de l’AUTEC, possible base sous-marine extra-terrestre, comme il circule des discours similaires sur l’AREA 51. En voici des exemples, selon les informations récoltées par Preisinger après d’un informateur interviewé en novembre 1998 au quartier général de la NASA à Cape Kennedy en Floride. Rob Palmer, un plongeur anglais très connu et apprécié dans le milieu, qui a passé plusieurs années comme directeur d’un centre de recherche sur les « blue holes » dans les Bahamas, a disparu durant une plongée en juillet 1997 dans la mer rouge en Israël, il a été considéré comme mort. Pour Preisinger, les « blue holes », de petites cavernes sous-marines, apparemment formées de l’intérieur qui se trouvent surtout dans ces archipels, peuvent être générées par le phénomène continu d’apparitions et de disparition de microscopiques « wormholes ».

     

    Une théorie partagée par le même Palmer, convaincu de plus que les « blue holes » pourraient être des points de transit pour les ovnis qui arrivent des autres dimensions. L’informateur a dit à Preisinger que Palmer avait été tué par les officiers de l’AUTEC probablement parce qu’il en savait trop, ajoutant que les militaires auraient appliqué une tactique de suggestion post hypnotique conduisant l’anglais au suicide alors qu’il se trouvait en immersion. Sans doute de tristes suppositions mais la quantité d’histoires sur la base d’Andros laisse supposer des activités clandestines.

     

    *** L’Atlantide émerge à nouveau de l’eau ***

     

     


     

    Des théories circonstanciées circulent selon lesquelles les murs sous-marins de Bimini pourraient être des restes de la cité antique légendaire. Quelques scientifiques du British Goverment’s Building Reseach Establisment ( Fondation pour la recherche en bâtiment du gouvernement britannique ), utilisant les technologies les plus récentes, à découvert de minuscules quantités de carbone et d’or à l’intérieur de celui-ci qui semblent être des pierres travaillées par l’homme, trouvées sur les fonds de Bimini. Cherchons des traces historiques. Dans Critias, le philosophe grec Platon a décrit avec précision les dimensions du continent mythique disparu.

     

    Si on pouvait prendre l’actuel archipel des Bahamas et soulever la masse  entière de terre ferme ( de 90 mètres ), ou pour employer un autre moyen, abaisser le niveau de l’eau qui entoure l’île ( de 90 mètres )- la ramenant au niveau qu’elle avait pendant l’ère glaciaire- nous nous retrouverions devant un territoire qui correspondrait de manière impressionnante, par la forme et les dimensions à l’antique Atlantide décrite par Platon : en effet dans Critias, le philosophe rapporte que ce continent était plus grand que l’Egypte ( l’Egypte connue à ce moment là ), que le centre de l’île pas très loin de la mer, était d’une clairière entourée de reliefs bas à une distance de 9 km et que ces reliefs se trouvaient dans une large plaine entourée de hautes montagnes à une distance de 321 km.

     

    *** Le lest des confédérés ***

     

     


     

    Toutefois, au final, l’avis de Michael Preisinger au sujet du prétendu mur de Bimini, est peu original. Le chercheur en arrive à la conclusion que les pierres qui le forment et qui paraissent travaillées par l’homme, ne proviennent pas tout à fait de l’Atlantide mais ont été laissées là durant la guerre civile américaine. A cette époque, un grand nombre de navires ont forcé le bloc de l’Union pour transporter des marchandises et des ravitaillements dans les ports des Confédérés. Traqués par les navires de l’Union, ces vaisseaux se sont réfugiés dans les basses eaux des Bahamas où les gros navires de guerre ne pouvaient les suivre. Pour réussir à naviguer au-dessus des rochers qui remplissent ces eaux, ils étaient contraint de se décharger du poids excessif de façon à diminuer la calaison de l’embarcation. Le moyen le plus simple était de se libérer des blocs de granit utilisés comme lest dans les cales.

     

    Ce peut être une explication pour une grande partie des pierres de Bimini. D’autres légendes restent toujours liées aux eaux des Bahamas. Des créatures mystérieuses, semblables à des singes qui ne se laissent presque jamais voir : « les chickcharnies », des fantômes, que des chamans de la zone décrivent comme ayant des pouvoirs semi-divins et tout ce qui s’ensuit.


    Des récits populaires qui, comme toujours, laissent entrevoir des impressions difficilement attestables scientifiquement mais qui montrent comment, dans ces archipels, il y a un degré élevé d’énergie psychique ou même d’énergie « inter dimensionnelle », dit le professeur Preisinger, qui lance une proposition : « il serait intéressant de chercher vraiment à entrer dans une de ces « Stargate » si ce n’est qu’elles sont en général microscopiques et qu’elles tendent à fluctuer dans et hors de l’existence… Pourtant je voudrais suggérer qu’un ou plusieurs physiciens plongent dans quelques-unes des localités où ont été rencontrées ces anomalies magnétiques, sans doute celles près de Nassau qui sont dans une eau peu profonde proches de la rive et non loin de la capitale des Bahamas qui pourrait accueillir de belle manière la presse internationale éventuellement intéressée…

     

    Beaucoup de scientifiques jeunes, athlétiques et sportifs décidés à endosser l’équipement de sécurité et à s’aventurer au fond de l’océan doivent assurément s’exercer, pour pouvoir venir découvrir ces sensations télépathiques et ces messages, ils seraient ainsi en mesure de récolter des filtrats à l’instant où ces microscopiques « wormholes » s’ouvrent pour ensuite se refermer et s’ouvrir à nouveau. Ma proposition peut sembler bizarre, mais moi et mes collègues plongeurs serions heureux de former les chercheurs disposés à essayer et de descendre ensuite avec eux au fond de l’océan au large des Bahamas… »

     

     

     

    Source de l’article- Stargate magazine n° 5- août/septembre 2004

     

    La taverne de l’étrange- 19 janvier 2007

     

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    Mis à jour le 28 mars 2011


    Voici un documentaire "Le trou bleu des Bahamas" diffusé dans l'émission Thalassa du 25 mars 2011 (21 mn)

     

    http://www.thalassa.france3.fr/?page=archives&id=274&rep=2527



     

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