• Incroyable découverte dans le temple...

    Découverte au temple d'Angkor Wat au Cambodge par un touriste récemment. Sur un des piliers du fameux temple, le plus visité par les tours opérators, un curieux animal sculpté dans la pierre. En y regardant de plus près, on peut distinguer un Stégosaure, animal de la préhistoire, disparu depuis quelques millions d'années. Nos contemporains vivants et ayant construit ce temple, aux alentours de 1120 de notre ére, auraient-ils vus cet animal à cette époque ? Pourquoi l'ont t-ils gravés à jamais sur la facade de l'un des piliers de la porte d'entrée du temple ?

    Incroyable découverte dans le temple...

     

    Incroyable découverte dans le temple...  ankor wat

    Quoi qu'il en soit, ce qu'ils ont vus devait être tellement important qu'ils l'ont représentés pour que les générations futures puissent le voir et ainsi s'en souvenir à jamais. Encore une énigme déroutante et qui laisse perplexe. Comme quoi les mystères sont pas forcément dans l'univers mais sur notre bonne vieille terre ! Il suffit simplement de regarder de plus près...

    http://www.cryptomundo.com/cryptozoo-news/dino-cambodia/

     


     

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  • mib02

     

    Si les observations d’'ovnis  sont légions, le phénomène souffre d’'un problème majeur : l’'absence quasi générale de preuves matérielles. Pourtant, des photos sont prises, des débris sont ramassés… mais ils disparaissent, volés ou emportés par de soi-disant agents du gouvernement qui ratissent large après des contacts rapprochés. Seulement voilà, leur comportement atypique, leurs choix vestimentaires rétro, leur visage inexpressif les classent d'’emblée dans les manifestations de l’'étrange. On les a appelés les Men in Black ( M.I.B). Un film du même nom a même été tiré des différents témoignages de leur existence. Derrière le scénario hollywoodien, une réalité ne cherche-t-elle pas à se dire ?

     

    Les hommes en noir...

    Le 3 mai 1975, Carlos de los Santos Montiel est aux commandes de son avion Piper lorsqu'’il s’'aperçoit qu'’il est accompagné par deux ovnis, un de chaque côté, tandis qu’'un troisième lui fonce dessus et endommage la carlingue. Les commandes de son avion ne répondant plus, il croit sa dernière heure arrivée mais curieusement il continue à voler et se pose sans problème. Les radars de Mexico ont enregistré toute la scène et son aventure a aussitôt un grand retentissement médiatique. Il est même invité à participer à une émission de télé à laquelle il se rend en toute tranquillité. Sur le trajet des studios, deux limousines noires l’'encerclent et quatre hommes en noir descendent et s’'approchent de sa voiture : « Si tu veux rester en vie ainsi que ta famille, ne parle jamais de ton observation ! » lui dit l'’un d’eux d’'une façon si persuasive que Carlos fait demi-tour aussitôt et rentre chez lui. Quelques semaines plus tard, le célèbre Dr Allen Hynek, fondateur du CUFOS, demande à le rencontrer. Carlos accepte et là encore, alors qu’'il est en chemin, il se fait aborder par un M.I.B qui lui répète la menace précédente. L'’entrevue n’eut jamais lieu.

     

    Les hommes en noir...

     

    Le docteur Hopkins, qui s’'occupait psychologiquement d'’un jeune abducté (enlevé), D. Stephens, reçut un soir une visite étrange quelques secondes après un coup de fil lui annonçant la venue du vice-président de la New Jersey UFO Research Organization. L’'homme qui se présenta était entièrement vêtu de noir de la tête aux pieds mais ce qu'’il y avait de plus choquant, c’'était la peau de cet homme : particulièrement blanche, avec un aspect plastique et dépourvue de poils : ni cils, ni sourcils, ni barbe même fraîchement rasée. Par contre, ses lèvres d'’un rouge vif s’'effacèrent après qu'’il les eut essuyées avec le dos de la main. Le visiteur interrogea le docteur sur le cas du jeune Stephens et l’'écouta un long moment sans faire le moindre commentaire. Peu après l’'homme en noir fit disparaître une pièce de monnaie qui se trouvait dans la main du docteur et l'’informa que le cœoeur de Barney Hill ( un des plus célèbre abductés des U.S.A ) avait disparu de la sorte car « il en savait trop ».

     

    Puis l'’homme en noir ordonna de détruire toutes les bandes magnétiques concernant le cas Stephens ainsi que tout ce qui avait trait aux ovnis. Peu à peu, le rythme avec lequel l'’homme s’'exprimait ralentit. Il commenta « Mon énergie diminue », se leva et quitta l’'appartement du docteur en marchant très lentement. Celui-ci, fort impressionné par la visite qu'’il avait reçue, effaça aussitôt les bandes magnétiques en question. Le cas du docteur Hopkins n'’est pas isolé, de nombreux témoignages relatent la venue intempestive de ces hommes en noir peu après une observation d’'ovni et plus encore après la récolte d'’une preuve de leur passage.

     

    On cite même une première intervention de l'’un d’eux en mars 1880 après l’'observation du fameux « dirigeable » qui traversa le ciel du Nouveau-Mexique et laissa tomber par dessus bord quelques objets rapidement récupérés par un homme qui en offrit une somme tellement énorme que ces derniers lui furent cédés sans problème. Les homme en noir ne se contente pas de faire table rase de toute preuve, ils réduisent au silence ceux qui en savent trop. On les sait à l’'origine de la fermeture de plusieurs bureaux d’investigation sur les ovnis après que leur dirigeants a reçu leur visite. Il en fut ainsi du Flying Saucers Investigations et du Flying Saucers Bureau en 1953.

     

    Albert K. Bender, son créateur, fut visité par trois hommes en noir qui lui révélèrent la vérité sur les ovnis et firent appel à son civisme de citoyen américain pour cesser toute activité. Le dernier numéro de la revue « Space Review » qu'’il éditait sortit peu après, indiquant à ses lecteurs qu’il était interdit en haut lieu de connaître la vérité sur les ovnis. Dix ans plus tard, A. Bender publia un livre, « The flying saucer and the three men », dans lequel il racontait la fameuse visite des hommes en noir mais ses dires contredisaient tout à fait ce qu'’il avait laissé entendre à l’'époque. Mais les Men in Black ne serait pas qu’'impressionnants et désagréables, ils seraient aussi parfaitement malpolis si l’on en croit l'’aventure vécue en 1975 par un couple du Minnesota qu’à rapportée le docteur Allen Hynek.

     

    mib04

     

    Un couple roulait en direction de la ville lorsque l’'homme voulut s’'arrêter à une cabine pour passer un coup de fil. Il stoppa devant un téléphone lorsqu'’une cadillac noire lui coupa la route. Un homme en jaillit et pénétra dans la cabine le premier. Le témoin reprit sa voiture et s’'arrêta peu après devant une seconde cabine mais la même chose se reproduisit. Passablement énervé, il repartit aussitôt et s’'arrêta devant une troisième cabine, espérant que cette fois il parviendrait à donner ce coup de fil qui devenait urgent. A sa grande surprise la cadillac noire lui coupa à nouveau la route et l’'homme se jeta sur le téléphone. Le couple releva la plaque minéralogique qui s’'avéra bien sûr être fausse et prit en chasse la voiture mais bientôt celle-ci s'’éleva dans les airs et disparut !!!

     

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    Le 30 novembre 1987, à l’'aube, sur I'lkley Moor, dans l’'Ouest du Yorkshire, en Angleterre, un ancien policier, Philips Spencer, s’'apprête à prendre une photographie du village de Menston. Soudain il aperçoit une « entité entourée d'’une lumière verte » à une certaine distance devant lui. Ensuite, il ne se souvient plus de rien : il se réveille à Menston, étourdi et désorienté. Aussitôt, il fait développer sa pellicule. Sur l’'une d’'elles figure la fameuse « entité ». Désemparé, Spencer décide de s'’adresser à un ufologue. Il tombe sur l'’adresse de Jenny Randles, spécialiste dans ce domaine, à qui il écrit une lettre décrivant ce qu'’il lui est arrivé. Celle-ci le met en rapport avec un autre chercheur, Peter Hough, qui suggère à Spencer de se soumettre à une enquête approfondie. Philips Spencer accepte de collaborer, et environ six semaines plus tard, il reçoit la visite inattendue de deux hommes qui prétendent être des agents des services de renseignements de la Royal Air Force. En lui montrant, rapidement et de loin, leurs laissez-passer officiels, ils déclinent leurs noms : Jefferson et Davis. Puis ils lui expliquent que leur mission consiste à récupérer la photo que Spencer a prise à Ilkley Moor. Mais celui-ci a déjà remis la photo à Peter Hough. Mécontents, les visiteurs repartent bredouilles. Comment ces étrangers connaissaient-ils l’'existence de cette photographie ?

     

    Spencer n'’en avait parlé qu’à sa femme, à P. Hough, à J. Randles et à Arthur Tomlinson, autre ufologue enquêtant sur cette affaire. Informé de la mésaventure de Spencer, Hough contacte les services de renseignement de la Royal Air Force pour obtenir confirmation de l'’identité des visiteurs. On lui répond que personne de ce nom n’'existe et qu'’aucun membre des services en question ne s’'est rendu chez SpencerDevant ces faits troublants, Hough parvient à la conclusion que Spencer a été la victime d'’un des « sous-produits » les plus curieux du phénomène ufologie moderne : une visite des « hommes en noir ».

     

    Dans le monde entier, des ufologues recueillent d'’innombrables récits analogues, récits de visites effectuées par des Hommes en noir dont le seul but semble être d'’inciter au silence les personnes concernées. Si l’'on étudie le phénomène de plus près, on constate qu'’il existe deux types de visites d’'Hommes en noir : en effet, si ceux-ci prétendent toujours posséder une identité humaine, dans certain cas, cette identité semble au premier abord plausible- ce n’'est qu'’après vérification que l’'on s'’aperçoit que l'’identité déclinée était fausse et que ces hommes ont une connaissance inexpliquée de certaines informations. Dans l'’autre cas, au contraire, leurs apparitions foisonnent de détails invraisemblables.

     

    Par ailleurs, un certain nombre d'’ufologues sont convaincus que les gouvernements cherchent à empêcher la population de découvrir la vérité sur les ovnis. Dans cette hypothèse, les Hommes en noir feraient partie d'’une conspiration gouvernementale, fomentée par les services secrets et destinée à manipuler les témoins d'’apparitions d’ovnis et les enquêteurs. La principale faiblesse de cette théorie réside dans le fait que les vagues menaces proférées par les Hommes en noir ne sont jamais mises à exécution. En effet, ceux qui ont refusé de se conformer à leurs instructions n’'ont jamais plus été inquiétés par la suite. D'’autres personnalités cherchent une explication psychologique au phénomène des MIB.

     

    L’'ufologue Alvin Lawson note que toutes les personnes à l’'allure étrange liées aux affaires d’'ovnis semblent correspondre aux archétypes qui, selon le psychologue Carl Jung, sont enfouis dans l’'imagerie inconsciente de chacun. En effet, de nombreux récits populaires évoquent des hommes vêtus de noir qui, périodiquement, sortent de leur monde souterrain pour rendre visite aux vivants. Selon certains chercheurs, les Hommes en noir ne sont que la version contemporaine de ces figures mythologiques.

     

    Les hommes en noir... 

     

    Mais a quoi ressemblent-ils ces M.I.B ? 

     

    Grands, la peau mate « olivâtre » ou très blanche et maquillée grossièrement, le visage anguleux, leurs yeux sont noirs et leur regard hypnotique est en général caché derrière des lunettes noires. Ils se signalent surtout par leurs habitudes vestimentaires un peu rétro et leur goût pour les limousines années 60, noires évidemment. S'’ils s’'expriment dans la langue de leur interlocuteur sans faire la moindre faute, leur débit est saccadé, monocorde, les mots sont comme juxtaposés les uns aux autres, comme on attendrait d’'un ordinateur mais qui ne serait pas branché sur le secteur et aurait besoin périodiquement de se recharger (en prenant des petites pilules vertes). 

     

    Mais d’'où viennent-ils ? 

     

    Si leurs méthodes font penser à celles de la CIA et si leur présence et leurs objectifs pourraient cadrer avec ceux d’'une des agences sensibles du mille-feuille gouvernemental américain, leur côté un peu mécanique et rétro les range définitivement dans les personnages « non-identifiés », voire dans les EBE ( entité biologique extraterrestre).

     

    Même si leur existence prend sa source dans l'’imaginaire de la science-fiction et notamment dans le récit d’'Edmond Hamilton en 1932, « Space Rocket murders », et qu’elle a été popularisée par le film « M.I.B », la vitesse avec laquelle ces personnages ont envahi les écrans cinématographiques et publicitaires laisse à penser qu'’ils relèvent d’'une réalité connue seulement par l'’inconscient qui a trouvé ici, enfin, sa représentation.

     

     mib03

     

    La taverne de l’'étrange- 25 mars 2006


    Coming soon :

    Les hommes en noir...

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  •  La compagnie Shell a-t-elle découvert un OVNI ?

     

     

     shell1

     

     

    Voici un article que je trouve intéressant et que j’ai trouvé dans une revue, les faits remontent aux années 70 et a été traduit de « UFO Official d’août 1978 par l’organisme du GREPI »

     

     La plate-forme de la Shell « Pacesetter 2 », était installée sur le plateau continental, à 140 km de la côte du New Jersey, dans le « Georges Bank ». Lors du premier essai de forage, ils cognent sur quelque chose en métal. Pensant que c’est un bateau coulé ou un sous-marin de la 2ème Guerre Mondiale, ils consultent le War Departement et l’Allemagne de l’Ouest, mais aucune perte n’avait été enregistrée dans cette zone. Les sondages au sonar détectent un objet d’à peu près 15 m de diamètre, par 200 m de fond. Quatre treuils sont descendus, et l’objet est remonté à la surface. Il est couvert de coquillages et de crustacés cirripèdes. Une fois l’objet dégagé de ses parasites, une forme de « soucoupe volante » apparaît. Le responsable de la plate-forme appelle immédiatement ses supérieurs par radio à Atlantic City.

     

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    Trois officiels de la Shell arrivent en hélicoptère, accompagnés par un physicien du Massachusetts Institute of Technology. Les inspections préliminaires révèlent que l’engin a été immergé pendant environ 600 ans et contient un équipement qui « n’est pas de ce monde », et qu’on ne peut l’identifier. Un autre hélicoptère arrive avec 5 agents de la CIA, qui produisent une autorisation de la Maison-Blanche, et les informent qu’un bateau est en route pour récupérer l’appareil. La CIA essaie d’arrêter les physiciens dans leur opération de démontage de l’objet, mais un officiel de la Shell leur dit que tout ce qui se trouve sur la plate-forme est et reste propriété de Shell Oil Co, et qu’ils ne leur laisseront pas l’objet avant l’arrivée du bateau.

     

    Un assortiment de gadgets fut mis à jour, comprenant une tige qui produisait un arc électrique ressemblant à un éclair, qui causa un trou dans les nuages au-dessus d’eux, et une substance ayant l’apparence du mastic, qui fit une énorme explosion quand un petit morceau en fut jeté à l’eau. Le bateau de la CIA arriva peu après, et les agents commencèrent à emballer les étranges gadgets dans des sacs molletonnés. Ceux-ci, avec la soucoupe et les morceaux, furent transférés sur le bateau. L’homme qui rapporta ces faits retourna à Atlantic City avec les officiels de la Shell. Tous les hommes sur la plate-forme durent jurer de garder le secret, et de ne rien divulguer de ce qui était arrivé. Aucune communication ne fut jamais publiée au sujet de cet objet…

     


     

     

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  • alien_keops

     

    Un Extraterrestre aurait été découvert à Gizeh ( Egypte )

     

    L'info date de 1988, de la revue Le monde de l'inconnu N°283 d'avril 2000. Selon un article paru dans le magazine Egyptien "Rose El-Yussuf", l'égyptologue français Robert Caparat aurait découvert une salle secrète dans la grande pyramide de Khéops. Dans cette salle se trouvait, toujours selon l'article, un humanoïde dans un caisson d'apparence cristalline. A première vue il semblait en hibernation ou en état de mort apparente. L'archéologue rapporte aussi avoir trouvé un papyrus, sur lequel est décrite la rencontre en tre le pharaon Khufu et l'alien qui annonce l'arrivée un jour ou l'autre d'autres aliens de son espèce. Ce même alien aurait suggéré de construire un monument en forme de pyramide et les persuada d'en faire son tombeau. Robert Caparat aurait contacté son collègue biologiste Espagnol Francisco de Braga, l'invitant à venir sur place afin de récolter du sang, des cellules, du tissu, pour en extraire l'adn. Seulement, quand de Braga arriva au Caire, il fut retenu par les autorités égyptiennes, puis remis dans un avion à destination de Madrid. Toujours selon le magazine, le corps de l'alien serait conservé au "secret" dans un laboratoire tenu par l'intelligence militaire égyptienne.

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    Ca bouge dans les cimetières

     

     

    Les enterrés vivants...

     

    En France, 4% des « morts » serait enterrés vivants !!!

     

    Un jour de 1972, dans un cimetière de la région parisienne, des fossoyeurs perçoivent soudain des bruits sourds provenant d’'une tombe. Celle-là même où, la veille, ils ont descendu un cercueil. La police est aussitôt alertée. Pourtant, après vérification, il s’avère que le mort est bien mort. Alors ? Hallucination collective ou dernier appel désespéré d'’un enterré vivant ? Personne ne le saura jamais…Toujours est-il malgré les progrès de la science, le risque d’être enterré par erreur, alors qu'’on n'’est pas encore mort, existe. C’'est ce qu’'affirme le docteur Peron-Autret dans son livre Les Enterrés Vivants, publié aux éditions Balland. Ce risque, il l’'évalue, en France, à 4% des inhumations !

     

    Etre enterré vivant était une des grandes peurs du Moyen-Age. Du reste, les croque-morts doivent leur nom au fait qu’ils mordaient un orteil du défunt pour s’'assurer qu’il était bien mort. Et récemment encore, les notaires découvraient dans les testaments des dernières volontés pour le moins surprenantes, du style : « Je veux qu’on me brûle la plante des pieds avec une bougie » ou « j’exige qu’on me transperce la main avec une aiguille à tricoter avant de me mettre en bière »….

     

    Si, autrefois, les plus fortunés demandaient à ce qu’on installe des clochettes dans leur cercueil au cas où ils se réveilleraient, certains, aujourd'’hui, n’hésitent pas à se faire enterrer avec leur téléphone ! Pour ne plus avoir qu’à décrocher et éventuellement prévenir qu’ils sont « ressuscités » ! De nombreux G.I américains n’ont malheureusement pas eu cette chance. Enterrés vivants, personne n’a jamais entendu leurs appels. En ouvrant les cercueils pour procéder à diverses formalités lors du transport aux Etats-Unis, on a alors constaté dans de nombreux cas que le corps avait bougé. Mais il y a pire encore, certains avaient dévoré leur linceul et leurs mains ! Toutes choses qu’on a retrouvées dans leur estomac. Preuve qu'’ils ont été absorbés et digérés par un organisme encore en vie.

     

    Les enterrés vivants...

     

    Pour le docteur Peron-Autret comme pour d’autres scientifiques, il est probable également que Napoléon a été enterré vivant.

     

    Lorsque, douze ans après sa mort, on a ouvert son cercueil après l’'avoir transféré en France, son corps était dans un état de parfaite conservation. Explication ? L’empereur prenait beaucoup de bains chauds dans des baignoires de plomb, très riches en arsenic, et il buvait l’eau d’un seau, également en plomb. Il aurait donc été intoxiqué par l’arsenic et le plomb qui, comme dans le cas d’absorption massive de barbituriques, laissent les sujets dans un état de survie imperceptible et peuvent donc favoriser un diagnostic erroné de la mort. Les enterrés vivants ne sont pas là pour parler. Mais il y a ceux qui ont failli l’'être et ne doivent leur salut qu’à la vigilance, à l’obstination de quelques  personnes, mais aussi- et surtout- à la chance. Tous ont été déclarés morts par un ou plusieurs médecins. Le permis d’'inhumer a été signé. Si certains se sont réveillés à la morgue, d'’autres ont bien failli être réfrigérés ou autopsiés vivants.

     

    Les enterrés vivants...

     

    A Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, un ouvrier victime de deux accidents à trente et un ans d’intervalle a été déclaré mort dans les deux cas. Chaque fois, il est revenu à lui quelques instants avant d’être mis en bière. La première fois, le froid l’a fait éternuer. La seconde, c’est la faim qui l’a sauvé. En ouvrant les yeux, le mort-vivant a en effet réclamé à manger. En 1988, la revue Ici Paris avait rencontré Michel Delepine, le « mort-vivant de Mons », en Belgique.

    « Je ne me souviens de rien, nous avait-il confié, allongé sur son lit d’hôpital. C’est comme si j’étais tombé d’un arbre… » Ce coiffeur de 33 ans revenait de loin. Condamné trois fois « à mort » par les médecins qui voulaient l’'enterrer, il avait été sauvé par la vigilance, l’expérience et l’obstination du croque-mort de son village, persuadé qu’il y avait encore en lui un souffle de vie. A l’hôpital, on n’avait pu que constater le décès du malheureux.

     

    L’'électrocardiogramme et l’'électroencéphalogramme étaient désespérément plats. Cependant, on avait décidé de faire des examens complémentaires le lendemain. Miracle : 24 h après, les écrans affichaient des courbes régulières. Michel Delepine était vivant ! Pour le médecin chef du service des soins intensifs de cet hôpital, il s’agit là d’un cas exceptionnel d’hypothermie. Un phénomène de vie au ralenti, observé dans certains cas de refroidissement, d’intoxication, par exemple. Mais les signes cliniques étaient bel et bien ceux de la mort !

     

    La meilleure solution pour éviter d'’enterrer une personne vivante est donc de prolonger l’exposition du sujet avant de la mettre en bière. De pratiquer un électroencéphalogramme voire deux, à plusieurs heures d’intervalle. Mais encore faut-il se trouver en milieu hospitalier. En raison du coût, cet examen ne se justifie que pour les comas dépassés et quelques autres cas. Néanmoins, pour être certain d’un décès, il existe d’autres méthodes fiables à 100 %.

     

    A commencer par l’'artériotomie, par exemple, qui consiste à inciser légèrement une artère. Si elle saigne, le sujet vit. Sinon…Voilà pour cet article qui fait froid dans le dos, le chiffre de 4% est sûrement exagéré, mais le phénomène est bel et bien réel et existe…

     

     

    Les enterrés vivants...

     

    La taverne de l’'étrange- 19 Mars 2006

     

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